Forêt d'Antinéor
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Dans cette grande forêt obscure et inquiétante vivent de nombreux de peuples (humains, nains, elfes, orques, gnomes, hobbits...) Certains ont fondé des villes, d'autres se sont enterrés sous terre, et les derniers sont allés vivre dans les arbres.
 
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 2004- ÉQUILIBRE ROMPU

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MortCroc

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MessageSujet: 2004- ÉQUILIBRE ROMPU   2004- ÉQUILIBRE ROMPU Icon_minitime16/01/09, 04:46 pm

De : Maître du jeu (Message d'origine)
Envoyé : 2004-07-26 04:22
L’orage gronde. La pluie battante s’abat sur la toile goudronnée qui sert de toit. Sambre observe le petit filet tomber de la toile sur le sol, pour ensuite serpenter vers un petit ruisseau.
Les ronflements de Fifrelin, le hobbit aventurier, ne sont même pas dérangés par le bruit du tonnerre qui sonne au loin.
Un peu plus loin, sous un buisson à large feuille leur servant d’abris, trois masses de poils sont blotties les unes sur les autres. L’une d’elles se lève, fixe un moment le regard de Sambre avant de se recoucher après avoir tourné deux ou trois fois sur elle-même. Il s’agit de Zeus, le frère d’Apollon. Ce sont deux molosses de guerre qui font passer Pétard pour un gentil petit toutou inoffensif.
Sambre est encore surpris de la facilité avec laquelle Pétard a adopté et a su se faire adopter de ses deux nouveaux compagnons de route et même si parfois, les chiens se jaugent encore, se reniflent et grondent pour assurer leur autorité, il ne se fait pas de soucis sur ce plan là. De son coté Fifrelin, même s’il reste toujours à une distance prudente pour préserver des doigts et ses orteils, commence à se faire accepter des deux nouveaux chiens. Sambre ne comprend cependant pas pourquoi Fifrelin utilise un accent et des intonations d’un major d’hommes de Britania quand il s’adresse aux chiens. Mais force est de constater que cela semble fonctionner.
Une nouvelle fois, le ranger jette un œil averti sur son abri de fortune, satisfait de constater que cet abri leur permettra d’attendre la fin de l’averse au sec. L’homme des bois se rend compte que finalement il a pris goût au confort qu’offrait Salnium.
Mais il faut savoir ne pas abuser de sa chance et rester discret. Après avoir subtilisé le masque de Tarnelth sur commande et empoché la récompense, Fifrelin et Sambre sont restés quelques jours en ville pour y dépenser leur butin. Les deux compères avaient envisagé un moment de continuer à travailler pour leur commanditaire, car visiblement ce vol du masque cachait une entreprise plus importante. Mais le manque de fiabilité de leur commanditaire ne les inspirait plus, et il était hors de question pour eux de le « doubler ». Appelez cela comme vous le voulez ;Conscience professionnelle ou sixième sens.
Dans tous les cas Fifrelin et Sambre avaient décidé de quitter Salnium, pour un temps au moins. Sambre souhaitait rejoindre le village des Trois Chutes ou il a appris que des forgerons elfes exerçaient. Fifrelin fut d’accord pour le suivre à condition de passer par la ferme des hobbits les Troypoms, pour y rencontrer une hobbite et probablement lui dérober un baiser ou deux. Le rangers accepta ce détour. Cette pause chez les petits fermiers sera une excellente occasion pour lui pour parfaire et finir le dressage de Zeus et Apollon.
Mais en attendant que la pluie cesse, Sambre décide de prendre exemple sur Fifrelin et après avoir baillé longuement, s’endort.
La pluie a cessé. Le hobbit dort toujours. Le ranger se réveille en sursaut en portant les mains sur ses oreilles pour les boucher. Mais le rire qui le terrifie tant est parti avec la fin de son cauchemar. L’homme des bois se lève pour aller s’abreuver dans le ruisseau. En se penchant au-dessus de l’eau, Sambre voit de nouveau son visage avec son affreuse balafre. Et malgré l’eau fraîche qu’il boit, sa soif de vengeance ne disparaît pas.
« Allez la compagnie debout il est temps de se remettre en route »





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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-07-26 04:27
A présent qu'il est réveillé, Sambre se sent un peu fourbu, un peu fiévreux. Serait-ce les effets de l'orage passé ? Non, il en est certain. Peut être qu'après quelques heures de marche, les moucherons qui encombrent l'esprit du rôdeur se seront envolés.
Ils seront chez la famille des hobbits en début de soirée s'ils partent maintenant.
Ci et là, les feuilles débarrassent leur surface de la masse imposante des dernières gouttes laissées par l'orage. C'est sur un sol détrempé qu'ils vont reprendre la route.

(Hors jeu : Sambre, je suis au regret de t'annoncer que tu subis toi aussi, le mal qui afflige tous les rôdeurs et druides de cette forêt . Pour le moment cela se traduit par une fièvre latente, pas trés forte, légèrement affaiblissante et particulièrement agaçante, comme un gros rhume de cerveau en quelques sortes)


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Envoyé : 2004-07-26 19:27
L'auteur a supprimé ce message.


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De : --Sambre--
Envoyé : 2004-07-26 20:47
La journée s’avance au même pas que celui de notre compagnie.
Si le matin je mets sur le compte de mon cauchemar mon « rhume de cerveau », lors d’une pause en milieu d’après midi j’essaye de comprendre le mal qui me frappe et d’y trouver un remède (compétence premier soins).
« Décidément mon Fifrelin, la ville de Salnium m’a laissé un dernier mauvais souvenir. Peut être notre dernier repas à l’auberge. En tout cas j’ai une migraine digne de celle que me donnait l’indigence des habitants de Salnium »


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De : namep1
Envoyé : 2004-07-27 15:17
Fifrelin avance d'un bon pas, aiguillonné par la pensée de retrouver les Troypoms ce soir et surtout certaine hobbite.

Aussi je ne prête dans un premier temps guère d'attention aux jérémiades de ce douillet de ranger :

"Un rhume de cerveau ? Allons, pas toi ! Tu devrais être immunisé non ? Remarque ce serait vicieux de la part d'une maladie de frapper comme ça ton point faible."

Quelques minutes plus tard, aprés m'être extrait de la mare dans laquelle j'ai soudainement décidé d'atterir, je comprends à la mine soucieuse de mon compagnon que l'affaire est grave.

En posant une petite main potelé sur son épaule : "Tu sais Sambre ... Tu es mon meilleurs ami. Je veux dire, tu vois moi, si il m'arrivait quelque chose je trouverais normal que ce soit toi qui hérite..." Aprés un instant songeur : "Tu as dépensé beaucoup de ta part de la récompense ?"

Ces grands moment d'affections terminés, nous nous remontons en route vers la ferme hobbite avec l'espoir que Mme Troypom pourra nous conseiller quelque remède.

"Tu dis hein, si tu souffres trop ? Parce que moi je suis toujours prêt à rendre service à un pôte hein ?"

"On est bientot arrivé ?"

"On est bientot arrivé ?"

"On est bientot arrivé ?"

"On est bientot arrivé ?"

"On est bientot arrivé ?"

"On est bientot arrivé ?"

"On est bientot arrivé ?"

THEY ARE BACK !




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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-08-19 13:00
Malgré les connaissances de Sambre sur la nature humaine et les maux superficiels, il ne parvient pas à déterminer l’origine de son mal être. Le plus gênant est cette fièvre qui ralenti ses réflexes et lui donne l’impression que ses bottes pèsent cinq livres chacune.

L’après midi boueuse et grise voit les deux compagnons et les trois chiens traverser les sous bois égouttant leurs feuillages du surplus aqueux de la dernière ondée. C’est un peu avant l’heure du dîner que les deux compagnons débouchent dans la clairière ou la famille hobbite Troypom s’est établie.

Là-bas dans la prairie où paît la vache se délectant de l’herbe mouillée, Fifrelin reconnaît la silhouette d’une jeune fille qu’il a serrée dans ses bras quelques jours auparavant. Margaret et affairée à étendre le ligne fraîchement lavé pour le faire sécher avant la tombée de la nuit.

La jeune hobbite marque un temps d’arrêt dans ses mouvements lorsqu’elle voit déboucher l’humain et ses chiens dans la clairière. Mais dès lors qu’elle aperçoit le hobbit de ses pensées, elle laisse tomber ses draps dans le panier et vient à sa rencontre en courant. Margaret saute au cou de Fifrelin et lui réserve un accueil digne de celui qu’on réserve généralement à une personne très chère à son cœur. Les yeux brillants, elle entraîne les nouveaux arrivés vers la petite ferme criant pour avertir les autres de leur arrivée.

L’accueil de la petite famille est très chaleureux, Angus et sa femme accueille Sambre et Fifrelin à bras ouvert. Tout le monde s’occupe de préparer un repas en l’honneur des invités et les deux frères se serrent pour laisser leur lit à Sambre. Les trois chiens sont laissés dehors et les hobbits s’en tiennent fortement éloignés pour éviter de les titiller et de risquer de se faire mordre de façon stupide.

Le repas est copieux et les discussions vont bon train, les questions fusant de tous les cotés pour que Fifrelin leur raconte ce qu’il a fait ces deux dernières semaines.
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MessageSujet: Re: 2004- ÉQUILIBRE ROMPU   2004- ÉQUILIBRE ROMPU Icon_minitime16/01/09, 04:46 pm

De : namep1
Envoyé : 2004-08-27 17:32
Fifrelin

Le chemin vers la hobbitière des Troypom se fait dans un silence pesant. Mes banderilles arrivant à peine à faire émerger Sambre de l’apathie dans laquelle son mal l’a plongé. Aussi, est-ce avec un réel soulagement que je reconnais les abords la ferme puis Margaret. Son accueil effarouche tous mes soucis qui s’enfuient comme un vol de chauves souris reposer dans un coin sombre.

Je la prends dans mes bras et j’improvise une petite gigue, accompagné par les aboiements de Pétard sous l’œil perplexe des deux dernières recrues. Une fois que j’ai repris mon souffle, je donne une bonne accolade au reste des enfants avant de saluer chaleureusement les parents de Margaret.

Avant le repas je déballe les cadeaux que j’ai choisi pour chacun lors de notre séjour en ville : une grande pièce de tissu pour madame, de l’herbe à pipe pour le père, un couteau de chasse, un lorgnon, une ceinture pour les enfants et un superbe châle pour Margaret.

(Hors jeu : Le MJ peut-il déduire ces achats de ma bourse et me dire l’état de mes finances ?)

Quand nous sommes tous à table, je régale la maisonnée des récits de nos « aventures » en ville, soit comment j’ai rencontré Sambre en télescopant son voleur, puis comment nous avons été engagé par une salle de vente. Sambre pour faire des livraisons et moi pour faire l’inventaire. A l’attention des enfants, je décris certains des objets les plus remarquables en inventant pour chacun d’eux une origine haute en couleur.

Enfin, une fois les enfants couchées, Madame Troypom occupée dans sa cuisine et Margaret assoupie à mes côtés je discute plus sérieusement avec le père à mi-voix. En prenant garde de ne rien dire qui permette d’identifier notre commanditaire, je lui révèle la façon dont nous nous sommes vengés de notre voleur et comment nous avons dérobé le masque. J’observe bien son attitude pendant mon récit.

Un gémissement de Sambre, me rappelle alors son mal et j’en parle au père Troypom avant de lui demander : « Ne m’aviez-vous pas parlé d’un autre fils, Jenkin qui serait devenu druide ? »


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De : --Sambre--
Envoyé : 2004-09-01 16:27
Sambre

La pluie cesse. Le soleil nous gratifie d’une douce chaleur, séchant un temps soit peu, nos vêtements. Les Troypom ne sont plus loin, ce qui nous garanti, un repas chaud et un endroit sec pour dormir. Tout semble réuni pour faire de cette marche une agréable promenade.

Cependant mon mal de tête me taraude et m’accapare complètement. C’est avec effort que j’essaye de répondre à Fifrelin pour ne pas passer pour un triste compagnon. Mais mon mal être est jaloux, et préfère me cantonner dans un tête à tête. Plus la journée avance et plus mes silences s’allongent.

Quand parfois j’arrive à sortir un peu de ma torpeur, j’essaye de porter mon attention sur cette forêt que j’ai si longtemps. Un envol d’un oiseau vers les piaillements de son nid, un écureuil sur son séant de frottant le museau du haut de sa branche, cette fleure de couleur épanouit mise en valeur par cet océan de vert, cette arbre élancé avec sa branche triste et rabougrit, comme moi et mon mal … Il se rappelle à moi. Une grimace et le monde disparaît de nouveau.

Et pourquoi diable faut-il qu’il y ait autant de branches mortes sur mon chemin ?

Arrivé à la ferme de Troypom, je cantonne les chiens à distance pour ne pas effrayer la famille hobbit. De plus, par politesse, je fais un ultime effort pour répondre cordialement à leur accueille. Mais la soirée avançant, de nouveau je me renferme sur moi-même et mon mal être.

Apercevant un regard mi-inquiet, mi-interrogateur d’Angus je le prie de m’excuser de ma faiblesse et de mon manque de convivialité. « Je vous prie également de me pardonner si je prends congé d’une table aussi chaleureuse mais mon mal de tête me fatigue et je ne désire qu’une seul chose : sombrer dans les bras de Morphé. »

Si le lendemain les symptômes persistent, je me mets en quête d’un rebouteux ou guérisseur pour apaiser mes maux




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De : namep1
Envoyé : 2004-09-07 10:26
Fifrelin

Je m'arrache tout à coup de mon siège soulevant au passage un nuage de poussière et déchirant quelques toiles d'araignées.

En grimaçant je fais quelques tours sur moi-même, claquant des doigts devant le visage de ce qui fût autrefois Angus Troypom. Aucune réaction...

Avec un haussement d'épaule je me dis qu'il est temps de m'arracher de cette contrée de la belle au bois dormant. Pour ne pas troubler l'ambiance du sépulcre, je lance à mon vieux compagnon à mi-voix : "Tu vois Sambre, ce retour n'était finalement pas une bonne idée. Je crains qu'il te faille te tirer tout seul de ce mauvais pas."

Puis je clame aux quatre vents : "Adieu tous ! Sans rancune et a plus, dans une autre vie."

J'invoque ensuite les puissants sortiléges de "Résilliation d'accompte" et de "Connexion terminée".

Trois petits tours et puis s'en va.


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Message 12 sur 25 dans la discussion


De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-09-07 11:08
(Hors jeu : Je vois que le joueur de Fifrelin a fait vite pour filer...
Sambre, si tu le vois, peux-tu lui transmettre le message suivant ?
"Ce fut un plaisir de te compter parmi les joueurs d'Antineor, j'espère que tu trouveras d'autres aventures qui correspondront plus à ton goût et à ton rythme."

A présent, je me trouve bien embêtée pour trouver une explication logique et poursuivre en faisant ma réponse - puisque s'en était arrivé à votre tour - Que souhaites-tu faire Sambre, poursuivre, stopper ou reprendre une autre discussion seul ?)


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De : --Sambre--
Envoyé : 2004-09-08 08:56
Le message sera transmis dés que possible.

Pour la suite, cela sera à ta convenance. Cependant, j'ai une préférence à jouer en duo et Sambre compte toujours se rendre aux 3 chutes y voir leur armurier.
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MessageSujet: Re: 2004- ÉQUILIBRE ROMPU   2004- ÉQUILIBRE ROMPU Icon_minitime16/01/09, 04:46 pm

De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-09-08 09:35
(Hors jeu : Bien, je vais tâcher de te trouver un cooéquipier . Poursuivons donc... je vais résumer certaines scènes pour gagner un peu de temps...)

Les hobbits observent l'état de Sambre avec attention. La mère lui propose avant d'aller prendre le lit, une infusion d'écorces de saule utile parfois pour faire baisser la fièvre.
Ils informent le rôdeur qu'ils sont sans nouvelles de leur fils, Jenkin le druide et seul guérisseur qu'ils connaissent, depuis presque un mois à présent. Ce dernier étant parti pour enquêter sur la présence d'une dragonne noire qui leur avait dérobé une vache.
La tisane semble faire son office et Sambre parvient à trouver le sommeil sans trop de difficultés.

Au petit matin, il se sent mieux, encore un peu groggi. Mais lorsqu'il fait part de ses projets de reprendre la route pour se rendre aux Trois Chutes, les hobbits lui confient une grande quantité d'écorce, juste au cas où...
Angus, le patriarche demande au rôdeur s'il pourrait porter un message à son fils, l'informant que la vache velera avant l'automne.

Fifrelin succombe aux charmes de Margaret et décide de rester quelques temps à la ferme des hobbits et ne prend pas la route avec le rôdeur.

C'est donc seul accompagné de ses trois chiens que Sambre reprend la route en direction du Nord, les poches remplies de nourritures et diverses gâteries pour la route.

An fin d'après midi, un nouvel orage éclate, bien plus violent que celui de la vieille. Les fortes rafales de vent malmènent les branches et menacent de les briser. Sambre aperçoit enfin une pierre à l'abri de laquelle il pourrait se mettre à l'abri et lorsqu'il s'en approche, il remarque pendant au dessus du sentier à deux mètres environ, une cage métallique.

La cage est habitée par un être décharné vêtu de haillons. Les mains et les doigts squelettiques argrippés aux barreaux, la tête penchée en avant, l'être semble mort.




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Message 15 sur 25 dans la discussion


De : --Sambre--
Envoyé : 2004-09-11 16:40
Sambre

La tisane de la mére Troypom est d’une très agréable éfficacité. C’est donc un Sambre de bien plus agréable compagnie qui se présente au hobbits le matin.

« Mon esprit n étant plus taraudé par la douleur, j’ai réfléchit à ce que vous m’avez dit hier soir au sujet de votre fils Jenkin. Si vous pensez qu’il sera capable de me soulager définitivement de mes maux aussi bien que votre tisane, je vais me mettre à sa recherche.

Par contre, rajoute Sambre avec un sourire amusé, hier soir l’esprit un peu égaré, je n’ai pas compris ou il était parti. Vous allez rire, mais j’ai cru entendre qu’il était parti à la recherche d’une dragonne qui vous a dérobé une vache. »

Le sourire de Sambre disparaît quand la famille Troypom confirme ce que Sambre avait cru n’être qu’une hallucination.

*Voyons le bon côté des choses, cela aurait pu être pire. La période de migration des Balrogs bat son plein !!! Risquez sa vit pour une vache qui doit être depuis longtemps digéré, ils sont fous ces hobbits*

« Ha … bon. Ce n’est pas grave, cela ne change pas mes plans. Pourriez vous cependant me donnez un vêtement de Jenkin pour que je puisse le trouvez facilement »

Une fois les le vêtement en ma possession j’appelle Pétard pour lui faire sentir l’odeur de Jenkin et je le plie le plus serrez possible pour gardez son odeur avant de la mettre dans mon sac.

Plus tard sur la route, Sambre s’abrite à l’arrivé un orage et remarque avec dégout son nouveau voisin. * Et moi qui pesté après Fifrelin *

Du bout d’un bâton, je touche la main de l’être en cage. « S’il vous reste encore un souffle de vie, pourriez vous l’utilisez pour me dire à qui j’ai l’honneur et ce qui vous vaux ce funeste logis ? »


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Message 16 sur 25 dans la discussion


De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-09-13 10:59
Un râle presque inaudible s'échappe d'entre les lèvres de la personne prise en cage; C'est avec un effrot incommensurable qu'elle lève la tête découvrant son visage décharné et sale aux yeux de Sambre. Sur ses joues creusées, de longs traits bruns semblent avoir coulé jusqu'à ses machoires, de longs traits bruns qui ont dû être du sang à en juger les deux orbites purulentes où ont du siéger des yeux jadis.
Une odeur putride parvient aux narines du rôdeur alors que l'homme ouvre la bouche, laissant penser que la pourriture a envahi tout l'intérieur de son être.

C'est à cet instant précis que Zeus, Appolon et Pétard se dressent tous les trois simultanéments grognant en direction des buissons. Le poil érissé sur leurs échines précise sans aucun risque de quiproquo les intentions que les trois chiens ont envers la chose qui se tient dans les buissons, une chose grosse et imposante à en juger les mouvements de branchages à la hauteur de presque trois mètres.

Une grondement différent de celui du tonnerre monte soudain, un grondement plus impressionnant que celui des trois chiens, un grondement qui ressemble à une voix ruque parlant un commun fort guttural :
- Tu tombes à point..... J'ai une faim.... de loup !

Un coup sec et mat et Sambre réalise qu'il a le pied posé en plein milieu d'un piège qui devrait le faire se retrouver la tête en bas suspendu par la cheville.

Zeus et Appolon, ne réfléchissent pas et bondissent toutes canines et griffes sorties dans les fourrés.

(Sambre, j'ai réussi ton jet de réflexe - dextérité- Tu as une chance pour éviter le piège dans lequel tu aurais du tomber)

De : --Sambre--
Envoyé : 2004-09-15 10:50
Sambre

* Saperlipopette, me voilà dans de beaux draps. J’aurai du rester dans mon lit ce matin…*

J’active mon bracelet pour contenant le sort parler avec les animaux pour m’adresser à mes chiens.

« Zeus, Appolon ici devant » en indiquant une zone devant moi hors du piége et hors de porté du mort vivant dans la cage. « Pétard passe derrière lui sans aboyer et attend que nous l’attaquions pour attaquer ou suit-nous si nous partons »

Puis saisissant une de mes haches de mon sac, je cherche pour la trancher, la corde qui devrait m’enserrer mon pied et me soulever cul par dessus si je tente de le bouger.

Une fois cette opération réalisée (ou non), je me dégage très rapidement en supposant que je n’ai pas coupé la bonne corde et éviter de rassembler à jambon prés à être fumet.

Puis, je prends en main une seconde hache de mon sac. (Il m’en reste encore deux à la ceinture).

Ensuite, d’une voie forte je m’adresse à la créature tout en reculant avec Zeus et Appolon pour augmenter la distante dégagé entre elle et nous : « Que voici un bien mauvais accueil. Cela n’augure que coups et bosses pour les uns et les autres. La journée ne fut pas fameuse et le temps reste aussi incertain que la vie. Le fer de mes haches a tendance à rouiller par ce temps, mais il reste encore bien suffisamment tranchant pour qu’en tâter soit pénible, ci ce n’est pire. A y bien penser, l’instant présent, est un bien mauvais moment pour finir une vie, n’est ce pas ? Méditons sur ceci et laissons-nous le temps de la réflexion en partant chacun sur notre chemin »

(Hors Jeu : Si la créature se montre hostile en me chargeant, je lui lance mes 2 haches avant de prendre celle à ma ceinture et d’engager le combat au corps à corps avec Zeus et Appolon. Si la créature semble montrer un peu plus de prudence que d’appétit je m’éloigne sans oublier de rappeler Pétard )

Le temps maussade reste incertain.





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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-09-20 09:40
(Pfff. C'est la troisième fois que je recommence ma réponse... mon ordi a buggé deux fois ce matin )

Sambre réussi à trancher la corde qui aurait du le faire prisonnier et le faire terminer cul par dessus tête. Le contre poids du piège chute dans les buissons vers l'endroit d'où sont parties les paroles peu amicales. Pour preuve de la stupidité de la créature attaquante, Sambre entend distinctement le bruit mat suivi d'un grognement de douleur provoqué par la rencontre entre le contre poids et le crâne de la créature.
Zeus et Apollon se postent devant Sambre pendant que Pétard s'enfoncent dans les buissons.

Un court silence suit la déclaration du rôdeur, comme si la créature réfléchissait à ce qui venait d'être dit, mais ce n'est qu'une sorte de leurre, puisque rapidement, les broussailles s'écartent pour laisser apparaitre une créature mesurant presque trois mètres de haut, couverte de poils de la tête aux pieds, possédant un long museau et de larges dents, de longues griffes, vêtue d'un simple pagne et armée d'un épieu. La créature bipède a la bave aux babine et s'élance en direction de l'humain et de ses deux chiens avec l'intention trés claire d'en faire son prochain repas.

Les deux haches lancées par Sambre percutent le monstre qui marque le coup en grognant, en continuant d'avancer. Le premier coup d'épieu est pour Apollon qui évite la charge.

(Allez, nous sommes partis pour une bagarre... si tu veux pour aller, plus vite, tu me décris tes différentes ordres pour les chiens et actions et je ferais le résumé )



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Message 19 sur 25 dans la discussion


De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-09-20 09:55
(alors sambre se met en colère ses yeux, brillent en rouge et tirent des lasers, le monstre prends feu, Sambre en profite pour lui attraper la cheville droite et le lancer viollement sur un rocher qui éclate sous l'impact. Sambre termine en arrachant un chêne qu'il pulvérise sur le tas de chair morte en tapant trop fort, puis il se retourne et traverse la forêt en 4 secondes pour aller botter le cul du dragon et ...
Comment ? quoi ? pas un épisode de Smallville ?? oops désolé)


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Envoyé : 2004-09-20 12:20
L'auteur a supprimé ce message.


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Message 21 sur 25 dans la discussion


De : --Sambre--
Envoyé : 2004-09-20 12:25
Quelque chose surgit, face à Sambre qui se retrouve les mains vide avant de réaliser ce qui se passe. Mais déjà Apollon esquive d’un pas de côté. Deux nouvelles haches en mains, Sambre banni son hésitation et sa peur.

*La peur est la petite mort qui tue l’esprit. Je laisserai ma peur me traverser. La peur est la petite mort qui tue l’esprit. Et sur son passage, il ne restera rien, rien que moi*

Sur de grognement et d’aboiement la danse macabre commence
« Tournoyer, fondez et frappez de croc et de gueule la où sa garde vous oublie. Pétard monte sur ce promontoire rocheux au-dessus de la cage, et porte ton estocade. Et dans tout le cas, le final tombera »

Dans cette danse mortelle, comme dans toute danse, il y a toujours un un meneur. Reculant et fondant à tour de rôle, Apollon Zeus et Sambre harcelant leur ennemi. Au rythme des coups et du sang qui coule, d’un pas de coté et trois de devant, je dirige notre troupe vers la cage.

* Plus petit que toi nous sommes, mais gêné par cette cage en hauteur tu es bien le seul*

Sous un temps gris de cris et de râles, rien n’est pour la fête, encore moins pour la danse.

Mais déjà, le final de cette danse arrive, Pétard les oreilles en arrière tapis prés du sol est arrivé en haut du rocher. Dans un moment, Pétard bondira et les derniers pas de cette chorégraphie nous ferons avancer sur le chemin de notre destin.

Je guette le moment de surprise où la garde du monstre se lèvera pour passer, et de mes coups l’abattre vaille que vaille ou finir à tout jamais dans l’oubli de ce morne sentier qui finalement ne conduisait nulle part.

Entre deux périodes d’éclaircies, un temps incertain.
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MessageSujet: Re: 2004- ÉQUILIBRE ROMPU   2004- ÉQUILIBRE ROMPU Icon_minitime16/01/09, 04:47 pm

De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-09-27 07:29
La créature hurle de rage lorsque les crocs des chiens et la lame de Sambre viennent lui lacérer la fourrure ouvrant de larges plaies qui ne saignent pourtant pas. Dans cette danse macabre, l'épieu de la bête se brise contre le tronc d'un arbre, envoyant de nombreux éclats voler à plusieurs pieds.
Les griffes acérées de l'homme-bête prennent la relève, sifflant dans les mouvements amples et rapides de leur propriétaire.
Un coup porté à Apollon, puis l'instant d'après à Sambre au niveau du torse, lacère les cuirs et laisse s'échapper dans l'instant un flot sanguin important. D'un coup de pied, Pétard est envoyé valdinguer dans les buissons pendant que Zeus saute à la gorge de la créature.

Cette dernière recule, cherchant à agripper l'animal avec ses grottes pattes. La cage se balance juste au dessus de la zone de combat et compte tenu de l'état des anneaux métalliques et de la corrosion qui les ronge, il est étonnant que celle-ci ne chute pas vers le sol.

(Hors jeu : Le combat est en train de tourner à la défaveur de Sambre et des chiens : Sambre est gravement blessé -il lui reste moins de la moitié de ses forces vitales-, son armure de cuir largement endommagée, et lui saignant comme un cochon qu'on égorge. Pétard est pour le moment dans les choux, Appolon a une large plaie au niveau de la patte arrière droite. Seul Zeus n'en démords pas et ne lâche pas sa proie.)


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De : --Sambre--
Envoyé : 2004-10-03 07:51

Le sort des armes, tout comme le temps, se ligue contre moi en ce jour. Visiblement, il est temps d'aller voir sous d'autres cieux, si le temps ne nous est pas plus clément !!!

D'autant plus que mes haches lui font autant d'effet que la pluie. Seul les crocs semblent l'émouvoir un tant soit peu.

Sambre tente de rompre le combat pour ramasser le corps de Pétard blessé.

"Zeus Appollon au pied, et on part"

Ensuite ma troupe, cahin-cahan, commence à se replier en bon ordre en espérant que cette créature, visiblement magique, en ait également assez.

Si la créature ré-engage le combat, je lui jette mes deux dernières haches uniquement dans le but de m'approcher d'elle pour la saisir au corps à corps (compétence corps-à-corps).




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Envoyé : 2004-10-03 11:51
L'animateur ou l'animateur adjoint a supprimé ce message.


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De : Gardien-de-la-forêt
Envoyé : 2004-10-03 12:00
La voix quasi éteinte du corps prisonnier de la cage semble rejoindre Sambre dans ses réflexions "fuyez..." souffle-t-il...

Un sang épais sourd lentement de la plupart des blessures subies par la créature monstreuse, à l'exception notable des plus fines qui semblent se refermer.

Sambre un peu abruti par le coup reçu mets quelques importantes secondes à vaciller et hésiter avant d'aller ramasser Pétard, qui semble n'avoir que le souffle coupé par le choc et qui secoue la tête comme pour chasser les jolies étincelles de couleurs qu'il voit partout.

Durant ce temps Zeus fini par lacher la gorge de la créature non sans en avoir arraché un nouveau pan. Malheureusement, il retombe à portée d'un des grands pieds et se fait sauvagement piétiner.

Apollon, lui, malgré une blessure d'apparence sérieuse obéit au rappel de Sambre et le rejoint en boitillant à peine.

Sambre ayant réveillé Pétard et récupéré Apollon se tourne vers la créature et se prépare à reculer. L'oaccasion semble parfaite car la chose est maintenant repliée sur elle-même et émets des bruits mouillés écoeurants tout en tenant sa tête sanglante entre ses pattes.
Bien qu'il puisse apercevoir tous les endroits de la clairière, Sambre ne voit nulle trace de Zeus, et doit bientôt se rendre à l'évidence, la créature MANGE quelque chose.

Tu peux donc partir discrétement avec Pétard et Apollon, tu pourrais également tenté de sortir le vieux dont la cage est uniquement maintenue fermée par de la corde. De nombreux choix s'ouvrent à toi, mais cette liberté t'as coûté un compagnon fidèle.
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