Forêt d'Antinéor
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Dans cette grande forêt obscure et inquiétante vivent de nombreux de peuples (humains, nains, elfes, orques, gnomes, hobbits...) Certains ont fondé des villes, d'autres se sont enterrés sous terre, et les derniers sont allés vivre dans les arbres.
 
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 2004-ENFIN LA CIVILISATION

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MortCroc

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MessageSujet: 2004-ENFIN LA CIVILISATION   2004-ENFIN LA CIVILISATION Icon_minitime16/01/09, 01:09 pm

De : Maître du jeu (Message d'origine) Envoyé : 2004-02-16 04:54

Après avoir passé une nuit à la belle étoile et avoir campé tranquillement, les trois hobbits voient le jours suivant de profiler à l’horizon, au centre d’une grande prairie de champs dont les cultures ont semble t-il été ravagées par les intempéries des derniers jours (un peu comme chez les Troypom, sauf que chez les hobbits, quelques provisions avaient miraculeusement pu être récupérées, merci Sandoval).

La ville est entourée de hauts remparts de pierre blanche, peu travaillée par le temps. Les hobbits entrent après avoir été contrôlés par les gardes de l’entrée par la porte sud Ouest de la cité. (Salnium n’est pas une mégapole, elle compte environ 5000 âmes, mais c’est une des villes les plus importantes de la région).

Fifrelin parvient à monnayer les pierres à un bon prix, le joaillier lui en donne pour un total de 160 pièces d’or et accepte de lui vendre un joli pendentif mettant en valeur une belle pierre d’ambre pour une dizaine de pièces d’or.

Lorsque Fifrelin tend la miche de pain et ses précieuses fèves, Angus la refuse poliment en lui serrant la main avec beaucoup d’émotion :
- C’est une vraie fortune ça, Fifrelin, tu ferais mieux de la garder pour construire un jour ton trou de hobbit… Garde la, je donnerai le cadeau à Margaret, je suis certain qu’il lui fera plaisir.
(Si Fifrelin veut offrir cette fortune aux Troypom, il devra le faire en douce)

Un coup de vent soulève un tourbillon de poussière, juste au moment où une veille s’adresse à Angus pour acheter ses navets. Fifrelin, en profite donc pour s’éclipser.
Le hobbit fait ses emplettes et trouve tout ce dont il a besoin au grand magasin général pour la modique somme de cinq pièces d’or. (c’est que la veste est taillée dans du cuir véritable, bien épais).

A la sortie des échoppes, Fifrelin tombe nez à nez avec Robert, qui avait disparu depuis le début de la matinée, adossé à un mur, se curant les ongles avec une brindille. Il lève les yeux, faussement surpris vers Fifrelin et lui déclare :
- Et bien, qu’est-ce que tu comptes faire maintenant ?
Avant que Fifrelin n’ait le temps de répondre, une voix forte et sonore retenti derrière lui :
- Hé toi là-bas ! Je t’ai enfin retrouvé ! Ne bouge pas !
Le visage de Robert se décompose alors qu’il s’exclame :
- J’pensais pas qu’il me retrouverait çui-là ! Un conseil : File !
Ni une, ni deux, Robert prend ses jambes à son cou, fuyant l’homme à la grosse moustache et au tablier taché de sang qui le montre du doigt. Voyant que l’un des deux hobbits prend la fuite, le boucher brandit son couperet en s’écriant, cherchant à ameuter tous les gens présents :
- Aux voleurs ! Arrêtez ces deux hobbits ! Aux voleurs !

((Hors jeu : Pour ce qui est des compagnons d’aventures… J’ai bien une compagne à te proposer, mais avant cela, elle doit se sortir du pétrin dans lequel elle est fourrée dans les bas quartiers de la ville. A moins que tu ne l’y rejoignes rapidement ?

Bilan des richesses (je vais tenter de ne pas me tromper ) : Il reste à Fifrelin (si il a réussi à refourguer sa miche à Angus en douce) 45 pièces d'or tirées de ses pierres plus 11 soit 56 jaunets et quelques piecettes... Sommes nous d'accord? ))


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Conseiller Message 2 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-16 06:16
(Hors jeu : pas de soucis pour les comptes. Je râlais par principe)

La miche est dans les ballots d'Angus, dans un carré de tissu qu'il a acheté pour Mme Troypome.

En plus de ses achats, Fifrelin a "placé" 20 po chez un usurier avec un taux d'intérêt négligeable mais comme consigne de les remettre à toute personne qui se présenterait avec le mot de passe **** (Hors jeu : mot que l'usurier a parfaitement compris, mais qui n'est pas destiné aux lecteurs ).

Puis se souvenant de mes dernières mésaventures, j'entaille le pourtour du col de ma veste, me disant que je préférais ne sacrifier qu'un col à l'avenir.

*La peste soit de ce paladin*

...

- Aux voleurs ! Arrêtez ces deux hobbits ! Aux voleurs !

Fifrelin abasourdi regarde partir Robert en courant :

"Ben et mes bagues monsieur Alphonse?"

Se tournant perplexe vers le boucher :

"Ca monsieur, vous venez de faire fuir la personne qui se proposait d'aller m'acheter mes bagues de fiançaille !"

Puis mimant l'effarement au profit des badauds hostiles qu'a pu rameuter l'excité :

"Mais, un voleur dîtes-vous ! Ciel je l'ai échappé belle ! Hôla vous autres, j'offre une tournée générale dans cette taverne pour fêter mon sauvetage par ce brave homme. Et vous voisin si vous voulez bien arréter de hurler je vous paye le coup également. Il se pourrait même que je vous dédommage histoire de relever votre opinion des hobbits !". Ceci dit en campant mes mains sur les hanches, ce qui a pour effet d'entrebailler ma veste et de laisser apparaître le baudrier et mes dagues.

Si la situation tourne à l'aigre, je pointe le doigt dans une direction en clamant : "Tiens le revoila votre voleur". Puis je file sans demander mon reste.

Si les gens se laissent convaincre je pars avec eux à la taverne, en rajoutant dans mon rôle de victime soulagée et donnant volontier des détails sur ma promise et les heureux évènements qui ne manqueront pas de suivre.

Je m'installe ensuite à une table prêt de la sortie avec le boucher auquel je demande de me narrer sa mésaventure. Tout en compatissant et en abondant en adages bidons, je commande bière sur bière même si personnellement je bois peu. Je le dédommage rapidement et sans discuter , ne sourcillant même pas au prix exagéré qu'il m'annonce.

Au bout d'une heure ou deux selon sa résitance, je rêgle mon dû et lui donne une bonne accolade entre frêres avant de le quitter. J'en profite ayant repéré ou il a rangé mon argent pour lui dérober sa bourse. Le départ se fera tranquillement en sifflotant ou en quatrième vitesse selon le succés de l'opération.

Je décide ensuite d'aller traîner dans les bas quartiers de la ville songeant avec amusement qu'il ne me reste plus qu'une demoiselle en détresse à sauver pour parfaire ma journée.






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Conseiller Message 3 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-16 07:01
(Hors jeu : PS, tu vérifies si la fréquence des réponses de l'autre joueur est compatible ?)

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Conseiller Message 4 sur 16 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-17 05:56

(Hors jeu : je vais vérifier, compte sur moi )

Le boucher ne semble pas impressionné par le bluff de Fifrelin. Son visage est toujours aussi menaçant et les gens autour de lui hésitants jusqu’à ce que l’humain se mette à hurler :
- Ca ne prend pas ! L’autre m’a parlé de son frère, ca doit être toi ! Gredin ! Au voleur ! Milice !
Les badauds autour semblent plutôt saisis par la tournure des événements. On ne prenait pas grand voleur sur le marché… à vrai dire, ils avaient tous été mis sous verrous depuis que le roi Ergalt était arrivé au pouvoir.

Fifrelin se retranche donc dans son plan « B », montrant une direction du doigt et s’exclamant :
- Tiens le revoilà votre voleur !
Alors qu’il se détourne et parvient à se faufiler entre les badauds qui avaient le regard tourné vers la direction indiquée, Fifrelin, ne voit pas qu’il est suivi de très près dans la foule par une personne, fluide, petite et frêle.

Au bout de quelques instants, la populace devient moins dense et il est clair pour l’aventurier qu’une personne le suit en silence, restant à une distance raisonnable, et régulière. Une silhouette frêle, ne dépassant pas 1m60, portant une capeline beige et se mouvant avec grâce et légèreté.

Fifrelin se trouve à présent dans les ruelles peu fréquentées du quartier.

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Conseiller Message 5 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-17 06:36
*Humf, je ne sais pas ce qui m'a pris de fuir, c'était plûtot inepte*

Sans faire plus de cas de son suiveur, mais en le surveillant du coin de l'oeil, Fifrelin cherche le genre de "magasin" ou il pourrait trouver des outils de crochettage.

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Conseiller Message 6 sur 16 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-18 08:57

Fifrelin erre un bon moment dans les rues de Salnium, cherchant un magasin où il pourrait trouver l’outillage recherché. La petite silhouette ne le quitte pas d’un pouce, prenant les mêmes rues, les mêmes ruelles et restant à une distance régulière.

Au détours d’une ruelle, Fifrelin découvre enfin l’enseigne qu’il cherchait et qui lui donne l’espoir de trouver enfin un équipement digne de ce nom. « Chez Jean-Marie, La quincaillerie à tout petit prix ! ». L’échoppe est engoncée dans le fond d’une ruelle sombre et humide, se terminant en cul de sac un peu plus loin par une palissade de bois à moitié vermoulu. La devanture n’est pas très large, juste de quoi exposer quelques outils de type pelle, pioche et brouette en vitrine.

Lorsque Fifrelin pousse la porte, celle-ci entrechoque un mobile confectionné avec des boulons, des clous des petits grelots. Le magasin est tout en longueur et passé le bazar des outils de jardin et de bricolage habituels, deux grandes étagères contenant des boites numérotées sont alignées de part et d’autres de l’allée centrale, et montent jusqu’au plafond.

Tout au bout de l’allée, juste en face de la porte, un comptoir de bois taillé dans le vif est visible. Derrière celui-ci, un humain d’une soixantaine d’années, malingre et petit relève la tête, ajustant ses lorgnons à l’entrée du nouveau client.

Le visage de l’homme s’éclaire et s’est en se frottant les mains, l’une contre l’autre qu’il s’approche du hobbit en déclarant, tout en le regardant avec un air vicieux et scrutateur :
- Bien, l’bonjour, mon p’tit monsieur… qu’est-ce que je peux faire pour vous ?

(Note : Dans le monde d’Armagalor, les lunettes et lentilles astronomiques ne sont pas répandues. On en trouve pour le moment qu’à Salnium dont c’est la spécialité)

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Conseiller Message 7 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-18 09:50
Le regard de Fifrelin glisse sans s’attarder sur les signes de l’enseigne pour s’éclairer à la vue des marchandises exposées derrière les grilles.<o:p></o:p>

Après un rapide regard à son « ombre » Fifrelin entre dans la boutique. Amusé par le mobile, le hobbit se dresse sur la pointe des pieds pour le caresser avec un gloussement.<o:p></o:p>

(En fait à l’aide d’une piécette coupe-bourse aiguisée je cisaille la ficelle qui le retient pour que reposant sur la porte, il tombe sur la prochaine personne à rentrer).<o:p></o:p>

Je jauge ensuite le marchand, m’assurant sans dévier les yeux que je pourrais passer sous la planchette du comptoir et m’enfiler par la porte juste de derrière occultée par de simple rideaux. Tout en lui souriant je répète mentalement la manœuvre.<o:p></o:p>

Humant avec plaisir l’atmosphère particulière de ses lieux je détaille sans me presser les marchandises. Atchhha ! J’accompagne l’homme qui me fait l’article de ses produits en l’écoutant distraitement et jouant machinalement avec une pelle. J’évite cependant l’allée centrale, préférant rester dos à un des murs du magasin.<o:p></o:p>

Essayant sinon d’endiguer le flot de ses paroles, tout au moins de le canaliser : « Voyez-vous j’adore tout ce qui est mécanisme. J’ai fait une marotte du montage démontage de serrures. Aussi, si vous aviez de TRES TRES bons outils pour cela … Ensuite je jetterai un coup d’œil à cet instrument loin voyant si extraordinaire »<o:p></o:p>

Si mon « ombre » passe à portée dans une autre allée, je lui fait un vicieux croche pied avec le manche de la pelle à travers les étagères et ensuite je lui bascule des casseroles / pot en terre / Grosses boîte sur le crâne. Si la manœuvre réussit je vais pour l’interroger après avoir lancé quelques pièces au bonhomme pour payer les dégâts.<o:p></o:p>

(Je garde le vieux dans mon champ de vision également)<o:p></o:p>

Si les évènements dégénèrent je prends la fuite au besoin en jouant aux dominos avec les étagères pour ensevelir un poursuivant ou m’ouvrir un chemin imprévu.<o:p></o:p>

Achat : quelques grelots (aux battant immobilisés par de la terre), sac de billes, une longue vue télescopique (si < 20 Po), un jeu d’outils de voleurs de préférence de qualité supérieure (si < 10 Po).<o:p></o:p>
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MessageSujet: Re: 2004-ENFIN LA CIVILISATION   2004-ENFIN LA CIVILISATION Icon_minitime16/01/09, 01:10 pm

De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-19 05:33

La silhouette qui suivait le hobbit reste à l’extérieur et ne se tente pas dans le magasin. Par la vitrine, Fifrelin, la voit passer devant la boutique, puis faire demi tour.

La quincaillier se frotte les mains lorsque le hobbit lui parle de mécanismes et de serrures. Il monte à l’échelle et descend une multitude de pièces diverses et variées pouvant constituer une serrure de la plus simple à la plus compliquée. Finalement, il comprend ce que cherche le hobbit, se gratte le menton un instant et déclare :
- Mmm… Je ne vends pas beaucoup de ce genre d’articles ces temps-ci ; il faut croire que les bonnes passions sont passées de mode. Attendez, donc, je crois que j’ai un truc qui devrait vous convenir…
Le vieux grimpe une nouvelle fois à l’échelle et va chercher tout en haut d’une étagère un coffret de bois fermé par un petit cadenas et recouvert de poussière. Lorsqu’il descend, il le porte comme s’il s’agissait d’un grand trésor, jusqu’à son comptoir et souffre sur le couvercle pour en faire partir la poussière, installée depuis un bon moment. Le vieux ouvre un tiroir, puis le referme, tapote ses poches en marmonnant :
- Qu’est-ce que j’ai bien pu faire de cette fichue clé…
Avec un sourire un peu gêné, il déclare à Fifrelin :
- Bon, ce n’est pas grave, on va utiliser les grands moyens.
Il découpe un morceau de fil de fer, l’entortille d’une façon plutôt agile et le glisse dans la serrure du cadenas. Il ne lui faut pas deux secondes pour qu’un déclic se face entendre et que le cadenas saute. Avec un sourire de satisfaction, le quincaillier ouvre donc le coffret, les yeux lumineux.

Il en sort une sorte de petite pochette de velours pourpre fermée par de fins lacets. Déballant avec la plus grande des précautions un jeu de rossignols et la plus belle facture. Le vieux en vante les avantages, un à un, précisant que même avec un bon outillage, le meilleur de serrurier ne pourra se passer d’une burette d’huile pour bien faire fonctionner les ressorts de gorge et de demi tour. Il explique qu’un rossignol solide pourra aussi être particulièrement utiles pour les cas où les pênes et les palâtres resteraient légèrement bloqués.

Les prix d’un tel outillage s’étendent de 10 à 50 pièces d’or. En négociant un peu, Fifrelin parvient à faire baisser le prix d’un rossignol initialement à 12 pièces d’or jusqu’à 10 pièces d’or.
Pour l’extraordinaire appareil grossissant, c’est une autre paire de manches, le vieux en fait la démonstration au hobbit avant de lui annoncer un prix ferme de 10 pièces d’or, sans négociations possible, expliquant qu’il est revendeur et qu’il doit se ménager une marge sur ce type de marchandise.
Fifrelin s’en tire donc, avec les grelots et les billes à 10 pièces d’or et 5 pièces d’argent.

Le marchand encaisse avidement le prix de la vente, et avant que Fifrelin ne parte, relève les yeux visible hésitant à lui poser une question. Il se lance enfin :
- Je me demandais, Monsieur, si vous cherchiez un peu de travail… J’ai un bon ami qui aurait besoin d’un bon serrurier…

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Conseiller Message 9 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-19 11:39

Fifrelin si dit que si l'appareil grossissant que le marchand nomme Loupe peut l'aider dans son "travail", pour 10 Po il l'achète avec le reste.

"N'auriez-vous pas parmi vos merveilles, un appareil permettant de voir loin avec acuité ?" Si tel est le cas et qu'il est dans mes prix je l'achête également.

Je règle le tout en écoutant perplexe la proposition du vendeur... Je réfléchis ... Se pourrait-il que le but de l'ombre ait été de me "guider" dans cette échoppe ? Me serais-je laissé influencé dans mes déplacements ? Le renoncement de mon suiveur me semble suspect.

"Je pourrais peut être faire l'affaire étant actuellement sans emplois. Dites m’en plus sur votre ami et sur la nature du "travail" qu'il attend de moi ? Et n'ayez pas peur, si nous ne pouvons nous entendre, cette conversation restera entre nous. Je pense revenir dans votre magasin aussi ai-je tout intérêt à notre bonne entente."
(Hors jeu : sauf erreur, hors loupe et longue vue, il me reste 26 Po et des piécettes. Concrètement ce rossignol est d'une meilleurs qualité que les miens et m'apportera un bonus ?)

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Conseiller Message 10 sur 16 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-23 06:21

(Hors jeu : Ca m’apprendra à ne pas relire ce que j’ai écrit. Mais comme c’est écrit… cela le restera ainsi. Fifrelin, tu fais donc une affaire exceptionnelle en acquérant une longue vue au cinquième de sa valeur réelle, soit : 10 pièces d’or. Veinard…
mais ne profite pas trop de mon inattention, gredin.
Et le rossignol t’apportera un petit bonus laissé à la discrétion du maître de jeu.
Pour l’or, je suis d’accord. A toi de me dire si j’en soustrait 15 autres pièces ou non)

L’appareil nommé « gros lorgnon » (loupe) est en vente au prix de 5 pièces d’or supplémentaires.

Le quincaillier se gratte le menton en fixant le hobbit se demandant un instant si il a bien fait de lui proposer cet emploi. Pinçant les lèvres, il se décide enfin à lui explique en quoi consiste l’emploi proposé :
- Voyez-vous mon p’tit monsieur, mon ami recherche une personne ayant de grandes connaissances en serrurerie et mécanismes en tous genres. Il a besoin également de quelqu’un de souple et de taille, disons… plutôt modeste. Il souhaiterait récupérer un objet de type « familial » qui lui a été emprunté de façon fort malencontreuse.

L’homme pèse chacun de ses mots, scrutant la moindre réaction ou expression du visage de la part du hobbit. Il observe un moment de silence et poursuit :
- Bien entendu, le salaire sera à la hauteur de la tâche, si je puis m’exprimer ainsi… Si cela vous intéresse toujours, je vous propose de le rencontrer, qu’en dites vous ? Rendez-vous au coin de la Rue des trépassés et de la rue des maraîchers, dans le quartier Nortis, dans une heure, le temps que je le prévienne de votre visite. Demandez Monsieur Pieddeboeuf. Ce fut un réel plaisir de faire affaire avec vous, cher client et j’espère vous revoir très prochainement.
Le marchand retourne ensuite à ses occupations mais il répondra encore volontiers à une ou deux autres questions.

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Conseiller Message 11 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-23 14:02
Fifrelin aquiesce avec enthousiasme : "Ca tombe bien, je suis imbattable pour retrouver des objets pas encore perdus. J'espère seulement que l'objet en question n'est pas une enclume à laquelle ils serait sentimentalement attaché".

Je range la loupe dans mon équipement et je joue un moment avec la longue vue, assez content de mes acquisitions, même si je regrette de n'avoir pas plus aprement négocié la longue vue.

Je demande ensuite quelques indications au marchand pour me rendre à l'endroit indiqué. Puis je le salue avant de partir en sifflotant et de m'arréter la main sur la poignée de la porte.

"Tiens, tiens, votre mobile me semble avoir souffert." Je grimpe sur une boîte pour renouer les deux bouts de la ficelle et j'en profite pour inspecter la rue, à la recherche de mon "ombre".

Un dernier salut, quelques pas nonchalents, puis je file ventre à terre pour me dissimuler sur le toît d'un appentis de jardin d'où je peux observer l'avant et l'arrière de la petite échoppe. J'attends de voir comment la marchand va prévenir le "client" et je le prends en filature avec toute la discrétion dont je suis capable.

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Conseiller Message 12 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-02-23 17:07
( Hors Jeu : Au fait je m'en souviens, l'échope était un local technique du réseau d'égout. On se demande bien pourquoi ce marchand (alias Mr Jones Smith dans le metier) a dépenser une fortune pour y installer son échoppe. Et puis franchement, un marchand qui te vend aussi facilement a perte doit bien posséder qqs. anneaux d'invisibilité ou un unique ... ça t'apprendra a arnaquer les marchands pour défaut d'affichage de prix)

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Conseiller Message 13 sur 16 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-24 06:00

Le marchand se contente d’un sourire entendu lorsque le hobbit accepte le proposition de travail. Il se fait un plaisir d’indiquer l’adresse en question, en lui recommandant de prendre la direction du cimetière et de bifurquer devant l’académie de magie en direction du marché.

Il salue son petit client en souhaitant de toutes ses forces revoir le hobbit dans son échoppe, afin de pouvoir lui vendre quelques articles au prix fort, pour amortir l’effort commercial impressionnant qu’il a fait tout à l’heure. Avec un petit amusement non dissimulé sur le visage, il vient prêter main forte au hobbit pour rattacher le mobile endommagé en soupirant :
- C’est pas la première fois que ça arrive…

A l’extérieur, il n’y a aucun signe de l’ombre qui filait Fifrelin, ni dans l’impasse, ni dans la rue perpendiculaire. Elle semble avoir tout bonnement disparu. Au prix d’efforts incommensurables pour le hobbit, il parvient à se hisser sur une des hauteurs lui permettant de garder les issues de l’échoppe. Quelques minutes plus tard, le petit aventurier, voit une des fenêtres du premier s’ouvrir et le quincaillier lâcher un volatile, portant une bague et un message écrit. Le pigeon prend vite de la hauteur et s’échappe en direction des quartiers riches.

Le hobbit ne pouvant pas suivre l’oiseau n’a plus d’autre choix que de se rendre à l’adresse indiquée.

(Hors jeu : A toi de me dire, ce que Fifrelin fait. Va t-il aller directement au rendez-vous ? Ou repasser par « Le marché »?)

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Conseiller Message 14 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-24 08:11
Fifrelin grogne un instant dépité. Puis il sourit, se disant que tout n'est pas joué ! Il sort rapidement la merveille qu'il vient d'acquérir et depuis sa position élevée si durement conquise, il tente de suivre le vol du pigeon.

Si le repérage aboutit, je retiens quelques repères indispensables puis je trace vers le bâtiment repéré.

Le volatil s'étant dirigé dans la direction indiqué par le marchand, je suis ses directives bifurquant devant l'académie de magie devant le marché.

Là un étrange spectacle attire mon attention : sous les yeux médusés d'un passant, un fou furieux bombarde de détritus un jeune garçon sur lequel il a laché une bête enragée ! La scène pourrait prêter à confusion, mais les cris "Au voleur" et les mises des deux protagonistes m'éclairent rapidement.

Je plonge dans la mélée, saisissant le chien fermement par l'arrière de son collier. Puis je décoche un coup de pied maladroit au jeune voleur, qui plus qu'il ne le blesse lui donne une bonne impulsion. Décidément ce marché ne porte pas bonheur à notre confrérie.

"Et qu'on ne t'y reprenne pas maladroit !"

Tout en me débattant avec le chien je me tourne vers l'homme qui arrive essouflé.

"Si vous pouviez me débarasser de ce bestiaux et ramasser cette bourse avant que quelqu'un d'autre ne s'en charge" dis-je en montrant de la pointe de ma botte la dîte bourse que le garçon a laissé tombé dans sa lutte pour se protéger.

"Oh et pas la peine de me remerciez ! Ce ne sont que quelques pénibles heures passées au poste de guet à déposer, voir la vindicte de la bande de ce garnement que je viens de vous éviter".

Au fait, je me présente : "Fifrelin, nouvel arrivé dans cette ville comme vous même je crois bien ?" S'ensuit une courbette guillerette.

Puis me frappant le front : "Mince ! Mais j'oublie j'ai une course urgente à faire !"



Réponse

Conseiller Message 15 sur 16 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-24 09:40
(Hors jeu : Peux-tu mettre à jour mes possessions sur ma fiche ? J'ai recensé : un cadenas,
un pillullier avec encore un peu de baume de guérison,
une dague d'ivoire bien faîte,
Une dose d'herbes pour ralentir le poison,
9 doses de venin de lame à 1D10,
2 doses de poudre de poison à 2d6 + vomissements,
une longue vue,
un gros lorgnon,
un rossignol de qualité,
un sac de bille,
des grelots emmaillotés,
11 Po,
20 Po chez un usurier)

Réponse

Conseiller Message 16 sur 16 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-24 10:08
((voilà qui est fait ! ))

ÉDIT: IDEM
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