2004-LE MASQUE DE TARNELTH

De : Maître du jeu (Message d'origine) Envoyé : 2004-03-08 08:49

Fifrelin a donc laissé Sambre retrouver celui qui lui avait souhaité la bienvenue dans la ville de façon amicale et file vers le quartier Mercator. Le hobbit découvre que ce quartier est uniquement commerçant et que les seules habitations qui s’y trouvent sont celles des tenanciers des échoppes.

Les bâtiments sont grands et larges et sont partagés entre les propriétaires de fonds de commerce et Fifrelin ne trouve rien à louer dans ce quartier. On lui indique que pour se loger, il peut aller dans le quartier Perditis s’il en a les moyens ou bien dans le quartier Médium où les prix sont déjà plus abordables. Sinon, comme quartier minable, on lui indique le quartier Monita ou Volatura.

C’est d’ailleurs dans le quartier Monita que le hobbit trouve un revendeur de tabac hallucinatoire au coin d’une rue. Le demi elfe lui vend de quoi se faire une dizaine de fumettes pour un prix dérisoire, seulement 1 pièce d’or.




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Conseiller Message 2 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-09 08:02
Fifrelin négocie un peu auprés du demi elfe avant de proposer 1,5 Po pour 18 fumettes. Par acquis de conscience je tire 2 bouffées de l'une d'entre elle pour vérifier la marchandise. Mais sachant qu'il me reste fort à faire je l'éteint sagement avant de la ranger dans une des poches discrètes de ma veste.

Je file ensuite au quartier Meduim, dégotter le pied à terre dont nous aurons besoin. Je discute avec les gens afin de louer une chambre ou une maisonnette donnant sur le cimetière et proche du mur d'enceinte.

*Finalement si je ne trouve pas de cave, un caveau fera l'affaire pour entreposer notre prisonnier.*

Si un loueur se déclare, je taille le bout de gras avec lui : "Mon oncle m'a envoyé avec un de nos hommes à tout faire pour voir si il serait profitable de venir vendre son cidre dans la ville. Il se peut donc que je ne reste qu'une semaine comme il se peut que je prolonge le bail, selon les aléas des accords commerciaux à passer."
J'ajoute avec une moue amère : "Mon oncle est trés stricte sur les dépenses. Alors combien avez-vous dit ?"

Si il me reste du temps avant mon rendez-vous avec Sambre je passe au quartier Mercator jetter un coup d'oeil aux différentes entrées de la salle des vente et à l'activité qui y règne. Je prête une attention particulière aux livraisons et à la façon dont elles se déroulent. Je prends garde de me trouver une activité comme de porter les courses des gens, de m'occuper de leur chevaux, de vendre des beignets, de faire porteur d'eau. Quelque chose qui m'évite d'avoir l'air de traîner.

Finalement je pars rejoindre Sambre à notre point de rendez-vous.


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Conseiller Message 3 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-10 06:10

Fifrelin parvient après quelques négociations à obtenir 17 fumettes pour 1,5 pièces d’or. Les bouffées qu’il tire sont suffisantes pour lui faire tourner la tête quelques instants. Ce genre de résine est réputée pour être particulièrement forte et efficace dans les rêves qu’elle procure.

Dans le quartier Médium, Fifrelin découvre une petit maison qui est à louer. Son propriétaire la loue 3 pièces d’or la semaine. Elle comprend au rez-de-chaussée un salon et une cuisine, ainsi que deux chambres à l’étage et un grenier sous les combles. Sous l’escalier qui monte, une petite porte donne sur un escalier escarpé et étroit descendant à la cave. Le cellier dispose de deux ouverture : la porte qui mène via l’escalier au niveau zéro et une ouverture à peine plus grande que deux mains d’homme donnant sur la rue et permettant l’aération des lieux.

[…]

Le quartier Mercator est plutôt fréquenté en journée. Les clients, les livraisons, les charrettes occupent les rues et les encombrent. Fifrelin dégote un petit boulot payé cinq pièces d’argent la journée pour décharger des marchandises chez le potier qui est situé juste en face de la confrérie des négociant.

Le hobbit parvient à distinguer deux ouvertures au grand bâtiment de pierre blanche. La première est l’entrée fermée par une lourde porte entre les colonnes épaisse et donnant sur la place aux fontaines ressemblant à une hydre crachant par ses neuf tête de l’eau. La seconde est une porte métallique donnant sur une ruelle peu fréquenté. C’est par là qu’une livraison arrive. Après avoir frappé le heurtoir, les livreurs sont reçus par deux hommes armés qui vérifient les documents et la marchandise avant de les faire entrer. Hormis cette seule activité, le hobbit ne voit personne sortir ou entrer par le devant. Peut être que le déchiffrage de l’écriteau placé sur la porte pourrait lui en apprendre d’avantage…

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Conseiller Message 4 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-11 05:08
Fifrelin observe le manège des livreurs et marmonne entre ses dents : "Par la malpeste, des documents de livraison !"

*Humm je reviendrai demain avec Pêtard, il me semble tout désigné pour distraire le livreur*

Ayant vu ce que j'avais besoin de savoir, je pars voir le potier encaisser mes gages : "Merci bien voisin pour ce travail, si tu peux me donner mes gages ? Pour aujourd'hui je dois partir mais si tu es d'accord je compte revenir demain. En attendant je t'invite pour une bière sur le pouce."

Quelques minutes plus tard, je le quitte pour aller attendre Sambre devant la maison de PiedDeBoeuf. Perdu dans mes réflexions, je mets un temps à comprendre pourquoi des garnements se moquent de moi avant d'essuyer ma moustache écumeuse.

Arrivé devant le "bureau" de PiedDeBoeuf, je déplace le pôt de fleur comme convenu et je cherche un gosse à l'air fûté et désoeuvré : "Dis moi gamin, ça te dirait de gagner quelques pièces ?"

Le gamin : "..."

"Voila, c'est tout simple : d'ici une heure un homme va venir à ce bureau." Je lui décrit le factotum de notre commanditaire. "Tu lui diras ceci : Demain aprés-midi, Tom et Rofo auront besoin des services d'un homme capable de faire une copie conforme d'un bon de livraison." Aprés avoir fait répéter deux fois le gosse je lui glisse 2 pièces d'argent en lui confirmant que demain à la même heure il en aura le double si le message est bien transmis.

Je pars ensuite d'un pas pressé attendre Sambre devant l'académie de magie.


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Conseiller Message 5 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-11 08:12
Arrivé à mi-chemin Fifrelin se frappe le front : "Mince, le rendez-vous était devant le bureau".

Je repars en trotinnant m'installer devant la maison.

*Humm si PiedDeBoeuf arrive avant Sambre, je lui présenterai directement ma requête. Sinon, et bien mes 6 pièces d'argent le feront pour moi.*

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Conseiller Message 6 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-11 10:50

Le potier soupire en payant son du au hobbit. Deux pièces d’argent pour les deux bonnes heures de labeur. Il accepte la bière noire (spécialité de la ville : brassée avec le secret du coin elle révèle un goût sucré et suave, laissant la place sur les papilles à une amertume prononcée), avec plaisir et confie la boutique à son neveux :
- Reviens demain matin en milieu de matinée, j’attends une nouvelle livraison.

Le môme hoche de la tête et assure qu’il transmettra le message, tout en regardant en roulant des yeux la fortune que vient de lui donner le gentil hobbit. Alors que le hobbit fait de mi tour pour revenir devant la maison de Piedeboeuf, Fifrelin voit arriver Pétard, la queue frétillante. Le chien se jette sur Fifrelin, puis commence à saisir entre ses dents le bas du pantalon de l’aventurier, le tirant en direction du nord.

(Hors jeu : tu fais une incursion dans la discussion de Sambre et on revient ici après, d’accord ?)

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Conseiller Message 7 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-15 10:47

((Reprise après une petite chasse dans les quartiers mal famés de la ville))

Sambre et Fifrelin ont ligoté, bâillonné Sami et l’ont cloîtré dans la cave solidement attaché à une chaise fixée au mur. Le voleur, shooté par les fumettes qu’ils lui font prendre semble complètement parti dans un autre monde et n’oppose pas de résistance, riant parfois pour rien. L’isolation phonique de la cave n’est pas très bonne. Il est possible d’entendre quelques éclats de voix du rez-de-chaussée et même de la rue par la meurtrière qui permet l’aération.
L’inventaire des biens du voleur se résume à :
- des vêtements (qu’il porte sur lui)
– une jolie dague
– une bague sertie d’un rubis dans laquelle une devise est gravée « Honneur et Volonté » (valeur 10 Po)
– le reste de l’argent de Sambre (12 Po)
– un havresac contenant une flûte, un médaillon de bois sur lequel est peinte une main affichant le « V » de la victoire, une fiole à moitié pleine contenant un liquide jaunâtre inodore, une autre bourse avec 3 Po.

Dans la soirée, quelqu’un vient frapper à la porte. Une grosse bonne femme au teint rougeauds mais au visage souriant portant un panier dont s’échapper un fumet appétissant se présente comme étant Mme Madeleine et leur souhaite la bienvenue dans le quartier, précisant qu’elle est leur voisine et qu’ils n’ont pas à hésiter en cas de besoin. Elle se montre plutôt curieuse, soupirant sur la lourdeur de certains meubles, demandant combien de temps ils souhaitent rester, d'où ils viennent etc. Elle leur laisse ensuite le panier qui contient une tourte à la viande, de la terrine de cochon, une miche de pain et une bouteille de vin de sauge en leur souhaitant une bonne soirée, ainsi qu’à leurs Dames.

Le lendemain matin, Piedeboeuf vient au rendez-vous et écoute la demande de Sambre en hochant la tête :
- Oui, j’ai eu le message hier et j’aurais un copiste dans la journée.
Il reste pensif un instant à l’évocation de mettre un de ses biens en dépôt avant de répondre :
- Soit. Je vous aurez ce document pour ce soir, cela ira t-il ?

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Conseiller Message 8 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-16 05:53
Sambre répète à monsieur Piedebouef que la copie doit servir à livrer notre caisse ce soir même peu avant la fermeture de la confrérie des négociants. Je viendrai prendre la copie ici et irai livrer directement notre caisse.

Si monsieur Piedebouef confirme cette précision, je le salue et prend congé.

Je ne retourne pas directement chez nous. Je fais un détour par le quartier marchand pour terminer nos achats et également pour jeter un œil sur la confrérie des négociants. Je cherche a proximité, mais pas forcément à portée de vue, un endroit très discret ou je pourrais venir attendre cette nuit avec un gros sac.

Après avoir fini ma reconnaissance, je rentre chez nous en flânant un peu. (ma bourse bien à l’abri accrochée à mon coup sous ma veste de cuir) Je profite de ce moment pour acheter un sifflet à ultra son pour chien pour compléter ma collection de happeaux.

De plus j’achete un fouet et deux poing américain et je vais ensuite trouver un cordonnier pour qu’il intègre à ma ceinture les poings américain comme 2 boucles de métal décorative. Je dois cependant pouvoir les retirer facilement.

Je vais ensuite rejoindre Fifrelin et je le met au courant de ma matinée. Je donne à Fifrelin le sifflet à utra son ou un de mes happeaux.

"J'ai repéré un poste d'attente trés discret prés de la confrérie des négociants. Cette nuit quand tu sortiras de ma caisse et dés que tu auras ouvert une porte ou une fenêtre, tu utiliseras ce sifflet / happeau pour appeler Pétard qui tournera autour du bâtiment en t'attendant. Il viendra ensuite me chercher avec mes colis".

J'apprend ensuite à Fifrelin a utiliser mon sifflet / happeau.

*Bon maintenant que j'ai fais le plus difficile, passons au plus simple* Et j'explique ensuite à Pétard la même chose en utilisant mon bracelet.

Je profite de la fin de matinée pour vérifier une nouvelle fois les liens de Sami et pour soigner (compétence premier soins et utilisation d'un baume) toutes les marques d'entraves et de coups sur son corps à l’exception du coup sur sa tête. Je détache un seul membre à la fois lors de cette opération.

(Hors Jeu : Pétard ne descend jamais dans la cave voir Sami)


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Conseiller Message 9 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-16 06:48
Fifrelin va rendre une petite visite de courtoisie à Mme Madeleine notre oblgeante voisine. Je lui apporte une bouteille de cidre pas trop reconnaissable et je reste un peu le temps d'alimenter son insatiable curiosité par des fadaises sur le futur commerce florissant de mon "oncle". Une fois la brave dame rassurée et satisafaite par sa dose de grain à moudre je la remercie et la quitte.

De retour à la maison, je vérifie Sami, lui donne sa dose puis j'inventorie ses affaires : "Humm...les pièces iront à Sambre mais la bague trop reconnaissable restera à Sami. Je lui remettrai ce soir au doigt, lorsque nous le "relacherons". Voyons cette dague..."

Si elle me semble meilleure que les miennes et pas trop reconnaissable je la remplace. J'empoche également le médaillon de bois. Le liquide jaunâtre attire alors mon attention et je tente en utilisant mes compétences et un rat malchanceux d'en deviner l'usage.

Au retour de Sambre, j'observe d'un air impressionné les deux poings américains en essayant d'imaginer comment on se bat avec le pantalon sur les chevilles.

J'apprends avec soulagement que nous disposerons d'un vrai faux bon de livraison et qu'il ne sera pas nécessaire d'en voler un : "Ouf ! Tu livreras donc la caisse de la part d'un négociant du quartier en précisant aux gardes que Maître Bourpainmaître Bourpain l'examinera demain matin pour voir si il va l'intégrer ou non à la vente du jour."

Je passe le reste de l'aprés-midi à vérifier mon matériel et à me préparer pour la longue scéance de contorsionnisme qui va venir.

Vers la fin de l'aprés-midi aprés une ultime répétition avec Sambre, je me glisse dans la caisse, rabattant le faux fond sur moi, tandis que Sambre la complète avec de la paille et des poteries.

Sami au fond de la cave profite bienheureux de sa récente fumette qui devrait le faire tenir tranquille jusqu'au retour de Sambre.

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Conseiller Message 10 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-16 07:44
En début d’après midi, je confectionne dans ma chemise que j’ai commencé à détruire pour créer des entraves pour Sami 3 masques pour dissimuler nos traits.
J’en donne un à Fifrelin avant de la voir disparaître dans sa caisse.

En fin d’après midi, Fifrelin s’installe dans la caisse, et je la rempli ensuite de paille et de poterie. Je met dans un de mes sac de jute la paille et les poteries qui serviront à re-remplir la caisse lorsque Fifrelin aura quitter sa cachette. Pour le moment je laisse ce sac dans la maison.

Après avoir vérifier une dernière fois l’état comateux de Sami et ses liens, je me mets en route pour d’abord aller chercher le bon de livraison chez monsieur Piedeboeuf, pour enfin me diriger vers la confrérie des négociants livrer ma fragile caisse.



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Conseiller Message 11 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-16 08:26
(Hors jeu : Je savais que j'aurais du signalé à Sambre ou était le haut et ou était le bas, je savais !)

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Conseiller Message 12 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-16 09:05
(Hors Jeu : Les tortues sur le dos quand elle font la gueule, elles le font en silence !)

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Conseiller Message 13 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-16 10:34

Piedeboeuf ne fait pas de difficultés et confirme que le bon de livraison des poteries sera prêt en fin d’après midi, le pot de fleur signalant que les papiers sont prêts.

Sambre repère les lieux et les ruelles qui entourent la confrérie. (sur la carte de la ville, le bâtiment est situé dans le Quartier Mercator, prêt de la fontaine située le plus au sud et c’est le plus petit des bâtiments, les deux grands étant des échoppes à l’enfilade. Est-ce que c’est situé ? Si besoin d’un autre plan plus clair me le dire)

Madame Madeleine est ravie de la visite du hobbit et se montre des plus curieuse, offrant thé et biscuit à son nouveau voisin « si mignon » comme elle le dira de nombreuses fois. Fifrelin repart avec une invitation à dîner pour lui et tous ces proches pour le lendemain soir.

Sambre trouve dans une petite boutique d’un tanneur, une collection d’appeaux de qualité moyenne et le sifflet à chien est loin de donner une grande satisfaction. Si Sambre décide d’investir, il en aura pour cinq pièces d’or.
En ce qui concerne le fouet, le rôdeur en trouve un de très bonne facture, chez le même tanneur. En revanche, l’arme à ajouter sur les poings se compose de simples lanières de cuir épais renforcé par endroit de clous saillants métalliques. Le marchand demande quatre pièces d’or pour les armes.

La bague de rubis de Sami n’a rien de particulier tant que l’on ne regarde pas à l’intérieur et que l’on n’y lit pas la devise qui y est gravée. Le liquide jaunâtre ne semble avoir aucun effet sur le rongeur désigné volontaire d’office et ne dit rien à Fifrelin lorsqu’il recherche dans ses souvenirs culinaires.

En fin d’après midi, Piedeboeuf remet le document demandé par Sambre, ainsi qu’une boite de bois contenant ce qui ressemble à de vulgaires tessons de bouteille verts. Il précise qu’il sera absent jusqu’au lendemain après midi et leur souhaite bonne chance.

C’est la fin de l’après midi, lorsque Sambre arrive devant la porte de derrière fermée et sans poignée apparente. Après voir signalé sa présence, il entend les lourds loquets métalliques qui retienne l’issue fermée tourner et la porte pivoter sur ses gonds pour laisser apparaître deux hommes armés d’épées longues et armurés de cottes de maille. Le premier, arborant une grosse moustache rousse dévisage le rôdeur, masquant avec difficulté une expression de dégoût quant-à la marque qui le défigure. Se reprenant, il lui demande :
- C’est pourquoi ?

La caisse a été posée par Sambre dans la ruelle (ou est restée sur la charette louée). Elle est exposée en plein soleil et bien que ce soit la fin de l'après midi, l'intérieur commence à ressembler à une véritable fournaise.(heureusment que les poteries sont en terre déjà cuite et qu'elles ne risquent rien)

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Conseiller Message 14 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-16 11:25
( Hors Jeu : Quand j’achète le sifflet à chien, Pétard est avec moi. Je peux donc savoir s’il fonctionne correctement. Est ce que Pétard l’entends sans que je puisse l’entendre. Si oui, je l’achète. )

( Hors Jeu : je n’achète pas les gants de boxe, uniquement le fouet de bonne facture. )

( Hors Jeu : bref combien cela fait ? Peut on déduire la TVA ? )

C’est la fin de l’après midi, lorsque Sambre arrive devant la porte de derrière fermée et sans poignée apparente. Après voir signalé sa présence, il entend les lourds loquets métalliques qui retienne l’issue fermée tourner et la porte pivoter sur ses gonds pour laisser apparaître deux hommes armés d’épées longues et armurés de cottes de maille. Le premier, arborant une grosse moustache rousse dévisage le rôdeur, masquant avec difficulté une expression de dégoût quant-à la marque qui le défigure. Se reprenant, il lui demande :
« - C’est pourquoi ? »

Sambre, visiblement essoufflé par une marche rapide engage la conversation tout en sortant un mouchoir pour essuyer la transpiration de son visage

« Dieu soit loué, vous z’êtes encore ouvert. J’ai vraiment eu peur d’arriver en retard mes braves messieurs. Surtout qu’avec ce coli fragile on perd un temps fou à faire attention. Enfin bon je vous ai trouvé. Je viens pour livrer cette caisse de poterie épique ou ethnique ou éthylique … enfin j’sais pas comment on dit. Dans tout les cas, je dois vous la livrer ce soir pour que maître Bourpain puisse y jeter un œil demain matin pour la mettre à la vente de demain si j’ai bien tout compris. Bon je vous la dépose ou cette caisse ? … ha oui j’oublié … y’a ça avec » Je sors de ma ceinture le parchemin de livraison que je donne au garde moustachu.

Pendant que le garde lis le bon de livraison, je vais rapidement prendre la caisse et me dirige vers l’entrée.

« Houla c’est peut-être fragile mais ça fait son poids. En tout cas je comprend pas les gens, plus c’est fragile, plus ils prennent des caisses fragiles. Bon je la dépose ou ? »

Si le garde demande à regarder le contenue de la caisse, je la dépose devant lui un peu offusqué et je l’ouvre rapidement pour leur inspection. « On m’a bien dit que c’est fragile, et j’ai bien fait attention. Regardez aucune n’est cassée. »

Si le garde me laisse entrer, je me laisse guider. Si à l’endroit où je dois déposer ma caisse, il y a d’autres caisses, je pose ma caisse sur une autre caisse et signalant que ma caisse est pas bien solide et que les poteries dedans sont encore plus fragile. De plus, je dispose la caisse au mieux dans la pièce en fonction de l’ouverture créé par Fifrelin.


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Conseiller Message 15 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-16 11:32
(Hors Jeu : Sami à dépenser 12 po de ma bourse. une chambre coûte 1 po et un moment avec une donzelle 5 pa … ... impressionnant … vu qu’il est shooté il y a moyen de connaître sont secret ou son fournisseur de viagra ? )

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Conseiller Message 16 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-17 06:11

(Hors jeu 1 : Le sifflet à ultra sons fonctionne sur Pétard qui agite sa queue frétillante en regardant amoureusement Sambre. En revanche, il n’est pas totalement muet et un léger sifflement est audible par l’oreille humaine.
Hors jeu 2 : Le total des achats de Sambre – sifflet et fouet : cinq pièces d’or, geste commercial déduit
Hors jeu 3 : Je commençais à désespérer de voir Sambre ou Fifrelin bon en calcul sur le coup de la bourse… effectivement il y a un trou de onze pièces d’or et des poussières dans la trésorerie et voici l’explication…)

Sami flotte dans les airs s’abreuvant de cette délectable vapeur qui l’entoure, encore et encore. Il flotte, tel un oiseau, loin, loin au dessus des nuages roses lorsqu’une voix retenti et lui demande, retentissante telle un coup de tonnerre puissant :
- Qu’est-ce que t’as foutu de mon fric ? !
Le voleur regarde Sambre, les yeux roulants et se met à se bidonner, comme s’il avait trop bu. Il cesse après quelques minutes de rire et se met presque à pleurer en balbutiant :
- Ze… Ze… Ze l’ai plus… Z’ai… z’ai asseté quequechose avec… Ze crois que c’était dans une boutique même…
Sami redresse la tête et repart de son rire aux éclats en poursuivant :
- Une potion ! Z’ai dépensé ton fric dans une potion ! Un truc fortifiant ou quequechose comme ça ! Dis tu sais que quand je ferme les yeux, je te vois pas ? Et que quand je les ferme pas… et ben je te vois pas non plus …

[…]

- Dieu soit loué, vous z’êtes encore ouvert. J’ai vraiment eu peur d’arriver en retard mes braves messieurs. Surtout qu’avec ce coli fragile on perd un temps fou à faire attention. Enfin bon je vous ai trouvé. Je viens pour livrer cette caisse de poterie épique ou ethnique ou éthylique … enfin j’sais pas comment on dit. Dans tout les cas, je dois vous la livrer ce soir pour que maître Bourpain puisse y jeter un œil demain matin pour la mettre à la vente de demain si j’ai bien tout compris. Bon je vous la dépose ou cette caisse ? … ha oui j’oublié … y’a ça avec, annonce Sambre en tendant le parchemin de livraison à l’homme moustachu.
Le garde regarde le rôdeur avec des yeux étonnés et saisi le parchemin, le déroulant pour lire ce qu’il contient. Après quelques minutes de déchiffrage, l’homme à la moustache se retourne vers son collègue et le questionne :
- T’étais au courant d’une livraison pour ce soir, toi ?
Et l’autre de se gratter la tête avant de répondre :
- Non, c’est quoi ?
– Des espèces d’amphores et de vases ou un truc comme ça…
- Ah bon… attend on va vérifier.
Le second garde fait signe à Sambre de déposer la caisse dans le couloir et referme la porte donnant sur la rue. Le couloir est sombre et a trois portes. La lumière est produite par deux lampes accrochées au mur, des lampes magiques dites « pigeon », les lampes de la cité de Silivren.

A l’aide d’un pied de biche pris sur son socle posé au mur, le moustachu ouvre le couvercle de la caisse et entreprend de compter les poteries, en s’en prenant à plusieurs reprises pour être certain du nombre. Il regarde ensuite Sambre :
- La marchandise est intacte c’est bien, viens avec moi, mon collègue va s’occuper de la caisse, je vais te faire les papiers.

Le second garde replace le couvercle sur la caisse pendant que le moustachu guide Sambre par la première porte sur la droite. Il s’assied à un petit bureau, laissant la porte ouverte par laquelle, Sambre voit passer l’autre garde portant la caisse en soufflant.
L’homme à la moustache, prend le document de livraison et y appose une signature, suivie d’un sceau de cire avant de retendre le parchemin à Sambre et de remplir un registre épais.
Il raccompagne ensuite le jeune homme jusqu’à la porte :
- Voilà, le sceau atteste que la marchandise est arrivée en bon état. Maître Bourpain y jettera un œil dès demain matin. Au revoir ! Lance –il avant de refermer la porte derrière Sambre

Fifrelin, sent qu’il est ballotté encore quelques instant. Il entend que celui qui porte la caisse souffle comme un buffle, sous l’effort. Il sent qu’on pose la caisse à plusieurs reprises et entend l’ouverture de deux portes successives. Bientôt tout redevient calme.

De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-17 07:24

( Hors Jeu Hors Jeu : Ma question sur le trou financier était complètement hors jeu et se voulait purement humoristique. Sami ne sait pas qui l'a enlevé. Hors de question que je me trahisse en discutant avec lui. En effet, seul Sambre et Sami connaissaient le montant de la bourse pleine. Nous (Fifrelin et Sambre) sommes surtout motivés pour faire (okay soyons modeste : essayer) un casse parfait : un coupable, pas de vol constaté et le masque entre les mains de monsieur Piedebouef. Nous ne recherchons pas optimisés les gains de notre casse. Fifrelin pour le moment garde donc une fiole non identifié. )


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Conseiller Message 18 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-17 07:42
Fifrelin prend son mal en patience et pour tromper sa soif suçotte un noyau d'olive qui trainait dans une de ses poches.

*Tiens, depuis un noyau a des pattes ? Errrk un cafard*

Les heures passent ... lentement ... Mon univers se réduit à la vue située en face de l'oeilleton, aux bruits que j'écoute avec la plus grande attention et aux douleurs que m'inflige ma position inconfortable.

Peu à peu, tout devient calme et le bâtiment ferme ses portes pour la nuit. L'inconfort me pousse à agir. Prudemment, je déboîte le double fond de la caisse, faisant descendre une à une les poteries, me figeant lorsque l'une d'elle racle les autres ou bascule brusquement. Puis quand mon chemin est dégagé je m'étire, goutant pleinement ce luxe ineffable.

Un coup d'oeil à gauche, un coup d'oeil à droite, j'observe ce qui est probablement une réserve. Ma première préocupation est de trouver une cachette au cas ou quelqu'un viendrait. Je referme ensuite précautionneusement la caisse avant de m'approcher à pas de loup de la porte.

J'écoute un long moment pour savoir si un garde fait des rondes, guettant également le rais de lumière de sa lanterne sous la porte. Je prie pour ne pas entendre le cliquetis des griffes d'un chien.

Si tout est calme, je teste la poignée de ma porte avant de la crochetter si nécessaire.

A partir de maintenant il va falloir improviser.

Mon premier objectif est de localiser et d'éviter un garde éventuel.

Ensuite je cherche une issue par laquelle je pourrais faire entrer Sambre. L'idéal étant de crocheter la porte arrière dont une partie des verrous doit pouvoir s'ouvrir de l'intérieur. Sinon, je suis prêt à ouvrir ou tordre les barreaux d'une fenêtre en torsadant une grosse corde à l'aide d'une petite barre de fer, prévue à cet effet.

Je me déplace prudemment, cherchant toujours un cachette ou me replier. J'inspecte afin de trouver d'éventuelles sécurités ou alarmes, m'immobilisant au moindre bruit et faisant des pauses fréquentes pour écouter.

Je réserve l'exploration plus complète du bâtiment pour aprés.

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Conseiller Message 19 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-17 09:28

Une fois la caisse livrer Sambre retourne dans la maison.

* Satané balafre, et pas moyen de la dissimuler *

Sambre se verse un verre de vin, un peu frustré par le souvenir du garde le dévisageant.

* Il n’y a pas que les miroirs qui me retourne mon image.*

Sambre porte sa main sur son visage pour essayer d’atténuer le souvenir de la douleur parcourant son visage sous les rires de son bourreau qui l’exaspère.

* Seul les poivrots arrivent à noyer leurs souvenirs dans la vinnasse. Même le reflet de ce vin me montre ma cicatrice qui me rappelle que trop je n’ai plus de souvenirs.*

Sambre reste un moment assis sans bouger, le vague à l’âme. C’est une situation que Pétard connaît. Dans ces moments, il s’approche de son maître sans un bruit et viens poser sa tête sur la cuisse de Sambre. Sambre réagit quelque seconde plus tard en caressant la tête de pétard qui immédiatement commence à faire frétiller sa queue. Sambre après avoir vider ce triste verre d’un trait se lève.

« Tu as raison mon brave et j’ai encore des choses à faire ce soir »

Sambre descend dans la cave vérifier encore une fois les liens de Sami et pour le faire fumer une nouvelle fois.

« Avant dernière fumette fils du dragon, la prochaine fois tu voleras de tes propres ailes »

Sambre place son masque sur son propre visage et prépare son pinceau et son encre en attendant que la fumette fasse son effet sur Sami. Une fois Sami complètement parti, je dessine sur son visage une empreinte stylisé d'une patte de dragon. Puis je refais la même opération sur son torse. Je fais attention à ce que les dessins puissent laisser penser que Sami les a réalisé lui même.

Une fois l’opération terminé je remet le bandeau sur les yeux de Sami et je place le pinceau et l’encre dans sa besace.

Un peu avant minuit, je donne à Sami sa dernière fumette avant de le faire disparaître dans un sac de jute. Je prépare aussi un second sac de jute rempli de paille pour compléter le niveau de paille dans notre caisse une fois que Fifrelin l’aura quitter.

Je prends alors la direction de l’endroit discret que j’ai localisé cette après midi prés de la confrérie des négociant avec Fifrelin, mes 2 sacs et le reste de notre équipement. (Hors Jeu : C’est lourd mais je suis très fort)

Une fois dans ma cachette (compétence dissimulation dans l’ombre et déplacement silencieux). Je fais signe à Pétard de commencer sa patrouille autour de la confrérie des négociant dans l'attente du signal de Fifrelin …

De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-18 10:23

La caisse d’où sort Fifrelin est effectivement une sorte de réserve où de nombreuses autres caisses et paquets de formes diverses et variées sont entreposées. Tout est sombre et très calme.
Lorsqu’il colle son oreille sur la porte, le hobbit entend des bottes qui descendent un escalier, une raie de lumière prenant de l’intensité, passant devant la porte, la poignée tourner sans que celle-ci ne s’ouvre. Les pas et la lumière faiblissent ensuite, Fifrelin entend le même manège fait sur la porte d’en face avant que les bottes en résonnent sur les marches, remontant les escaliers. Si Fifrelin attend pour voir la fréquence des rondes, il en conclura qu’elles sont toutes les deux heures environ.

La serrure de la porte de la réserve n’oppose pas de résistance importante aux outils du hobbit. L’issue débouche sur un palier de cave comprenant une porte en face et un escalier de pierre montant sur la gauche, menant jusqu’à une porte métallique fermée.

Lorsqu’il parvient en haut des escaliers derrière la porte, Fifrelin voit passer une raie de lumière sous celle-ci allant de la gauche vers la droite. Bientôt, il n’y a plus de lumières et tout redevient calme. La porte n’est pas fermée à clé et la poignée coulisse en silence pour découvrir un couloir sombre sans issues sur l’extérieur.

Le bout du couloir à droite donne sur une porte bardée de fer qui ressemble à la porte de sortie. Pour y parvenir, il faut passer devant deux portes dont une entrouverte par laquelle fuse une lumière diffuse.
Sur la gauche, deux autres portes de bois sont fermées dont une taillée dans un très joli bois.
La porte de sortie ne semble être fermée que par des verrous de l’intérieur.



Sambre se prépare de son coté et arrive dans sa cachette. L’attente est longue et la nuit plutôt étoilée, éclairée par un double clair de lune. Les lumières des habitations situées au dessus des boutiques s’éteignent peu à peu. De temps à autre une ronde de milice passe (environ toutes les heures).

Une petite silhouette, à peine plus haut qu’un mètre cinquante, enveloppée dans une cape beige passe à pas feutrés devant la cachette de Sambre et s’arrête. Tournant la tête dans la direction du rôdeur, elle marque un temps d’arrêt avec de poursuivre son chemin.

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Conseiller Message 21 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-18 13:45
Le bruit des bottes qui redescendent l'escalier ravivent l'attention de Fifrelin.

*Enfin, je n'y croyais plus. Cela doit bien faire 2 heures...*

Je tend l'oreille pour déterminer si il s'agit bien du même garde. Puis j'attends qu'il reproduise les mêmes gestes, ajouttant une dizaine de minute pour lui laisser finir sa ronde.

Je crochette ensuite rapidement la porte pour sortir enfin de ma réserve. Je me glisse sur le pallier avant d'emprunter l'escalier tel une ombre.

Arrivé en haut, je patiente et j'écoute afin d'être sur que le garde a regagné sa pièce.

Me désintéressant du côté salle de vente, j'avance vers la porte bardée de fer, en retenant mon souffle, attentif à ne pas me trahir.

Je m'arrête au halo de lumière pour tirer de ma poche un fragment de mirroir. Je m'agenouille avec précaution avançant le mirroir au ras du sol, milimètre par milimètre pour apercevoir le ou *gulps* les occupant(s) et vers où se porte leur attention.

Dés que j'en ai l'occasion, je franchis la zone de lumière pour aller me fondre au fond du couloir. J'inspecte les verrous et je commence à les ouvrir un à un avec d'infinis précautions, huilant les plus vétustes si nécessaire.

Si l'opération réussit, je bloque le pène pour ne pas me retrouver bloqué dehors. J'entrebaille la porte en prenant garde à ne pas la faire grincer puis je me faufile dehors non sans un coup d'oeil prudent. J'essaie de voir si Sambre est en vu. Dans le cas contraire j'utilise le sifflet en maintenant la porte contre.

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Conseiller Message 22 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-19 05:50

Sambre connaît le secret de toute bonne chasse la patiente, la discrétion et la vigilance.

L’inconfort et l’ennuie sont sûrement les pires ennemis de la patiente. C’est pour cela que Sambre a veillé à s’installer avec le plus de confort que permet sa cachette et sa nécessité de discrétion. Sambre a aussi appris à laisser divaguer un peu ses pensées tout en restant à l’affût. Penser, réfléchir à tout, sauf au temps qui passe. Oublier le temps, ne pas penser à lui sinon il ne passe plus et l’attente devient un calvaire.

Sambre observe les patrouilles du guet qui passent non loin de lui sans le remarquer. Avec son ouie, Sambre essaye de définir par ou les patrouilles arrivent et par ou elles repartent. Probablement toujours le même chemin. Sambre note mentalement ces détails. Cela lui facilitera la tache pour quitter ce quartier.

De temps en temps, Pétard qui tourne régulièrement autour de la confrérie des Négociants en silence passe devant la cache de Sambre et lui jette un œil pour vérifier que son maître est toujours la.

A un moment, une petite silhouette, à peine plus haut qu’un mètre cinquante, enveloppée dans une cape beige passe à pas feutrés devant la cachette de Sambre et s’arrête. Tournant la tête dans la direction du rôdeur, elle marque un temps d’arrêt avec de poursuivre son chemin.

Sambre ne bouge pas *Mince m’a t elle vu ou non ? hum … avec les animaux il suffit de regarder leurs regards quand ils tournent la tête vers moi pour savoir si oui ou non ils m’ont vu … mais avec sa capuche rien à faire. Je n’aime pas ne pas savoir. *

* hum… oui et je m’en souviens. Fifrelin m’a raconté qu’il avait remarqué une silhouette similaire devant le magasin de Jean-Marie … ennuyeux. Mais ce n’est pas le moment de me laisser distraire.*

Sambre sans quitter sa cachette, tend l’oreille pour percevoir des bruits de pattes de chien sur le pavé. Dés que Sambre semble reconnaître ce son, il siffle faiblement pour attirer l’attention de Pétard.

Aussitôt les bruits de pattes s’accélèrent un peu et se rapprochent. Sambre fait signe à Pétard de s’approcher de lui. Puis en utilisant son bracelet pour seconde fois de la journée, Sambre s’adresse à Pétard de sa voie discrète qu’il utilise lors de leurs chasses.

« C’est bien mon chien. Un homme (*) est passé ici et est parti par la. Il a une cape comme la mienne mais très claire sur lui (**) et il est plus grand que Fifrelin et plus petit que moi. Essaye de le trouver et sens son odeur (***). Puis retourne attendre le signal de Fifrelin autour du bâtiment. Si tu ne trouves pas l’homme à la cape claire rapidement abandonne et retourne attendre le signal de Fifrelin autour du bâtiment. »

Sambre caresse affectueusement la tête de Pétard : « Tu as bien compris mon ami ? »

Sambre attend la réponse de Pétard. Si Sambre se rend compte que Pétard n’a pas compris. Sambre abandonne son idée et re demande tout simplement à Pétard de continuer à attendre le signal de Fifrelin.

(*) : Pour Pétard un homme c’est un truc qui marche.

(**) : Hors Jeu les chiens ne voient pas les couleurs mais reconnaissent les différences de ton.
(***) : Attention, pour moi Pétard ne vas pas mettre sa truffe sur lui. S’il le trouve, il regarde ou il passe puis va renifler prés de son passage. J’ai pu demander à Pétard de faire ce genre de chose avec des ours par exemple … m’étonnerai qu’il lui ai posé sa truffe dessus ... ou Pétard est en réalité Pétard XIV ...




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Conseiller Message 23 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-19 07:17
(Hors jeu : Quoi Pétard est noble ? T'as payé pour cet avantage. Pétard soleil pfff ...)

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Conseiller Message 24 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-19 07:35
(Hors Jeu : Allez pour pas faire de jalou je te renomme Fifrelin XVI ... et comme on dira : ça ira, ça ira, ça ira ? hum .... dèjà qu'il est pas bien grand ça va pas arrangé les choses )

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Conseiller Message 25 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-19 08:40

Par son miroir, Fifrelin distingue un homme assis derrière un bureau. Les deux pieds posés sur celui-ci, il se tient en équilibre sur deux des quatre pieds de sa chaise. Il est de coté par rapport à la porte et ne regarde pas ce qui se passe dans le couloir, bien trop occupé à jouer avec un casse tête fait de petites ficelles nouées. Une lanterne est posée sur le bureau et est la seule source de lumière.

Le hobbit passe alors à pas de loup devant la porte, profitant d’une quinte de toux du gardien, qui n’arrive pas à placer sa main devant sa bouche, tant ses doigts sont empêtrés dans son casse tête. Les verrous de la porte d’entrée coulissent un à un dans un silence de plomb dans lequel seul le sifflement de l’homme dans le bureau se fait entendre. La porte pivote sans efforts dévoilant la ruelle sombre simplement éclairée par un double clair de lune.

Pétard file discrètement en trottinant prendre la piste de la personne qui vient de passer. Il fait le tour du pâté de maison, reniflant le sol, et s’arrête au coin d’une maison pour lever la patte avant de passer devant la porte ouverte que tient Fifrelin. Apercevant le hobbit, le chien remue la queue visiblement heureux de voir le hobbit et averti par ce simple signe Sambre que la porte est ouverte.
La rue sur laquelle la ruelle donne est à présent déserte et la prochaine patrouille devrait être pour dans trois bon quart d’heure.

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Conseiller Message 26 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-19 17:37

Sambre averti par Pétard rejoint Fifrelin dans la ruelle devant la porte entrouverte après avoir constaté que personne d’autre, ou le guet, n’est dans la rue. Sambre amène avec lui ces paquets.

Devant l’entrée, Fifrelin décrit rapidement l’intérieur de la confrérie et surtout la pièce ou se trouve le garde.

Sambre dit alors à voie basse « J’ai une idée. Nous rentrons tous. Tu refermes la porte d’entrée silencieusement, puis tu repasses la porte du garde jusqu'à l’escalier. Une fois dans l’escalier, tu grattes le sol de façon irrégulière et tu fais dépasser ça du coin du mur »

Sambre arrache alors un bout de fourrure de sa veste qu’il met en boule et prend son fouet qu’il confie à Fifrelin.

« Tu mets la fourrure sur ta main et tu utilises le bout du fouet pour faire une queue. Depuis l’escalier tu essayeras de faire passer ça pour le cul d’un rat qui gratte et grignote. Pour faire plus vrai tu prendras un de tes biscuits de ta besace que tu mettras trois ou quatre morceaux en évidence autour du cul du rat. Quand le garde sortira, il fort probable qu’il se dirigera vers toi et je m’en occuperai »

Sambre reprend « Saloperie, on a pas pensait à faire des entraves pour un ou des gardes. Négligence. Je m’en occuperai des que garde sera assommé. »

Une fois les dernières recommandations de Fifrelin entendu, Sambre fait signe à Pétard de rester dans la rue à l’attendre. Puis il place sur son visage son masque et suit silencieusement Fifrelin à l’intérieure avec ses paquets. (Compétence déplacement silencieux). Des que Sambre est rentré, il pose silencieusement ses paquets, puis avance jusqu'à la porte ou se trouve le garde et prend en main une de ses haches comme il a fait des centaines de fois lors de ses entraînements.

Sambre sourit et fait pivoter la hache dans sa main d’un demi tour pour frapper dorénavant avec la parti métallique de la hache derrière la lame. Assommer sera bien suffisant et de toute façon Sambre n’est pas un assassin.

Sambre n’a prit qu’une seule hache. En effet il compte utiliser sa seconde main pour gifler et faire tomber le casque du garde s’il en a un et / ou pour lui assommer un coup de poing pour faire bonne mesure. (Compétence : Combat à deux armes) (Compétence : Hache corps à corps spécialisation) (Compétence : Pugilat)

De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-20 08:00
Fifrelin jette un coup d'oeil dans la rue pour déceler un éventuel géneur et adresse une mimique d'encouragement à Pétard avant de refermer la porte et son verrou intérieur le plus silencieux. Une brève vérification à l'état de Sami.

Je refais le chemin inverse, usant une fois de plus de mon petit miroir pour passer l'embrasure de la porte.

Une fois le bond effectué je vais m'embusquer en haut de l'escalier laissant dépasser dans le couloir ma marionnette de fourure avec sa queue. Je m'entraîne à lui donner un semblant de vie avant de produire quelques petits bruits irritants avec la bouche et de gratter le sol comme j'ai déjà vu faire ce genre de rongeur. J'essaie de poursuivre ce manège de manière réaliste jusqu'à faire venir le garde mais aprés un instant de réflexion, je décide de manger moi même les biscuits.

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Conseiller Message 28 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-22 10:12

Entendant quelque chose gratter, l’homme vautré dans le bureau peste. Le bruit caractéristique des deux pieds de chaise retombant lourdement sur le sol se fait entendre, suivi de celui des bottes martelant le plancher.

La trace lumineuse qui fusait par l’embrasure de la porte prend alors de l’importance au fur et à mesure que l’homme s’approche du couloir. Sambre, le voit quitter le bureau et de retourner en direction de Fifrelin, pestant de plus belle :
- Saloperie de bestiole ! Encore un qui a stocké de la bouffe quelque part ! Tu vas voir, je vais m’occuper de t…

Le coup porté par Sambre sur le derrière de son crâne par l’autre face de sa hache le fait cesser tout net dans son discours. L’homme lâche la lampe à huile, qui ne casse pas, mais se renverse sur le plancher, laissant couler lentement le combustible, et tombe à genoux. Le second coup porté par Sambre, achève de le faire tomber dans de doux rêves et l’homme s’écroule, inconscient, une grosse bosse assorti d’un bel hématome sur le cuir chevelu.

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Conseiller Message 29 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-22 11:12
Fifrelin étouffe un glapissement de joie qui se traduit quand même par un feu d'artifice de miettes de biscuit.

Je redresse la lanterne que je repose à distance de la flaque d'huile. Puis je rends les composants du faux rat que à Sambre avant d'aller refermer la totalité des verrous de la porte de livraison.

En chuchotant : "Bon je te laisse t'occuper du garde. Colle le dans la réserve et n'oublie pas de compléter la caisse de poteries. Pense à embarquer la planche du double fond." Si le garde a des clefs sur lui, je m'en empare, sinon je jette un rapide coup d'oeil dans sa salle.

*Les prélimaires étant terminés, le vrai travail va pouvoir commencer*

Je trottine allègrement jusqu'à la porte en face de la réserve. Là commence une routine que j'appliquerai à chacune des portes : J'écoute, j'inspecte à la recherche d'un mécanisme suspect, je vérifie que la porte est fermée et si je n'ai pas de clef, je la crochète. Si j'échoue, je ne perds pas de temps sur cette porte, laissant Sambre s'en charger. Par contre je réiterrerai si il le faut mes tentatives sur les deux portes du haut. Par acquis de conscience je vérifierai la présence de pièges ou d'alarmes dans les pièces du haut avant même d'y rentrer.








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Conseiller Message 30 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-23 11:26
Décidément le tabouret semble plus efficace pour assommer !!!!

Des que le garde s’est écroulé , je chuchote à Fifrelin : « Notre bonus que recherche monsieur Têtedecochon est sûrement derrière cette porte » et j’indique à Fifrelin d’ouvrir la porte donnant sur le petit bureau ou le garde avait rempli le registre des livraisons quand j’ai apporté la caisse.

Pendant que Fifrelin s'affrête, je m’occupe du garde qui se retrouve bâillonné, cagoulé, entravé, ligoté, attaché, saucissonné … (hors jeu : note surtout bâillonné et cagoulé)

Je descends ensuite l’ensemble de mes colis dans la réserve. Après avoir vérifier leurs liens, je démonte le double fond de la caisse et je compléte le "niveau de remplissage" de la caisse par de la paille. Je mets ensuite les planches du double fond dans mon sac de jute et je ramasse les pailles qui ont du tomber par terre.

Puis je récupère dans mes affaires le stylet très découpant et le un rouleau à parchemin. Je remonte ensuite au rez de chaussé dans la pièce ou le garde avait rempli le registre des livraisons. J’y recherche le registre.

Si je le trouve, j’y découpe les 10 dernières pages écrites. J’espère bien que le nom de la personne ayant livré le masque y figurera ...Puis sur le reste du livre ouvert, j’y verse une bonne parti de l’huile de la lanterne et je laisse la lanterne à proximité. Nous y mettrons le feu avant de partir.

Durant toutes ces opérations, j’essaye de ne faire aucuns bruits et je reste attentif au moindre signe de Fifrelin.



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Conseiller Message 31 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-24 05:41

Aidé des clés que portait le garde à la ceinture, le hobbit aventurier commence à visiter les lieux. Il commence par descendre les escaliers menant à la réserve et s’attelle à l’ouverture de la porte située en face de celle-ci. Bien entendu, elle est verrouillée à double tours. Les clés du trousseau récupéré, passent une à une dans la serrure jusqu’à ce que l’une d’entre elle tourne facilement et ouvre la porte.

Poussant le pan de bois, Fifrelin découvre une pièce sombre. De grand plans de travail sont installés contre les murs et quelques machines étranges servent de meubles. Une armoire vitrée renferme des quantités diverses de bois, os, terre à sculpter, gouges, ciseaux à bois, maillets. Tout l’attirail d’un sculpteur. Un secrétaire situé dans un coin recense une multitude de petits flacons d’encres de couleurs et tons différents, des plumes d’oie, des parchemins de qualités diverses et de petits pinceaux de poils de blaireau.

Sur une des tables, des morceaux de verre de couleur émeraude sont assemblés en un puzzle non terminé. Fifrelin reconnaît tout de suite, le masque qu’ils recherchent. Il est pourtant en plusieurs parties.
Un porte entrouverte donne sur une seconde réserve où sont entreposés divers objets, flûtes, parchemins ratés, calices, sarcophages etc.

Au rez-de-chaussée, la porte du bureau administratif est rapidement ouverte, donnant sur la pièce que Sambre avait vue dans l’après midi. Le rôdeur trouve le registre posé sur le bureau et empoche les pages découpées.

(Hors jeu : je vous ai mis un plan des lieux. Même si vos personnages n’ont pas encore tout visité, cela nous permettra de mieux nous retrouver)

De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-24 08:25
Fifrelin marque un temps d'arrêt dans cette caverne d'Ali-Baba.

*Humm est-ce un atelier de remise en condition ... ou un atelier de faussaire. Cette salle de stock à côté est des plus étrange....*

J'emballe précautionneusement les 8 morceaux dans mon sac. Ensuite, je passe en revue les ingédients, voire si quelques uns attirent mon attention ou si je trouve des parchemins avec des dessins du masque.

Je furette également à la recherche d'une trappe ou d'un coffre dans lequel seraient enfermés les éléments les plus précieux.

Pour finir je ferme la porte puis je mets la pièce à sac, me comportant en véritable vandale ou en ... drogué fou furieux. Je m'interomps le temps de vérifier auprés de Sambre que le bruit ne risque pas d'attirer l'attention au rez de chaussé. Quand mon oeuvre me satisfait, je disperse les tessons du faux masque dont j'écrase certains sous mes semelles que je nettoie ensuite pour ne pas laisser de traces.

Je rejoins finallement Sambre à l'étage dont j'ouvre les portes qui restent, déminant au passage la salle des ventes, la salle des expositions et le bureau de sir Thomas. Arrivé dans cette dernière pièce je m'attarde, cherchant là encore un coffre dissimulé.

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Conseiller Message 33 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-24 19:56
Une fois avoir pris les pages du registre qui m'intéresse, je descends rejoindre Fifrelin.

Je croise Fifrelin qui remonte dans l'escalier. "Je vais installer notre ami Sami. En attendant visite un peu et prends des objets à l’étage et descends les moi. Nous en gardons 2 pour nous et nous mettrons les autres dans la besace de Sami. Cherche-nous aussi une porte ou une fenêtre pour sortir qu'on puisse ouvrir de l'extérieur. Et fais vite nous avons suffisamment traîné ici"

Puis je descends récupérer Sami que je "déballe" et je l'amené dans l'atelier après avoir vérifier une derniére fois les liens du gardien.

Une fois dans l'atelier si Sami est complètement inerte, je réouvre légèrement avec mon stylet, sa blessure à la tête (que je n'est pas soigné). Et je mets un peu de son sang sur le coin d'une table.

Si Sami est un peu trop éveillé a mon goût, je réouvre sa blessure en l'assommant sur le coin de la table.

*A lalala .... Sami grand maladroit, après avoir tout vandalisé tu as trébuché sur ce chandelier (que je déplace pour le mettre prés des pieds de Sami). Hoooo et en plus tu as cassé le masque dans ta chute ... Il ne manquerait plus que tu deviennes amnésique ...*

Je termine ma mise en scène avec les objets que m’apporte Fifrelin, puis aprés avoir ramasser tout mes sacs de jute et nos outils, je le suis vers la sorti qu’il a trouvé … ou la porte que nous avons utilisé s’il n’a rien trouvé.

En partant je n'oublie pas de mettre le feu au registre avec la lampe que je laisse couché dessus.


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Conseiller Message 34 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-25 11:17

Le hobbit ne trouve pas de cache particulière au sous sol. Il trouve simplement effectivement un parchemin à coté du masque en pièces détachées. Cela ressemble plus à un croquis fait main qu’à un plan précis.

Lorsque Fifrelin explore le rez-de-chaussée, il découvre dans la salle des expositions un autre masque, cette fois-ci entier, placé derrière une vitrine fermée par un cadenas.
Le hobbit découvre également dans la première réserve qu’il a dû déminer au passage, un autre masque posé sur une étagère d’une grosse armoire à portes vitrées. Un gros cadenas incrusté dans la porte de celle-ci tient les portes fermées.

Enfin, dans le bureau du responsable, sous le buste d’une statuette d’un homme à barbichette, le hobbit trouve une petite trappe grande comme deux mains posées cote à cote. La serrure est compliquée selon ce qu’en déduit l’aventurier. Il trouve à l’intérieur (car je suppose qu’il n’a pas résister à lui trifouiller les entrailles à cette serrure), divers papiers et deux gemmes de taille convenable, une émeraude et un beau rubis.

Pendant ce temps là, Sambre assomme leur victime sur le coin de la table. Sami s’effondre dans un gémissement de douleur et sombre dans l’inconscience.

(Hors jeu : Avec les nouveaux éléments, je vous laisse me dire ce que vous faites avant de partir.)

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Conseiller Message 35 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-25 18:38

(Hors jeu : je pars du principe qu'il s'agit de masques identiques à celui que nous devont ramener)

Fifrelin fronce les sourcils devant ces complications imprévues.

*Saperlipopette ! Combien de ces fichus masques ont-ils reproduits*

Tout en faisant machinalement tourner les deux pierres précieuses dans une main j'observe avec attention le troisième masque dans la vitrine de la première réserve.

Une scène en noir et blanc me revient dans laquelle mon vieux maître m'incite à coup de badine à différencier deux billes.

Finalement je sors de ma poche la loupe et je me met en devoir de chercher les imperfections, les éclats trop neufs, les traces de fausse patine (compétence évaluer). Je passe ensuite à la vitrine de la salle des expositions puis je conclus par les morceaux que je sors de mon sac.

Mon instinct me dit que le masque de la réserve est le bon mais j'attends la confirmation de mes sens.

J'explique à Sambre mon dilemne en lui tendant les papiers du bureau de sir Thomas et les deux gemmes que j'estime rapidement par automatisme au passage.

Dans le cas ou j'arrive à déterminer que c'est effectivement le masque de la réserve qu'il nous faut :

J'entreprends trés prudemment de tailler le verre de la vitrine pour en extraire le masque. Bien sur je vérifie avant si cette action ne va rien déclencher et je me méfie particulièrement du cadenas que j'évite. Si l'action réussit j'examine une nouvelle fois le masque pour être bien sûr.

J'emboîte les morceaux du faux masque que je mets à la place du vrai et je vais demander à Sambre de mettre à sac le meuble comme je l'ai fait en bas de manière à casser pas mal de choses y compris par comble de malchance le masque.

Je vais alors préparer notre fuite par la porte de devant.

J'y attends Sambre, tout en rangeant le masque dans mon sac et en prenant à la main un sac de jute dans lequel je place un objet qui pourrait vaguement passer pour le masque.

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Conseiller Message 36 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-26 09:42

(Hors jeu : Exact, je n’ai pas précisé, ce sont bien des masque identiques, mea culpa)

Fifrelin inspecte donc soigneusement les trois exemplaires de masques qu’il a sous les yeux. A l’aide du lorgnon qu’il a acquis la veille, le hobbit parvient à repérer des différences minimes entre les trois spécimens. La matière de deux des masques se ressemble beaucoup, et effectivement, celui de la vitrine semble différent, fait dans un cristal pour dense et moins translucide, comportant de nombreuses inclusions.

Fifrelin estime que les deux gemmes qu’il a trouvées dans la cache du pilier ont une valeur de 120 pièces d’or pour l’émeraude et presque 200 pièces pour le rubis (de beaux cailloux en quelques sortes)

Le hobbit découpe avec précautions la vitre de l’armoire blindée. Il remarque un système compliqué, un mécanisme jouant sur le poids du masque posé et qui semble déclencher un piège incrusté dans le fond de l’armoire. En effet de petites fentes sont visibles à l’aide de sa loupe, ainsi que de petits trous circulaires sur les cotés de l’armoire (elle est encastrée dans le mur).

Avec une précision impressionnante, Fifrelin parvient à rendre le piège inoffensif (faut dire que pour rater le jet, il faut faire comble de malchance) et place le masque trouvé au sous-sol à la place de celui exposé dans l’armoire.

(Hors jeu : une question : quel est l’objet pris par Fifrelin pour être placé dans le sac ? Un objet ramassé sur les lieux ?)

Réponse

Conseiller Message 37 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-26 11:25

Donc on résume : notre faux masque cassé par terre dans l’atelier. Le faux masque découvert dans l’atelier qui est maintenant dans l’armoire dans la première réserve. Le vrai masque dans notre sacoche. Et un dernier faux masque dans une vitrine de la salle d’exposition.


« Mais ou va le monde si les honnêtes négociants commencent à jouer aux vils faussaires comme les premiers voleurs venus…. Pff »


Parmis les divers papiers trouvés par Fifrelin dans la cachette du pilier, je prends la feuille ayant le moins d’écriture que je laisse intacts prés du registre que je brûle juste avant de partir en laissant la lanterne dessus. (Je fais attention à ce que je registre ne puisse pas mettre le feu à toute la pièce.) Puis, je prends une autre feuille que je déchire en 2. Je mets le feu sur le coté déchiré d’une des demi-feuilles que j’éteins aussitôt. Et je laisse traîner ce papier à « moitié brûlée » prés du registre.


Je remonte le corps inerte de Sami avec sa besace que je vais placer prés de l’armoire de la première réserve. Je place dans la besace de Sami les deux gemmes que Fifrelin a trouvé.


Avec l’ai de Fifrelin j’observe les trous de chaque coté de l’armoire pour définir s’ils projettent du gaz (ce que je pense) ou des projectiles. Je pense que le mécanisme dans l’armoire consiste à faire pivoter dans le mur derrière l’armoire tous les objets ce qui explique que l’armoire soit encastrée dans le mur.


« Bon changement de plan Sami …. Finalement tu n’es pas tombé assommé contre une table mais évanoui sous l’effet du gaz. Avec un peu de chance il n’est pas mortel. Mais la chance ça te connaît mon Sami. »


Puis, je vais prendre un banc en bois. Je vide le contenue de ma gourde sur mon masque en jute. Je me place en face de l’armoire et après avoir pris et retenue ma respiration je cours avec la délicatesse du mammouth en utilisant le banc comme bélier vers l’armoire pour défoncer la vitre au niveau du masque.


Si je pense que les trous servent à lancer des projectiles je fais la même chose mais en prenant Sami comme bouclier humain en plus du banc. ( Compétence : musculation et amphétamines … bref mes gros biscotaux ;-) )


Dans tous les cas je sais ne pas être ingrat et je remercie intérieurement, mais chaleureusement, Sami de sa contribution.


Une fois la vitrine et le masque défoncés, je laisse Sami dans la première réserve et je cours vers la sortie ou je retrouve Fifrelin qui faisait le guet depuis quelques instants. Je ne commence a respirer qu’une fois arrivé prés de la sortie.


Après avoir jeter un rapide coup d’œil dans la rue nous essayons de disparaître le plus rapidement dans les ruelles de Salnium.


(Hors Jeu : Je rappelle que j’ai observé les rondes des patrouilles durant un parti de la nuit pour pouvoir les éviter. Notre fuite ce veut avant tout rapide.)

De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-26 12:45
*Je regrette terriblement ce qu'on est en train de faire à Sami ... ça m'en coûte terriblement ... je crois que je reverrai longtemps dans mes cauchemars la grosse main de Sambre laisser ces deux merveilleuses gemmes*

Ces tristes pensées accablent Fifrelin pendant qu'il fait le guet au niveau de la porte d'entrée. Des bruits de verre brisé, suivis d'une charge d'éléphant me tirent de là. J'observe avec curiosité, la face congestionnée de mon comparse.

"Euh, c'est bon tu peux respirer là, le méchant gaz ne t'a pas suivi !"

Puis, nous nous éclipsons dehors, profitant des dernières heures d'obscurité pour éloigner de la salle des ventes.

Je balance ostensiblement mon sac de jute contenant une plaquette d'argile modelée à la va vite, une simple tuile ou tout autre objet trouvé dans l'atelier dont la disparition passera inaperçue.

Aprés quelques croisements ou je jette derrière nous de fréquents coup d'oeil je décide d'attendre dans un coin tranquille l'aube, pour apporter le masque à M PiedDeBoeuf sans repasser avant par notre "domicile". Je cherche un coin tranquille chambre dans une auberge, jardin publique, fontaine sur une place ou attendre avec Sambre et Pétard. Nous sommenolons à tour de rôle...

(Hors jeu : comme dit le MJ ceci est un scénario idyllique, si quelque évènement devait l'interrompre, il suffira d'ignorer la suite de ce texte.)



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Conseiller Message 39 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-30 04:29

(Hors jeu : C’est honteux ce que vous faites à ce simple voleur de bourse ! Le pauvre… se faire prendre alors qu’il vient de devenir suffisamment riche pour se mettre au vert...)

Sambre révise donc sa mise en scène et place Sami au rez-de-chaussée avant de défoncer l’armoire à l’aide d’un banc et du corps du pauvre voleur. Immédiatement, de minuscules dards fusent par les orifices propulsés par de l’air sous pression et viennent se figer dans le bois du banc, ainsi que pour certains dans la peau de Sami.

Lorsque Fifrelin ouvre la porte de devant menant sur l’extérieur, un bruit strident retenti résultat d’un sortilège d’alarme magique. Le brouhaha strident dure quelques secondes puis cesse de lui même.

Les deux comparses fuient donc à toutes jambes quittant le bâtiment siège de leur larcin et machiavélique manigance. Le sortilège d’alarme semble avoir réveillé quelques voisins qui ont allumé leurs lanternes et qui se penchent par leur fenêtre pour voir ce qui se passe dans les rues.

La milice également alertée a changé ses rondes pour faire un détour par la place à la fontaine à têtes d’hydres, le quartier en va pas tarder à être bouclé.

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Conseiller Message 40 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-30 08:03

(Hors Jeu : Est ce que le faux masque a bien volé en éclat comme prévu ?)

Sambre est également surpris par l’alarme sonore. * Zut on a pas pensait à ça !!!*

Des que Sambre à rejoint Fifrelin, nous nous engageons dans les premières ruelles rejoindre Pétard avant que les voisins commencent à tous se pencher à la fenêtre.

Nous faisons une très brève pause ou j’en profite pour m’adresser à Pétard avec mon bracelet.

« Pétard on retourne à la maison. Tu passes devant nous et tu restes à porté de voix. Si tu rencontres des hommes en armes tu fais demi tour et tu reviens vers nous en silence. Allez on te suit mon chien »

Je donne à Fifrelin une des deux outres de vin que nous utiliserons si nous sommes surpris par une patrouille.

Puis nous nous élançons à la suite de Pétard. Durant cette course je profite des égoux, poubelles, tas d’ordures et autre lieux discrets que nous rencontrons pour y jeter, en plusieurs endroits, tout le matériel compromettant : baramine, chaîne, sac de jute, entraves, planche du double fond, herbe à rêve, pipe ... Je ne garde de notre casse que le cylindre contenant les papiers et Fifrelin le masque.

Nous espérons être plus rapide que la vitesse de réaction du guet vu que nous nous apprétions à quitter la confrérie des négociants quand l'alarme a retenti. Mais si Pétard fait demi tour ou si nous rendons compte que nous ne pourrons pas sortir du quartier. Nous changeons de direction et partons vers l’endroits le plus loin de l’entrée du quartier et de la confrérie des négociants.

Nous essayons alors d’appliquer le plan 2 : Nous recherchons un endroit de la muraille séparant deux quartiers que Fifrelin pourrait escalader discrètement. Nous faisons attention au tour de garde sur les murailles. Si nous trouvons un tel endroit, j’aiderai Fifrelin en le montant à bout de bras. Voir si possible, j’essayerai d’attraper quelque chose en hauteur avec mon fouet. Fifrelin utilisera alors mon fouet comme une corde. En cas de chute, j’essayerai de rattraper Fifrelin. Fifrelin pourra ensuite m’envoyer une corde. Fifrelin n’est pas monte en l’air, si le dieu de la création en avait voulu autrement il lui aurait donné de plus grande jambes (Hors Jeu : et accessoirement une meilleur capacité d’escalade). Je laisse à Fifrelin le soins d’évaluer la faisabilité de ce plan. Mais comme il ne s’agit pas de notre dernier choix nous ne prenons pas de risque.

Si nous estimons que nos chances d'escalade sont trop faibles, nous cherchons une petite échoppe, la plus miteuse possible (Je sais c’est pas le bon quartier, mais la plus miteuse possible). Je demande à Pétard, en utilisant mon bracelet pour la dernière fois, s’il sent l’odeur d’un autre chien sur le pas de la porte. Si oui, nous cherchons une autre échoppe.

Une fois une échoppe trouvé, je laisse faire les doigts agiles de Fifrelin pour ouvrir la porte et nous y entrons en silence pour attendre le petit matin pour prendre congé de notre hôte.

Nous comptons sur le fait que la guet trouve rapidement le voleur de la confrérie des négociants. Comme rien n’a été volé et que le voleur est pris la main dans le sac, nous comptons sur le fait que le guet débouclera le quartier rapidement.

(Hors Jeu : Comme disait un célébre héros : "J'adore quand un plan se déroule sans accroc". Mais bien entendu mon message ci-dessus n'est qu'une liste d'inttention d'action et non pas d'actions accomplies. J'attendrai donc ta réponse avant de sortir cette réplique )


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Conseiller Message 41 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-30 16:51
Mis à part ses oreilles qui tintent encore un peu en raison de l'alarme magique, Fifrelin est aux anges.

*Notre mauvais coup semble avoir réussi. Pour peu que nous ayons été plus rapide que le voisinage ce vol est une oeuvre d'art*

Puis je reviens sur terre, me rendant compte que de telles pensées pourraient attirer sur nous le mauvais sort. Un vague regret m'effleure quand à ce qui peut arriver à Sami. Mais ce n'est guère plus qu'une ombre que son entêtement a perdu.

*Aprés tout, il ne paiera pas pour le vol qu'il a commis mais pour celui qu'il n'a pas commis. Au fond les comptes sont équilibrés*

Perdu dans mes pensées, je me cogne rudement à Sambre qui s'est arrêté pile le temps d'observer à un carrefour. Je jette un oeil prudent à mon tour en frottant mon nez endoloris.

S'ensuit un rapide concilliabule à voix basse. Puis nous tombons d''accord.

Si nous avons pu prendre la milice de vitesse nous gagnons rapidement le quartier Nortis ou nous trouvons un coin tranquille en attendant l'aube et notre commanditaire.

Je proteste quand il évoque l'idée de me faire escalader la muraille.

Reste que si des barrages se sont mis en place nous nous rencoignons dans le quartier Mercator jusqu'à trouver un appentis, un atelier ou un magasin d'objets de peu de valeur dont je crochète la porte aprés que Pétard ait pissé sur le décrottoir, histoire de marquer son approbation. Je recrochète ensuite au cas ou quelqu'un vérifierait et j'inspete les différentes issues.

Une fois à l'abris : "Eh si tu étais tombé sous les fléchettes, je ne t'aurais pas abandonné tu sais. Je t'aurais emporté sur mes épaules ! Hin hin hin..."

*seulement il m'aurait fallu au moins 2 voyages*



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Conseiller Message 42 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-02 03:33
Fifrelin soudain se fige, ses mouvements ralentissent et ses pensées s'étirent. Un frisson le parcourt sans qu'il en ait seulement conscience. Le temps est devenu poisseux, une chappe paralyse le royaume. Partout les étincelles de vie s'étiolent, leurs âmes envolées. Ne demeure bientôt plus qu'une compilation d'écrits interrompus, fragiles vestiges d'histoires à la merci d'un simple virus.

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Conseiller Message 43 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-02 08:28
(Hors jeu : Vraiment désolée pour le contre temps. Voilà un exemple de plus des aléas de la vie qui me fait enrager de ne pas avoir le don d’ubiquité.
Le faux masque a bien volé en éclats. Je parle bien entendu du masque que vous aviez apporté et que Fifrelin avait piétiné et de celui qui s’est retrouvé dans l’armoire de stockage explosée par la charge du rôdeur.
Et puis, je suis bien d’accord avec le hobbit lorsqu’il qualifie votre larcin d’œuvre d’art.
Pour servir à la fuite, je vous propose d’utiliser le plan du quartier posté dans le premier message de cette aventure. Nous sommes donc pour le moment dans le quartier Mercator, tout au sud, dans le petit bâtiment donnant sur la place à la fontaine. Les deux portes de sortie du quartier sont situées à l’opposé tout au nord ou plein nord est.)

Pétard remue de la queue et part en éclaireur droit vers le nord. Il ne tarde pas à revenir sur ses pas, indiquant aux deux cambrioleurs que la voie n’est pas libre. En fait, il leur parait vite évident qu’à moins de contourner tout le quartier vers l’extérieur, aucune voie n’est libre.
Les quatre gardes de la milice semblent s’être séparés en groupes de deux, bloquant dans un premier lieu les deux portes de sortie. Ils semblent attendre quelque chose, l’un regardant vers l’intérieur du quartier, l’autre vers l’extérieur.

Sambre et Fifrelin, semblent en être réduits à devoir se planquer dans un étal de tailleur situé dans le bâtiment parallèle au mur Est du quartier. La serrure cède bien rapidement aux assaut de l’outil de Fifrelin et tous les trois se retrouvent entre les rouleaux de lés, dans la boutique au décrotte pied arrosé.
Tout est calme, la boutique se compose d’un petit comptoir et d’un grand plan de travail, supportant une boite ouverte où s’entassent aguilles, fils, centimètres et paires de ciseaux. Hormis la porte par laquelle ils sont entrés, il n’y a qu’une seule autre issue, constituée d’une porte de bois grossier.
Quelques mannequins, portant des vêtements non terminés sont exposés.

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Conseiller Message 44 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-02 09:52
Fifrelin se laisse brutalement tomber sur le sol poussiéreux de l'atelier. L'adrénaline retombe. La fatigue de nos tribulations nocturnes précédées de ces longues heures de claustration se font ressentir.

Mais quelques instants plus tard je me redresse avec un gémissement. Je laisse mon sac à Sambre et je retourne au coin de la rue disséminer mes réserves de poivre et d'anis pour gâter le flair d'éventuels limiers qu'on aurait mis sur notre piste.

Je retourne ensuite bien vite à notre abris tout en jettant des coups d'oeil à droite et à gauche.

"Bon, espérons qu'en l'absence d'objet volé, ils conclueront bien vite qu'ils tiennent le coupable et ne chercheront pas au dela."

Sur ces paroles d'espoir, j'attrape un balot en guise d'oreiller et je m'installe pour un petit roupillon.

"A toi la garde Sambre. Si tu veux manipuler l'objet, il est dans mon sac. Mais ne commet pas d'imprudence si prêt du but."

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Conseiller Message 45 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-03 07:27
"Minute papillon, avant de piquer du nez, jette un oeil sur le masque pour voir comment le démonter rapidement. Ne le demonte pas pour le moment, inutile de risquer de l'abimer ou de déclencher tout autre alarme magique. Mais éventuellement si l'étau se ressert trop dans le quartier, tu le démontras et on prendra chacun 4 morceaux ... comme ils cherchent un masque, ils devraient pas nous ennuyer pour nos "cailloux"..."

Je laisse ensuite Fifrelin piquer du nez et je veille avec Pétard qui reste allongé la tête sur ma jambe silencieusement. Je reste attentif aux bruits pour y réagir en conséquence ...

Peu avant que la ville commence à s'éveiller. C'est à dire des les premiers rayons de soleil, je reveille Fifrelin.

Nous remettons tout en place dans l'échoppe que nous quittons et que Fifrelin referme pour nous rendre tout tranquillement chez monsieur Piedeboeuf ...



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Conseiller Message 46 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-05 11:08

La nuit passe plutôt tranquillement dans l’échoppe du tailleur où les deux brigands ont trouvé refuge. De temps à autre, les rondes de la milice passent juste devant la boutique et testent la porte fermée. Après trois passages, les gardes semblent ne pas avoir trouvé ce qu’ils cherchaient et semblent abandonner la partie.

Les premières lueurs de l’aube ne tardent pas à éclairer faiblement l’intérieur du petit magasin et à sonner l’heure de partir pour Sambre, Fifrelin et Pétard. Il semble par ailleurs que le propriétaire soit sorti de son sommeil bien tôt à en juger les bruits sur le plafond.

Les deux comparses quittent donc les lieux et prennent la direction du quartier Nortis. Les portes des quartiers sont filtrées et toutes les personnes qui entrent où qui sortent sont arrêtées par les miliciens qui semblent leur poser quelques questions avant de les laisser poursuivre leur chemin.

De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-05 16:51

En sortant de l’échoppe Fifrelin, Sambre et Pétard sont un peu déçu. Même dans son rôle de bouc émissaire Sami aura failli … la vie est dur pour les petits voleur à la tire. Soyons optimiste, il arrivera peut être à faire place comble quand il montrera sur la potence. Mais bon soyons aussi réaliste, il est probable qu’il n’y aura pas de rappel.

En attendant, organisons-nous pour quitter ce quartier et livrer à monsieur Piedeboeuf ce qu’il attend.

Dans un premier temps, puisque les parchemins et le masque nous portent malheur … nous les échangeons l’un avec l’autre. Ainsi Sambre se retrouve avec le masque dans un sac et Fifrelin avec le cylindre à parchemin. Sambre range dans son sac les haches qui pendent a sa ceinture.

Ensuite Fifrelin et Sambre après quelques messes basses se quittent pour se rejoindre un peu plus tard, l’un après l’autre, devant une échoppe d’un petit boui-boui prés d’une entrée pour y prendre un petit déjeuner dans la rue. Fifrelin et Sambre s’ignorent l’un l’autre.

Nous profitons de cette pause pour observer les gardes à l’entrée. Fournissent-ils des jetons aux personnes entrant ? Contrôlent-ils les personnes de quelques façons que ce soient ? Ou posent-ils uniquement quelques questions ? Nous écoutons aussi les discussions des autres personnes qui déjeunent.

Une fois sont repas pris, Sambre part à la recherche d’un employeur comme manœuvre ou livreur.

Vers midi, Sambre prend sa pause déjeuner dans le même boui-boui mais va finir son repas à coté une étale, d’une carriole attelée prés à faire une diversion si un hobbit quelconque lève la main au ciel. (Faire choire l’étale, croche pied à un commis lourdement chargé, pique dans les fesses du cheval, ….)

Si Sambre est obligé de faire diversion, il s’excusera platement de sa maladresse.

Le soir venu, Sambre achètera deux tourtes à manger pour la soirée. Sambre découpera le dessous d’une des tourtes qu’il évide un peu pour y placer le masque. Je les placerai ensuite l'une au-desus de l'autre dans un torchon pour les transporter aisement. Puis après une journée de travail harassante, Sambre rejoindra la maison loué par Fifrelin. Ou s'il n'est pas encore tard, nous allons chez monsieur Piedeboeuf.

( Hors Jeu : Encore une fois ceci ne sont que des intentions ... )


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Conseiller Message 49 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-05 17:38
Fifrelin est perplexe...

*Humm il y aura eu sur le masque un sort d'alarme ... dommage ... un mage aux aguets ... un guet alarmé. Mais que cherchent-ils maintenant ? Ils avaient un coupable et un vol raté, quel déploiement.*

Je passe le reste de l'aprés midi à faire quelques emplettes. Je cherche notamment un herboriste où je puisse m'acheter quelques "ingrédients" en particulier de quoi confectionner une poudre qui sans donner l'alarme, une fois mise au feu, endorme les gens qui en respireraient la fumée. Ensuite quelque chose de similaire mais qui passe sans trop se remarquer dans un aliment ou une boisson. Je noie ces ingrédients sous une foule d'ordres et de contre ordres ainsi que quelques broutilles peu chères. J'arrête quand je vois l'apothicaire apoplectique.

J'achête enfin une robe seyante pour une hobbite de ma connaissance et quelques coupons d'étoffe. Je roule les parchemins au milieu des coupons que je reficelle solidement ensuite. Mes dagues sont rangées au fond de mon sac entourée par mon baudrier.

Enfin, sur le coup de midi je me dirige vers la sortie du quartier qui donne sur la place du marché. Je passe sans tourner la tête non loin de Sambre, en faisant les gros yeux à Pétard qui me fixe bonâssement.

Je prends mon temps pour inspecter le flot des gens qui se dirigent vers la sortie avant de me glisser avec naturel devant un mastard pathibulaire en espérant qu'il focalisera les attentions.

Arrivé devant le planton, je souris d'un air niais en machonnant un brin de graminée.

Si il semble vouloir me laisser passer sans m'arrêter je continue sans broncher.

Si il m'interroge je lui réponds jovialement : "Ben j'étions viendu dans vôt g'ande citée pour vend el cide ed min futul beau père. Et la j'avions fait quèques saaachat pou'l ma dulcinée" Ceci ponctué par une lippe des plus satisfaite en brandissant la robe.

Si il me parle de vol, je confesse en me grattant la tête que : "Ben sur, tout le monde il l'en parle ! Ces deux fous qu'aviont piqué une timbale. Même qui parrait qu'ca vaudrait beaucoup ed sous."

Si les choses s'enveniment et que suite à un moyen magique ou autre le garde décide de m'arréter je lève le doigt au ciel pour invoquer une diversion et je prend mes jambes à mon cou.

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Conseiller Message 50 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-06 11:22

(Hors jeu : Je trouve intéressant ton concept de superstition Sambre, à creuser avec mon aide si tu veux…
J’ai par ailleurs bien reçu ton message et répondrai à tes questions ce soir ou demain)

En écoutant ce que les gardes demandent aux passants, Sambre et Fifrelin se rendent compte que cela n’a rien à voir avec le casse réalisé dans la nuit. Il arrêtent toutes les personnes entrant et sortant des quartiers (il est visible que les autres quartiers subissent le même filtrage).
Les questions posées sont simples et rapides et semble être plus un appel à la participation du peuple qu’à autre chose. En effet, il semble que l’on ai trouvé un cambrioleur dans la confrérie des négociant cette nuit. Cela fait deux fois en deux jours que cette maison est concernée par les larcins, aussi, il est demandé à chaque citoyen Salnomite d’ouvrir l’œil et de ne pas hésiter à informer la milice en cas de personne rôdant de façon suspicieuse autour d’une maison.

Sambre, Fifrelin et Pétard se voient servir le même discours à la sortie du quartier Mercator et à l’entrée du quartier Nortis. Les gardes leur demandent de bien ouvrir l’œil et de rester vigilant, mais ne les empêchent pas de passer, puisque plutôt satisfaits d’avoir arrêté le coupable.

(Je suppose que le pot de fleur est bougé pour signaler à Piedeboeuf que la mission est remplie ? Si tel est le cas, je continue un chouilla)

Piedeboeuf arrive à la maison un peu plus tard. Il entre et laisse la porte ouverte derrière lui, attendant que ses deux employés arrivent. Plutôt satisfait du travail fourni, il dépose sur le bureau une bourse comprenant le reste de la somme convenue pour le masque tout en lorgnant et étudiant l'objet avec attention.

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Conseiller Message 51 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-06 17:33
( Hors Jeu : Sambre du fond se sa tranché, une pelle à la main, porte sur Nathalie un regard évaluateur. « Okay c’est bon. Prend la pioche et rejoins-moi … mais descends du pied droit ici »)

Sambre prend son petit déjeuner dans un petit boui-boui prés d’une des portes du quartier. Sa tension baisse très vite dés qu’il comprend la nature des barrages de la milice de la ville. En croquant dans un autre beignet, Sambre sourit aux souvenirs des plans rotors et tortueux qu’il s’apprêtait à mettre en place avec Fifrelin pour quitter le quartier.

Sambre croise le regard de Fifrelin et d’un signe de tête nous convenons de passer aussi tôt le barrage pour nous rendre chez monsieur Piedebouef, notre commanditaire.

Sambre et Fifrelin rentrent dans la maison de monsieur Piedeboeuf. Laissant Pétard une nouvelle fois seul dans la rue. Fifrelin referme lui même la porte en s’assurant qu’elle ne se re-verrouillera pas derrière nous.

Puis Fifrelin dépose sur la table le masque de Tarnelth. Sambre s’amuse à voir le très droit et strict monsieur Piedeboeuf trépigner d’impatiente comme un enfant devant ses cadeaux.

Sambre n’essaye même pas de ramasser la bourse déposée sur la table par monsieur Piedeboeuf qui a depuis fort longtemps disparu dans les doigts agiles de Fifrelin qui compte rapidement notre paiement.

« Monsieur Piedeboeuf, vous aviez aussi proposé une récompense de 300 pièces d’or supplémentaire si nous trouvions le nom de la personne qui a apporté en dépôt ce masque à la confrérie des négociants. Je pense que nous avons peut être trouvé »

Sambre sort alors du cylindre à parchemin les pages découpées dans le registre de la confrérie des négociants.

« Voici les dernières pages du registre des entrées des articles dans la confrérie des négociants. Rassurez vous il fort probable que la confrérie des négociants ne remarque pas leur disparition. Vous pouvez y jeter un œil, puis nous les acheter ou les rendre »

Sambre et Fifrelin sans demander leur reste, prennent une chaise et s’installent confortablement en attendant la fin de l’étude de ces documents.

A l’issu de la lecture de monsieur Piedeboeuf, nous récupérons soit une nouvelle bourse, soit les papiers que nous irons faire lire ailleurs et plus tard.

« Et bien monsieur Piedeboeuf, je pense que notre contrat est rondement et complètement terminé. J’aurais cependant une question et un petit service à vous demander. Nous vous avons donnez nos véritables noms et j’avais alors émis le souhait de peut-être pouvoir connaître le vôtre ? Ensuite, pourriez vous nous lire à haute voix ces quelques documents qui étaient habilement dissimulés dans le bureau du responsable.»

Sambre finir alors de vider son cylindre et lui remet les documents que Fifrelin a trouvé dans le bureau du responsable, dans une cache sous le buste d’une statuette d’un homme à barbichette.

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Conseiller Message 52 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-07 11:18
Fifrelin s'assiet tranquillement sur les premières marches de l'escalier où il empile des petits tas de pièces en regardant de temps en temps PiedDeboeuf.

Quand il attaque le registre des livraisons, je lui résume dans les grandes lignes pourquoi nous ne devrions probablement pas être inquiétés pour le vol du masque et des papiers.

J'observe si il tique lorsque je mentionne la "collaboration " de Sami, sans paraître ému moi-même.

Au moment ou Sambre lui donne les derniers feuillets pris dans le bureau de Sir Thomas je précise : "Ces informations sont je pense un simple bonus sur les activités de cette salle des ventes. Il se peut qu'on y découvre des informations "exploitables" en particulier concernant les reproductions d'objets."

(Hors jeu : +15% détecter/désamorcer pièges ; +10% crocheter ; +5% déplacement silencieux)

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Le nombre de participants qui recommandent ce message. 0 recommandations Message 53 sur 80 dans la discussion
Envoyé : 2004-04-07 11:32
L'auteur a supprimé ce message.

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Conseiller Message 54 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-09 05:26

(Hors jeu : Fifrelin, tes points sont à jour, ma parole, un vrai spécialiste de la serrurerie ! Sambre, tu es à présent niveau 2. Je mettrai à jour tes points de vie et les capacités de Rôdeur.)

Fifrelin compte les pièces de la bourse donnée par leur employeur. Il y a bien les 200 pièces promises, moins l’avance qu’ils ont perçue avant.

Piedeboeuf, examine donc de près le masque rapporté par les deux voleurs. Il le retourne dans tous les sens, et active même le mécanisme pour le démonter, cherchant visiblement quelque chose. Finalement, son visage s’éclaire et il reporte son attention sur Sambre qui lui tend des documents.

Pendant que Sambre et Fifrelin s’assoient, Piedeboeuf sort de sa poche une paire de lorgnons qu’il pose sur son nez afin d’étudier leur contenu des parchemins. Il passe en revue une, puis deux pages, sans s’arrêter et à la troisième page, ses doigts se crispent de nervosité sur le papier pendant que son visage se referme.
– La garce ! laisse t-il échapper.

Piedeboeuf prend quelques instants pour contenir ses émotions et la colère qui semble l’avoir envahi. Lorsqu’il repose son regard sur les deux comparses, une étrange lueur assassine brille dans ses yeux. Lentement, il se lève et va chercher dans la bibliothèque, une petite bourse soigneusement dissimulée derrière des bouquins poussiéreux. Il revient vers le bureau et dépose sur la table six grosses gemmes de couleur ambrée (valeur de chacune environ 50 Po).

Se rasseyant, Piedeboeuf joue nerveusement avec sa mâchoire et en se saisissant des autres documents tendus par Sambre répond à sa question par une autre :
- J’ai un autre travail à effectuer… d’un autre genre… à vous de me dire si vous êtes intéressés… mais il ne faudra pas avoir peur de se salir les mains.
Machinalement, il se saisi des autres documents et les passe en revue. Avant d’expliquer de quoi il retourne, l’homme relève la tête et attend de voir si les deux coquins sont intéressés par un autre travail.

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Conseiller Message 55 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-09 11:00
(Hors jeu : Sambre, 2 sur un 1D10 c'est pas si mal !)

Fifrelin arrête ses chateaux de pièces pour observer le manège de Piedeboeuf.

*Tiens, c'est bizarre, on dirait qu'il cherche quelque chose qui serait à l'intérieur des jointures du masque.*

Sous couvert d'empocher les sucres candis je m'approche du bureau et je tente d'observer ce qui dans les morceaux de masque a déclenché sa réaction.

*C'est marrant ce type, la dernière fois il avait planqué l'argent à l'étage. Il me rappelle mon chien. Un jour il oubliera où il a planqué son os. Je me demande si il engagerait un hobbit de ménage*

Quand Piedeboeuf fait sa proposition d'un autre travail je réplique songeur :

"Nous sommes tout ouïe concernant votre nouvelle offre. Mais avant j'aimerais que vous nous lisiez a haute et intelligible voix le contenu de ces feuillets, histoire de solder l'affaire du masque."

Je donne ensuite à Sambre sa part soit 3 gemmes de 50 po, 77 po et 5 pa.

De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-09 12:02

Sambre, ne pouvant retenir un petit sourire de satisfaction, empoche gemmes et pièces en se promettant que plus aucun autre petit voleur à la tire lui fera la belle sans le rembourser aussi bien que Sami.


En voyant monsieur Piedeboeuf rechercher quelque chose dans ou sur le masque. Je rajoute : « La confrérie des négociant a réalisé une copie quasi parfaite de ce masque et travaillait dans son atelier au sous sol, à la réalisation d’une seconde copie. »


Puis en levant les yeux aux plafond pour m’étirer sous l’effet du manque de sommeil qui se commence à se faire sentir je rajoute pour finir : « Etrange pour un objet qu’il allait être vendu dés le lendemain … enfin bon ce sont vos histoires »


En rabaissant la tête, je jette un œil sur Fifrelin, et en fonction se sa moue je me demande s’il a réussi à voir quelque chose. Sûrement que oui.


La dernière proposition de monsieur Piedeboeuf me met mal à l’aise par ses sous-entendus. Je fronce un peu le nez et les sourcils. Etrange réaction, je n’ai jamais eu ces états d’âmes lors de mes chasses dans la forêt. Monsieur Piedebouef devra se montrer très convainquant s’il veut que nous acceptions sa mission.


La réponse de Fifrelin tombe à point pour me rendre de nouveau serein. Me rendant compte que monsieur Piedebouef a pu lire en moi comme dans un livre ouvert, je rajoute pour donner le change « Je préférerait également clore cette première affaire avant de passer à autre chose. »



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Conseiller Message 57 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-14 06:09

(Hors jeu : Normalement, vos fiches sont à jour. Avec les sous et tout ce qui va avec. N’hésitez pas à me faire signe et à protester si je vous ai arnaqué, mais je vous fais confiance pour ça)

Fifrelin constate en se contorsionnant que le masque semble avoir une marque petite spécificité dans une des encoches. Un inclusion dans la matière qui a la forme d’un petit vers. Sambre qui ajoute que des copies ont été préparées par la confrérie récolte un sourcil dubitatif. Presque aussitôt le masque est délaissé par Piedeboeuf pour se concentrer sur les écrits rapportés par les deux compères.

Après avoir inspecté les documents, Piedeboeuf leur livre leur contenu :
- Il semble qu’il s’agisse de bons de commande. Regardez, dit-il en étalant un des documents sur la table, ici il y a un bon de commande pour une épée, ici c’est pour deux bougeoirs… rien d’anormal à première vue…
Piedeboeuf passe ensuite sur un autre document et marque un temps d’arrêt.
– Intéressant…
Il relève la tête et leur demande :
- Il n’y avait pas d’autres écrits ? Pas de registres ? J’ai ici le nom d’un acheteur pour mon masque… suivi de deux autres noms…
Il continue son inspection et déclare en tendant un dernier petit parchemin aux deux compères :
- Cela pourra vous faire office de bonus… c’est un bon au porteur d’une valeur de 50 pièces d’or, à retirer chez un usurier du quartier Medium….

Rassemblant tous les documents, il les place sous son coude :
- Bien ! Et ma proposition ? Vous m’avez rapporté le nom de la personne qui a dérobé mon masque. Je veux maintenant sa tête…

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De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-14 07:53
Fifrelin tord le nez en au fur et à mesure que Piedeboeuf épluche les documents. Son visage s'éclaire un peu lorsque ce dernier tend le bon au porteur puis son regard s'arrête sur les documents sous le coude de l'humain.

"Bon, c'est toujours ça de pris. Si ça ne vous dérange pas, maintenant que vous avez exploité cette paperasse, je vais les brûler dans votre cheminée, histoire qu'ils ne traînent pas".

Si notre commanditaire est d'accord, je m'active à faire disparaître ces preuves inutiles.

Sa dernière proposition me fait sursauter : "Saperlipopette, j'espère que ce n'est pas une coutume que de réclamer la tête de celle ou ceux qui ont dérobé le masque !"

Je regarde du côté de Sambre, pour voir comment il prend cette nouvelle.

Dubitatif, je lance à Piedeboeuf : "Hummm ... je ne sais pas ... Il nous faudrait en savoir plus. La carrière de spadassin est un chemin où l'ame a tôt fait de s'égarer. Dîtes-nous donc qui et surtout pourquoi. N'en prenez pas ombrage mais l'argent ne sera pas un motif suffisant. Mais quelle que soit notre réponse finale, notre silence vous est acquis".

Sur ce, je me cale en croisant les bras prêt à écouter une belle histoire.




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Conseiller Message 59 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-14 16:11
Quand Fifrelin demande à brûler les documents que viens de lire Piedeboeuf je l’interrompe : « Fifrelin ne brûle pas ces documents pour les moments, garde-les. Nous aviserons de leur sort plus tard. » Puis je sorts mon cylindre à parchemin pour les y remettre. Dans tous les cas monsieur Piedeboeuf ne gardera pas ces documents en sa possession.

Quand monsieur Piedebouef nous questionne sur l’existence d’autre écrits ou registre : « Il y a dans la confrérie des Négociants une bibliothèque complète, des registres un peu partout. Malheureusement le bibliothécaire n’était pas disponible. Cependant pour répondre, en devinant votre question sous-jacente, sachez que vous avez sur votre bureau tous les documents que nous avons récupéré cette nuit. »

Quand monsieur Piedeboeuf renouvelle une nouvelle fois son offre d’emploi, je rajoute après les commentaires de Fifrelin : « Fifrelin résume bien mes propres pensées. Et je vous répète que notre silence vous est acquis.»


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Conseiller Message 60 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-14 16:16
(Hors jeu : pas dur de résumer les pensées de Sambre, il suffit d'utiliser de ne pas utiliser de mots de plus de deux syllabes et répéter les concepts "Nourriture", "Sexe" et "Argent". Bon parfois, quand il cogite dur, l'ordre des 3 peut s'inverser. D'ailleurs, le coup du bracelet pour parler aux animaux, c'est pipeau ! C'est un "don" naturel )

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Conseiller Message 61 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-15 16:07
(Hors Jeu : Fifrelin je sais plus si je te classe dans la catégorie "Sexe" ou "Nourriture" tu as une préférence ? )

De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-15 16:22
(Hors jeu : Bah, continue de te poser la question. Avec un peu de chance je serai sauvé par une surchauffe de ton neurone ! ERROR 412 Type mismatch )

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Conseiller Message 63 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-15 19:18
(Hors Jeu : Aiiieeee !!! Ca chauffe trop à ma tête ... MAIS CA VA CARREMENT SURCHAUFFER POUR TON PETIT MATRICULE ... en cas d'erreur system je pense que c'est toi qui va rebooter )

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Conseiller Message 64 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-16 04:51

(Hors jeu : Désolée les garçons, vous êtes passés totalement au travers de mes filets de réponses d’hier… J’espère que les neurones de Sambre sont encore un état de fonctionner et n’ont pas trop surchauffer au point de faire subir à Fifrelin, le sort d'une belle cottelette ou pire celui de... non, je préfère ne pas le dire)

L’expression du visage de Piedeboeuf change très légèrement lorsque le hobbit propose de mettre les documents au feu. Alors qu’il est interrompu par Sambre, Piedeboeuf se lève, tenant les documents dans la main :
- Non, le hobbit a raison, vaut mieux que cela ne traîne pas. En plus qu’on les trouve sur vous ou chez moi, cela ne nous apporterait que des ennuis.

D’un geste nonchalant, il balance les parchemins dans la cheminée (qui n’est pas encore allumée). Avant de revenir s’asseoir au bureau. Il prend alors un air grave et croise les doigts sur le bureau.
– Le nom que vous m’avez rapporté est celui de.. la belle sœur, d’un très bon ami. Elle lui joue des crasses sans cesse pour une sombre histoire d’héritage. C’est une enquiquineuse, une voleuse et une menteuse. C’est son nom qui est apparu sur les pages du registre que vous m’avez apporté. Et je comprends mieux à présent comment ce masque a pu être dérobé avec autant de facilité. Il fallait que quelqu’un connaisse la maison et l’endroit où il était gardé.

Piedeboeuf se rapproche en se penchant sur la table et poursuit :
- Je veux qu’elle crève la saleté, qu’elle crève la bouche ouverte et la tronche dans la boue. Elle a fait assez de crasse comme ça à mon ami qui est au bord du gouffre… combien demandez-vous pour ce travail ?

De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-16 20:01

"Avant d'établir un devis en bonne et due forme, pourriez vous nous dire de qui il s'agit. Nous faisons des réductions pour les greluches de taverniers ces jours ci, mais notre assurance refuse de nous couvrir pour les Impératrices, les Archi-Magicienne et les Succubes ou autres diablesses.

De plus, pourriez vous nous indiquer vos préférences quand au traitement du bénificiare : glissade mortel sur savonette, crise d'asthme fatal, grandes complications letale de bobos divers, tentative de record d'apnée, initiation au saut à l'élastique sans élastique depuis la plus haute tour du dongeon, dommage colateraux chez le barbier (uniquement pour les femmes à barbe), réglement de compte sous forme d'avertissement, agonie lente et douloureuse (avec révélation ou non du plan diabolique pour conquérir le monde), évicération rituelle, amputation thérapeuthique de la tête sur avis médical d'un médecin dument conventionné

Pour les 4 dernieres options de contrat nous ne pourrons pas vous satisfaire. Et notre contact ne pourra pas vous orientez vers d'autre société ayant été lachement dépecé vivant avec toute sa famille ... "

Puis aprés un silence montrant un peu d'agacement

"Ou dites nous quel est le rang social de cette personne, son lieu d'habitation et ses habitudes que vous lui connaissez, quel type d'assasinat souhaitez vous : plutot accident ou plutot meutre exemplaire et sanglant"

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Conseiller Message 67 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-17 05:33
Fifrelin accroupis devant la cheminée écoute avec un certain agacement le discours de Sambre.

Je m'active à préparer le feu, dos tourné à Piedeboeuf : "Pour ma part, je regrette mais je décline la mission".

Pendant que je dispose les parchemins et quelques brindilles habituellement disponibles pour aider au démarrage du feu, je glisse la feuille sur laquelle s'était arrété Piedeboeuf à l'intèrieur de ma chemise. Puis dés que le feu a pris je me redresse satisafait en m'essuyant les mains sur le pantalon.

"Je ne compte pas assassiner cette personne pour un tel motif." S'ensuit un regard appuyé sur Sambre : "Mais je ne doute pas que vous trouverez des personnes compétentes en la matière".

Je m'écarte d'un pas pour méloigner du feu qui dévore joyeusement le tas de parchemins.

"Bref, sauf si vous avez un élément nouveau suceptible de me faire changer d'avis, je vous propose de vous laisser poursuivre seul, n'ayant pas besoin d'en savoir plus."

Ces paroles dîtes, je me dirige vers la porte aprés un petit salut aux deux hommes.

"Je reste bien sur à votre disposition pour d'autres futures missions".

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Conseiller Message 68 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-19 11:26

L’ironie dont fait preuve le rôdeur semble refroidir soudain Piedeboeuf. Son visage se referme autant qu’il eut été possible qu’il se referme. Il jette de temps à autre un coup d’œil en direction du hobbit qui s’active dans la cheminée.

Lorsque Fifrelin refuse ce nouveau travail Piedeboeuf soupire, visiblement déçu :
- Tant pis, je trouverais quelqu’un d’autre pour se charger de cette tâche. Vous avez néanmoins fait un bon travail pour le masque…

Le hobbit quitte donc les lieux après avoir été salué d’un signe de la tête et Piedeboeuf regarde Sambre sans dire un mot, attendant que ce dernier se manifeste pour savoir si oui ou non, il se sent capable de faire ce travail seul.

(hors jeu : Fifrelin, si tu quittes vraiment le coup, je te laisse commencer une nouvelle discussion. J’ai bien entendu un doute quand à l’intention réelle du hobbit de laisser cette affaire derrière lui… mais je peux me tromper)

.

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Conseiller Message 69 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-19 14:47
Fifrelin cligne des yeux devant l'intensité de la lumière du dehors.

Je m'étire doucement, les péripéties de la veille m'ayant laissé quelques souvenirs.

*Bon, je donne une demi heure à Sambre pour conclure*

Je rejoins le chien de Sambre dans un coin tranquille, où je m'accroupis en lui grattant distraitement les oreilles.

*Non, décidémment cette affaire n'est pas pour moi. Il m'est arrivé de tuer, mais encore jamais sur commande. Et puis cette histoire de famille, je n'aime pas trop. En fait il ya pleins de bonnes raisons pour ne pas tuer les gens. Ils peuvent être grands, biens armés ou bien pauvres ...*

Pour tromper mon attente, j'observe l'activité de la place.

"Hep petite ! Donne moi donc 2 de ces beignets à 1 sou."

Je taquinne ensuite Pétard avec un des beignets jusqu'à ce qu'un spectacle innatendu lui permette de remporter la partie.

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Conseiller Message 70 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-21 03:31
* Hum .... ce monsieur Piedebouef aime bien se braquer au premiers mots et n'entends pas le plus important. Inutile de lui faire perdre mon temps et le mien.*

"Monsieur Piedebouef, je décline aussi votre offre. Vous ne me donnez toujours pas suffisamment d'éléments pour me faire accepter votre contrat malgrès mes questions."

"Si vous avez d'autres contrats, autre que assassinat, nous pourrions convenir de nous servir de Jean-Marie, l'opticien, comme moyen de nous contacter. Nous dirons à Jean Marie quand nous arrivons en ville et quand nous en partons. Est ce que cela vous conviendrez ?"

"Encore un chose, pour votre histoire de famille, à la place de l'assassinat, posez vous la question s'il ne vous serez pas possible, et suffisant pour vous, de tout simplement discréditez complétement cette femme. Cela est parfois aussi éfficace qu'une solution ... plus définitive."

"Et sur ceci Monsieur Piedebouef je vous souhaite une agréable journée."

Sambre se léve et part rejoindre ses deux petits compagnons dans la rue.

"Fifrelin, je te propose de faire quels que achats aujourd'hui et nous discuterons de ce que nous ferrons ce soir devant un bon repas. Qu'en penses tu ?"

(Hors Jeu : Nous ne sommes pas motivés pour nous occuper d'une mission de calomnie ... trop long à jouer par email, mais sympa à faire au tour d'une table. )


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Conseiller Message 71 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-21 06:49
Fifrelin qui somnolait, rouvre soudain les yeux en entendant Sambre s'adresser à lui.

Je me redresse en époussetant les pans des mon manteau.

"Ouais, on va descendre une choppine puis on discutera de tout ça".

(Hors jeu : je passe discrètement à Sambre 2 doses du venin de lame à 1d10)

Une heure plus tard les deux compères se séparaient en se proposant de se retrouver au soir à l'auberge du Cochon qui rit.

Je trotinne ensuite à la recherche d'un apothicaire capable de me fournir quelques ingrédients bien précis. Je noie ceux-ci parmi quelques autre innofensifs et de nombreuses hésitations, annulations et contre-annulations.

(Hors jeu : je voudrais disposer de quoi faire 2 doses d'une poudre discrète capable d'incapaciter/intoxiquer/empoisonner des campeurs à partir d'un feu de camp + 3-5 doses d'un poison de contact qui agisse et fasse des dégats méchants ou récurrents à partir d'un vêtement, d'un drap + 10 doses d'un somnifère à ingérer).

Je me dirige ensuite vers l'académie de magie, voir si il serait possible d'acquerrir quelques parchemins et à quel prix.

(Hors jeu : je me renseigne sur les sorts Familier, Détection de la magie, Charme personne, Invisibilité)

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Conseiller Message 72 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-04-21 10:43
Sambre tente une filature de Fifrelin jusqu'à l'apothicaire. J'y entre à la suite de Fifrelin et y demande divers baume et potion de soins (compétence : Premier Soins, Soins Vétérinaires). En particulier j'en rechercher de trois sortes : guérison rapide, guérison lente (donc beaucoup moins chère) et anti-poison (normalement leurs compositions est proche de celles des poisons, les dosages changent). Sous le déluge de questions, nous espérons que l'apothicaire ne remarquera pas ou ne fera pas trop le difficile.

Ensuite j'essaye de semer le hobbit en me rendant vers un armurier renommé de Salnium. Je me renseigne pour l'acquisition d'une armure de cuir clouté et de haches de qualités supérieur (avec bonus). Je me renseigne aussi au sujet du prix des dagues de qualité pour Fifrelin.

Enfin, je recherche dans Samnium s'il est possible d'acheté de deux ou trois jeunes chiens pour les dresser comme chien de guerre ou des chiens partiellement dressés. (Compétence : Parler avec les animaux, Soins Vétérinaire, Dressage de ranger). Je fait attention à trouver des molosses qui pourront visiblement s'entendre avec Pétard.
Ensuite je me rend au cochon qui rit, beaucoup moins riche mais heureux, pour y faire un repas gargantuesque. Je me méfis quand même de cette ville, et evite de rouler complétement sous la table ... mais je reste disponible pour toutes histoires et chants grivois.




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Conseiller Message 73 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNDark_Thorns Envoyé : 2004-04-21 12:14
(hors jeu , pour Informations
- la plupart des poisons que vous réclamez, surtout fifrelin, nécessitent bien d'autre composants que ceux vendus par un apothicaire, de nombreux composés minéraux et / ou animaux sont requis.

- Pour Sambre, les contrepoisons sont rarement voire jamais de composition proche des poisons, tu confonds avec les médicaments...

- Pour Sambre, un dressage minimaliste demande 3 semaines.)

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Conseiller Message 74 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-21 14:11
(Hors jeu : merci de ces précisions, même si pour les poisons on en avait déjà discuté ensembles.

Maintenant, on peut penser que l'apothicaire a peut être dans sa boutique les ingrédients complémentaires. Sinon, je gage qu'il y aura pas loin une autre boutique ou il sera possible de dénicher cela. Je ne vais cependant pas poster pour chaque boutique. Au fait, veux-tu que je t'y achète un peu du sable rouge, jaune et bleu dont tu auras besoin pour ton sort de vapeur coloré ? J'ai vu sur ta fiche que tu n'en avais pas.

Sinon, dans le même ordre d'idée, je compte au prochain niveau prendre lecture/écriture. Vas-tu me signaler qu'il me faudra au bas mot 4 mois de temps de jeu à temps plein avant de l'utiliser ?

Bref, je crois que dans les JDR nous faisons tous certaines entorses à la réalité. Laissons la MJ juger de ce qu'il faut ou non laisser passer, même si certaines interventions pour la culuture sont les bienvenues. Mais on a dit, pour la culture hein ? .

Si tu veux continuer cette discussion, je te propose de me PM, d'utiliser mon email ou même de m'appeler)


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Conseiller Message 75 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNDark_Thorns Envoyé : 2004-04-21 15:15
(Hors jeu
non, je suis sure que thalie saura se défendre. Mais comme j'ai trouvé des grains de sable dans les posts ou je traine je viens te les ramener...)

De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-22 03:50
(Hors jeu : Ouaip, mais autant je n'ai rien contre des interventions rollistiques genre "Allez les loups ! Allez !". Autant le réalisme tatillon d'un joueur qui veut jetter des sorts de mage alors qu'il est en cotte de maille, sans composant tout en étranglant un homme d'une main ... )

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Conseiller Message 78 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-22 03:58
(Hors jeu : Dites voir, il ne faut pas que je mette mon képi j'espère ...
Je suis en train de rédiger une page qui je pense remettra les choses en place, laissez moi un peu de temps, svp.
Pour ce qui de Sandoval, son sortilège de mage n'a pas encore été lancé, il me semble, je m'occuperai de son cas après
Chaque chose en son temps, tout d'abord, c'est Sambre et Fifrelin ...)

Réponse

Conseiller Message 79 sur 80 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-04-22 04:16
(Hors jeu : ... et Pétard !)

Réponse

Conseiller Message 80 sur 80 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-04-22 09:58

(Hors jeu : Reprenons et n’allons pas trop vite, chaque chose en son temps. Je vous invite à aller consulter la description – encore incomplète – de la ville de Salnium.
Pour information, il n’y a pas d’auberge du nom du cochon qui rit, mais plutôt L’ambre jaune, la Trompette de la mort, le Pin bleu etc… je compléterai la liste prochainement, je n’ai pas mes notes avec moi)

Piedeboeuf fait un peu la moue lorsque Sambre refuse à son tour le travail. Avec un soupir, il se lève et raccompagne le rôdeur jusqu’à la porte :
- Je respecte votre choix. Je trouverais bien une autre solution…Il raccompagne Sambre à la porte et le salue avant de rentrer dans la maisonnette pour terminer ses affaires.

(Hors jeu : l’affaire du masque étant close, je vous propose de continuer dans « Emplettes »)

ÉDIT: IDEM