Forêt d'Antinéor
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Dans cette grande forêt obscure et inquiétante vivent de nombreux de peuples (humains, nains, elfes, orques, gnomes, hobbits...) Certains ont fondé des villes, d'autres se sont enterrés sous terre, et les derniers sont allés vivre dans les arbres.
 
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 2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE

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MortCroc

MortCroc


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MessageSujet: 2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE   2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE Icon_minitime20/11/08, 09:57 pm

De : Maître du jeu (Message d'origine)
Envoyé : 2003-12-05 09:09
La femme est transportée par les elfes sur un brancard jusqu’à une chute d’eau derrière laquelle ils s’engouffrent. Dans le temple, plusieurs prêtresses semblent s’être mise en alerte. Elle courent dans tous les sens.
L’une d’en elles, Viconia, dirige la femme inconsciente dans une petite pièce où, une prêtresse va s’occuper d’elle. Puis, elle se retourne vers Jenkin, surprise de son apparence et leur demande :
- Savez-vous ce qui s’est passé ? Qui êtes-vous ?





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Message 2 sur 31 dans la discussion


De : Astrid_ice
Envoyé : 2003-12-05 09:57
J'ai suivit la petite femme et son homologue masculin, ainsi que les porteurs de la femme blessée jusqu'au temple. Cet endroit me dégoûte et je suis pris entre mes valeurs et ma morale qui seront grandement froissés d'entrer une seconde fois dans ce lieux de dépravés et l'ordre que m'a intimé la petite femme. Je décide de prendre une chance, au risque de fâcher une seconde fois et j'ose aborder celle que j'ai suivit.
- Je vais rester dehors... je ne peux entrer dans ce temple.

J'attend son approbation, ou sa réfutation de ma demande, avant de franchir les quelques pas me séparant de l'extérieur. Je garde les yeux rivés sur le sol, pour ne rien croiser quelque chose pouvant me choquer et attirer davantage mon mépris sur ce culte.


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Message 3 sur 31 dans la discussion


De : Galiella
Envoyé : 2003-12-06 00:50
En peu de temps, la petite troupe arriva au temple. L'elfe étrange hésita devant les portes. Il s'adresse à la barde :

-(elfique)- Je vais rester dehors... je ne peux entrer dans ce temple.

Son attitude surpris vraiment le guerrier. Celui-ci semblait considérée la petite femme comme une princesse. Toutefois, lui ne s'attarda pas à l'extérieur et entra dans le temple.

Li constata que les prêtresses du temple avaient dû être avertis de leur arrivée. Une agitation reignait dans ces lieux ou normalement c'est si calme. Quand il était jeune, il lui arrivait souvent d'accompagner sa mère dans son temple. Pendant elle vaquait à ses occupations, elle lui confiait quelques petits jouaient. Celle-ci croyant qu'il était occupé ne se préocupait plus de lui. Le jeune intrépide s'évadait de la protection des autres prêtresses et le jeune demi-elfe qu'il était en profitait pour aller regarder sa mère.

Un léger sourire survollait ses lèvres. Ce temple lui rappelait de beaux souvenirs si cher à son coeur. Il avait bien fait finalement de venir ici. Puis une prêtresse les conduit vers une pièce. Les elfes déposent délicatement la femme sur les draps et s'éclipsent aussitôt.

Lirendel se trouve maintenant seul avec Jenkins, car le jeune homme suposait que la barde était resté avec l'elfe étrange pour le persuader d'entrer se faire soigner. La prêtresse dans la pièce les regarda attentivement et s'adressa à Jenkins :

- Savez-vous ce qui s’est passé ? Qui êtes-vous ?

Comme la prêtresse ne s'était pas adressé à lui, le demi-elfe resta silencieux. Ses yeux vert se contentairent d'examiner la pièce. Il regarda également la blessée attentivement. Puis, il accota son dos sur le mur près de l'entrée de la pièce et croisa les bras.

Le jeune homme semblait de marbe. Aucun muscle de son corps ne bougeait, ceux qui le regardait aurait tendance à penser qu'il est en transe. Sa tête étant toujours protéger par son capuchon qui n'avait pas encore enlevé ou plutôt osé retirer.


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Message 4 sur 31 dans la discussion


De : Dimple Dure Bouteille
Envoyé : 2003-12-07 06:59
Dimple affiche un petit sourire de satisfaction sur ses lèvres lorsqu’elle constate que l’elfe étrange la suit jusqu’au temple. Son ego est flatté. User de l’autorité semble bien fonctionner lorsque le bon sens se cache derrière. Tout à l’heure Anylu et son compagnon qui refusaient de manger et maintenant ce guerrier blessé…
La petite barde reste stupéfaite devant l’intérieur du temple et ses yeux s’arrondissent lorsqu’elle remarque la grande statue nue de la déesse de ses oreilles pointues. L’espace d’un instant, elle espère que Jenkin sera suffisamment préoccupé par l’état de l’humaine inconsciente pour ne pas prendre le temps de regarder autour de lui… Serait-elle jalouse ? Peut être bien, oui, c’est possible, mais pour le moment la jeune fille refuse de l’admettre.
- Je vais rester dehors... je ne peux entrer dans ce temple.
Les paroles d’Astrid la laissent perplexe et pourtant, elle ne le regarde pas comme si il venait de dire quelque chose d’anormal. Après tout, il était possible qu’il vénère un autre dieu, et que sa foi lui interdise de pénétrer dans d’autres lieux sacrés que ceux réservés à sa divinité.

La jeune fille hoche positivement de la tête et répond au guerrier :
- (elfique) Dans ce cas, je viens avec vous !
Elle ne laissera pas un blessé seul sans personne pour veiller sur lui. Car même s’il semble robuste et fort, il n’est pas à l’abri d’un malaise et dans ce cas, il vaudrait mieux qu’il y ait quelqu’un proche de lui pour alerter des secours. Elle ouvre la marche de son pas décidé, posant ferment ses pieds velus sur le sol dur.

Une fois au dehors, elle choisi une roche plate pour déposer son équipement et se retourne vers l’étranger elfe en lui tendant la main :
- (elfique) Je me nomme Dimple de la Dure Bouteille, je suis barde, musicienne, dessinatrice et conteuse à mes heures…


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Message 5 sur 31 dans la discussion


De : Astrid_ice
Envoyé : 2003-12-08 00:35
Je sens un étrange soulagement... ainsi qu'un sentiment d'incorfort, comme si ce n'était pas normal, lorsque la petite femme ne relève pas mes paroles et même m'accompagne à l'extérieur. Je suis curieux de savoir l'état de la femme blessée mais ma répulsion à entrer dans le temple est encore plus grande que ma curiosité. J'essaie de me convaincre qu'elle est entre bonnes mains, avec le petit homme qui semblait si débrouillard et les prêtresses comme Viconia. Même si leurs croyances me choquent, elles peuvent tout de même être des personnes secourables.

La petite femme se présente et je suis honoré qu'elle me fasse même la faveur de me tendre la main. Je m'empresse de de mettre un genoux en terre, tant pour être à sa hauteur que pour lui témoigner mon respect et ma gratitude et j'entoure sa si petite main des miennes avant d'appuyer mon front contre elles.
- (elfique) Sorcier de Guerre Astrid, de la caste des Caïsors, sous la gouverne des Shelpats. Ici je ne suis qu'Astrid et je cherche à comprendre votre monde étrange. Je suis honoré de faire votre connaissance Sayadina Dimple.


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Envoyé : 2003-12-08 04:35
L'animateur ou l'animateur adjoint a supprimé ce message.


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Message 7 sur 31 dans la discussion


De : Jenkin
Envoyé : 2003-12-08 04:54
Une prêtresse semble prendre en main l'organisation des soins, elle s'occupe du nécessaire puis se tourne vers Jenkin en lui demandant : "- Savez-vous ce qui s’est passé ? Qui êtes-vous ?"

Jenkin salue la dame en inclinant la tête "Madame...", puis il saute les formalités en allant directement à l'essentiel : "Cet Elfe étrange ... qui est resté en dehors du temple... vient de ramener cette femme blessée au village. Elle avait été abattue sur sa monture volante, quelque part à proximité, d'après lui..."

"Quant à moi, je me présente, je suis le Druide Jenkin, envoyé par le haut Druide Treeser à votre temple, pour faire face aux derniers évènements qui ont affecté votre village et le reste de la forêt... Je crois que la grande-prêtresse avait souhaité la visite d'un émissaire de notre Cercle ?"

Jenkin tourne la tête pour voir où est Dimple, mais il constate qu'elle a dû rester au dehors, car elle avait sans doute quelque chose à régler avec l'elfe étrange. Il ressent un pincement au coeur, et se demande comment il est possible qu'il lui soit si difficile de se séparer de la jeune fille, alors qu'il y a si peu de temps encore, il était célibataire et que rien ne laissait prévoir cet attachement aussi soudain qu'impérieux... Puis il se concentre sur sa tâche actuelle en se disant : "Laisse la faire ce qu'il faut... Elle ne tardera pas à venir !"

Et il se tourne à nouveau vers Viconia pour essayer d'aller à l'essentiel de sa mission ici...


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Message 8 sur 31 dans la discussion


De : Dimple Dure Bouteille
Envoyé : 2003-12-08 05:33
A l’extérieur du temple :
La main tendue, Dimple regarde les yeux grands ouverts, tous ronds, le grand elfe se mettre à nouveau à genoux devant elle, simple barde et poser son front dessus, comme si elle était une princesse.
Inconsciemment, la jeune fille est flattée par une telle marque de respect et commence à s’empourprer en se tortillant dans tous les sens.
Elle se rend compte soudain que si Jenkin venait à sortir du temple, la situation aurait de quoi attirer ses foudres et les plonger dans un quiproquo difficile à dénouer.
Doucement, elle retire sa main de celles d’Astrid, espérant ne pas le vexer et se racle la gorge en lui répondant avec un grand sourire, ses joues encore roses :
- (elfique) Je suis ravie de faire votre connaissance Messire Astrid de la caste des Caïsors. Si j’ai bien compris, vous venez de loin… J’espère que vous vous habituerez à nos contrées.
Elle reste un moment silencieuse, observant et détaillant les traits fins de l’elfe, ses longs cheveux d’argent et ses vêtements si singuliers, profitant qu’il s’est mis à son niveau pour la saluer.
Ses yeux tombent malgré elle sur l’épaule meurtrie du guerrier et son visage redevient grave elle ajoute :
- (elfique) Il faut vous faire soigner, Messire Astrid, sinon, vos blessure risque de devenir vilaine… Si vous ne voulez pas entrer dans le temple, nettoyez-la au moins avec un peu d’eau fraîche. poursuit-t-elle en montrant la fontaine du menton, sinon, cela fera comme à la vache des Dupont, leur Roussette s’était blessée dans un piège à loup et le résultat a été qu’ils ont eu une vache à trois pattes. Je vous laisse imaginer ce qu’une vache à trois pattes est utile…
La barde se mord la lèvre inférieure. Elle s’est une fois de plus laissée emportée par ses bavardages et sa langue a été plus vite que ses pensées. Elle se dit que l’exemple de comparaison de ce guerrier avec une vache n’est peut être pas le meilleur choisit. Il faut qu’elle se rattrape, aussi continue t-elle :
- Heu… ce que je voulais dire, c’est qu’il faut vous soigner… c’est tout…


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Message 9 sur 31 dans la discussion


De : Astrid_ice
Envoyé : 2003-12-08 08:36
À l'extérieur:

Je peux encore une fois observer les effets de la gêne que produisent mes gestes respectueux envers ces gens à la peau pâle. Il passe un moment, en silence, où chacun de nous observe l'autre à loisir. Son visage, rond, avenant et ses yeux d'une couleur si foncée ne ressemble en rien aux traits allongés et émanciés des êtres constituant ma race. Le sourire lui semble si facile également; c'est peut-être ce qui la rend si sympathique.

Elle revient sur le cas de mon épaule meurtrie, comme si c'était important, comme si ça revêtait une importance pour elle. Elle se lance ensuite dans une explication que je ne comprend pas trop, sans saisir tous les termes ou en comprendre le sens exact et, ne sachant pas ce qu'est une vache, j'ai bien de la difficulté à m'imaginer ce qu'une vache à trois pattes est utile...

En bref, elle veut que je fasse quelque chose avec ma blessure mais pour ça, je dois d'abord retirer mon armure. Un peu réticent, j'obtempère malgré moi à son ordre et je me relève, en m'approchant de la fontaine. Je défait lentement les attaches de mes protections métalliques d'avant-bras et les dépose sur le sol pour ensuite faire glisser ma cotte de mailles, non sans peine car ma blessure se fait sentir dans ce mouvement. J'ai également enlevé ma cape également et je glisse mes doigts sur le tissu gris de ma tunique, décoré de symboles argentés, sauf à l'endroit où la créature ailée a enfoncé ses griffes et où ma peau a été entaillée sévèrement. Là, le bleu de mon sang a imbibé le tissu déchiré et c'est en serrant les dents que j'inspecte du bout des doigts la plaie, pour en retirer les éventuels fils et morceaux de vêtements qui ont sans doute suivits les griffes dans ma chair.

J'ose ensuite tremper mes mains dans cette eau si limpide et claire, pour nettoyer mes doigts tachés de sang. Dans une pochette attachée à ma ceinture, je prend une petite pièce de tissu spongieux, que tout combattant elfe des glace trâine sur lui pour nettoyer ses blessures et je la trempe dans l'eau fraîche pour ensuite m'affairer à rendre ma plaie propre.


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Message 10 sur 31 dans la discussion


De : Maître du jeu
Envoyé : 2003-12-08 08:48
A l’intérieur :
Vinonia écoute le semi homme répondre à sa question et hoche de la tête et répond à Jenkin :
- (commun) Je ne sais pas si notre grande prêtresse a fait appel au cercle des druides, mais vous la trouverez dans le troisième bureau sur votre droite en ressortant de cette pièce.
Elle jette un rapide coup d’œil sur la femme qu’on vient de leur amener et poursuit :
- (commun) Vous avez fait un excellent travail Druide Jenkin, je vais maintenant faire appel à la magie de la Vierge Noire pour terminer de soigner ses blessures.
La prêtresse se retourne vers Lirendel et le regarde de la tête aux pieds en le questionnant :
- (commun)Vous êtes vous aussi envoyé par le cercle druidique Monsieur ?
Le femme allongée que la paillasse commence à bouger et à gémir. Elle semble reprendre connaissance petit à petit. Aussitôt, Viconia, lui applique sur le front un linge humide en lui murmurant de douces paroles :
- (drow) Usstan orn honglath jiv’undusen, rivvil… (je vais appaiser ton mal, humaine)
Ses doigts commencent à dessiner sur le front de l’humaine quelques symboles étranges, tandis qu’elle murmure des paroles toujours incrompréhensibles et que son autre main saisi le reste de la flèche figé dans les chairs de son aisselle que Jenkin avait préféré ne pas ôter. Sans avoir l’air de forcer, elle sort de projectile alors que sa main irradie une légère lumière lunaire.
La blessée se tord de douleur et serre les dents. Elle ramène ses pieds juste derrière ses fessiers. Une de ses mains va chercher dans sa botte un poignard qu’elle dégaine à une vitesse impressionnante, malgré son état. La lame vient se placer juste sur la gorge de la prêtresse qui vient de lui prodiguer un soin divin. Surprise, Viconia ne bouge pas.
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MessageSujet: Re: 2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE   2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE Icon_minitime20/11/08, 09:58 pm

De : Galiella
Envoyé : 2003-12-08 21:05
A L'INTÉRIEUR

Lirendel lève les yeux et sort de sa transe quand il attend qu'on s'adresse à lui. Il constate que c'est la prêtresse Viconia qui lui demande s'il faisait partie du cercle druidique également.

Le jeune homme se redressa et dit :

-(commun)Malheureusement non, je ne suis qu'un voyageur qui s'est épris d'amitié pour cet hobbit et sa bien-aimée. Je désire également, toutefois rencontré votre grande prêtresse. L'arrivée soudaine de cette inconnue blessée à réveiller ma curiosité.

Il s'interompit pour laisser la prêtresse s'occuper de la femme qui commençait à se réveiller tranquillement. La surprise fige le jeune homme quand l'humaine blessée tient en hôtage celle qui était entrain de l'aider.

Puis il se ravisa en disant :

-(commun)Du calme madame, cette elfe était entrain de vous soigner pas de vous tuer. Ne croyez vous pas que se serait plus sage pour vous d'être soigné. Si vous désirez vraiment tuer quelqu'un, venez avec moi à l'extérieur, je vous direz qui, termina Lirendel avec une pointe d'humour noir.


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Message 12 sur 31 dans la discussion


De : Dimple Dure Bouteille
Envoyé : 2003-12-09 04:54
A l’extérieur :
La petite barde affiche un sourire satisfait lorsque le guerrier elfe accepte de se défaire de son armure pour se soigner. Elle le regarde ôter sa cape, puis les lanières retenant ses protections métalliques et enfin sa cotte de mailles.
Elle détourne les yeux croyant que le guerrier va ôter sa tunique pour nettoyer sa blessure plus facilement, mais à son grand étonnement, le sol ne reçoit pas cette magnifique tunique grise, comme il a reçu le reste de son équipement. La jeune fille lève alors les yeux vers Astrid et constate qu’il a relevé la manche de son vêtement pour découvrir son épaule. Elle constate qu’il n’est pas facile de se soigner seul lorsque son épaule est atteinte, car certaines parties ne sont pas visibles.
Espérant qu’il n’en prendra pas ombrage, elle s’approche de lui et intercepte fermement le tissu spongieux que le sorcier de guerre va pour appliquer sur sa blessure et avec un petit sourire, lui faisant signe si nécessaire de s’abaisser à son niveau et effectue le mouvement qu’il allait faire, ôtant quelques fibres de tissu restées prises dans les chairs.
Elle agit par petites pressions partant du centre de la plaie et allant toujours vers l’extérieur, espérant par ce geste dégager les dernières impuretés. Elle prend bien garde à ne pas appliquer une pression trop grande et lève régulièrement les yeux vers le visage de l’elfe pour mesurer si elle le fait souffrir ou non.
Tout en effectuant ces gestes, elle se dit que le faire parler, lui permettrait de moins se focaliser sur sa plaie, aussi lui tente t-elle de faire un peu d’humour tout en enquêtant :
- (elfique) Vous savez ce que l’on dit par chez nous ? Que les gens qui ont le sang bleu sont de noble lignage… Cette créature messire, comme était-elle ? Avait-elle des plumes ? Une queue ? un signe particulier ?
Elle écoute le guerrier s’il accepte de lui parler du monstre qui l’a agressé pour satisfaire sa curiosité.
Bien qu’elle ne soit pas guérisseuse, la forme de la plaie indique que ce monstre était doté de grandes griffes ou serres… Manticore ou griffon ? Ou autre peut être ?
Une fois la plaie suffisamment propre, elle pose le tissu spongieux et fouille dans son sac en sortant un petit flacon rond, pas plus gros qu’un pilulier. Dévissant le bouchon, elle laisse apparaître une sorte de baume brun exaltant une forte odeur mentholée. Sa dernière dose… Il faudrait qu’elle prenne le temps d’en racheter… C’est fou le nombre de choses qu’elle devra acheter et sa maigre bourse ne pourra peut être pas tout supporter, mais pourtant au fond d'elle même, elle n'hésite pas à consacrer cette dernière dose pour l'étranger.
Elle explique à l’elfe se qu’elle compte faire :
- (elfique) Je ne suis pas soigneuse, mais j’ai ce baume cicatrisant qui aide à refermer les blessures. Je vais vous l’appliquer. Attention, cela va vous faire froid… termine t-elle en plongeant son doigt dans le pot.
(hors jeu : je suis partie du fait qu’Astrid a du se mettre à genoux ou assis pour nettoyer sa blessure, car sinon, à la hauteur de la hobbite, elle n’aurait pas pu faire grand chose. Si il ne se laisse pas faire, je modifierai mon message en conséquence…))


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De : Jenkin
Envoyé : 2003-12-09 06:53
Vinonia répond à Jenkin : "- (commun) Je ne sais pas si notre grande prêtresse a fait appel au cercle des druides, mais vous la trouverez dans le troisième bureau sur votre droite en ressortant de cette pièce ...Vous avez fait un excellent travail Druide Jenkin, je vais maintenant faire appel à la magie de la Vierge Noire pour terminer de soigner ses blessures."
Jenkin lui répond : "(commun) Merci beaucoup madame", il s'incline légèrement, avec un petit sourire, et commence à jeter un oeil du côté du bureau de la grande prêtresse.
[...]
La blessée revient à la vie, et, rapide comme l'éclair, place la lame de son poignard sous la gorge de la prêtresse.
Lirendel intervient aussitôt : "(commun) Du calme madame, cette elfe était entrain de vous soigner pas de vous tuer. Ne croyez vous pas que se serait plus sage pour vous d'être soigné. Si vous désirez vraiment tuer quelqu'un, venez avec moi à l'extérieur, je vous direz qui".
Jenkin rajoute d'une voix ferme et qu'il voudrait rassurante : "(commun) Restez calme, madame, je vous en prie... Nous venons de vous ramener d'un coma profond... Les armes ne sont pas nécessaires ici ! Nous vous avons retrouvée en bien piteux état... Mais ici, vous ne risquez plus rien !", plus les gens parlent calmement et plus la femme devrait réaliser qu'elle est dans un endroit paisible et inoffensif, et elle devrait se calmer (du moins le hobbit l'espère !)


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2003-12-09 08:25
((hors jeu : Lirendel, je t’y prends ! Même si tu n’as pas mentionné de nom, je doute que Merten apprécie ce que tu viens de dire ))
La guerrière humaine ne semble pas vouloir entendre raison. Ses yeux sont comme fous, emplis d’une haine farouche. Elle resserre son emprise sur la prêtresse et se lève doucement, venant se placer derrière Viconia. Puis, brandissant son otage en protection devant elle, elle ordonne d’une voix puissante et forte :
- Laissez moi sortir ! Où est ma monture ? !
Viconia, lève ses deux mains, pour les garder en évidence et se laisse guider par l’humaine. Ce serait trop bête de se retrouver avec un deuxième sourire pour un acte mal interprété. Doucement, elle prend la parole :
- Vous … vous n’êtes pas prisonnière… vous êtes libre de partir quand bon vous semble…
L’humaine ne semble pas l’écouter et resserre encore son étreinte rapprochant sa lame encore plus près. Le métal effilé commence même à laisser une trace rougeâtre sur la gorge de l’elfe noire. En longeant le mur, elle entraîne son otage en direction de la porte.


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De : Jenkin
Envoyé : 2003-12-09 11:09
Jenkin demande "Quelle monture ?" comme si il ne savait pas du tout de quoi elle parlait, puis, éludant sa question, il explique à la femme d'un ton ferme, gentil et patient, comme si elle ne l'avait pas bien compris : "Vous pouvez partir quand vous voulez... du moment que vous lâchez cette prêtresse... Commencez par lâcher cette jeune femme, et faites ce que vous voulez, tant que c'est pacifique et que vous ne prenez personne en otage !"
Le hobbit ne fait aucun geste hostile ni précipité, il affiche un calme et une sérénité qui se voudraient aussi grande que si il était en train de prendre le thé avec des amis.
((hors-jeu : Cependant, si la situation dure, comme je le crains, et si la femme tourne le dos à Jenkin, il va tenter discrètement de lui lancer un 'charme-personne ou mammifère' avant d'essayer de parlementer plus avant))
Une fois son sort lancé le plus discrètement possible, Jenkin s'adresse apparemment à tous les drows qui l'entendent en désignant la blessée : "Je prends cette guerrière sous ma protection", puis il explique à la femme : "Je suis un émissaire ici et je bénéficie d'une immunité totale dans ce temple ! Fais-moi confiance, farouche guerrière ! Lâche ton otage, il ne peut rien t'arriver : tu es protégée par mon statut d'ambassadeur..."
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MessageSujet: Re: 2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE   2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE Icon_minitime20/11/08, 09:58 pm

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De : Astrid_ice
Envoyé : 2003-12-09 19:13
(hors-jeu: Astrid pas écouter les ordres d'une femme??? tu as très bien anticipé son obéissance, tout est parfait comme ça ne change rien)

À l'extérieur:
Ça me fait étrange qu'une dame se préoccupe autant d'une insignifiante blessure et je ne sais pas comment réagir à cette attention particulière... sans savoir pourquoi au juste, Dimple me rappelle Sidhe... peut-être est-ce la lumière de son regard ou tout simplement cette préoccupation de son prochain? Mais Sidhe est inaccessible, maintenant plus que jamais... lorsque je n'étais qu'un exilé, je pouvais toujours m'imaginer que j'allais un jour retrouver sa présence... mais exilé dans ce monde... aussi bien ne plus penser à ça.

Je reste à genoux, la tête inclinée vers l'avant, les yeux clos pour mieux laisser passer la douleur. En se détendant, en focussant son esprit sur autre chose, le mal finit par passer inaperçue, ou avec une plus grande distance... comme si ce n'était pas tout à fait notre corps qui ressentait la douleur. Mais les question précises de Dimple me font perdre ma concentration et je rouvre les yeux lentement, en essayant de me rappeller les caractéristiques de la créature que j'ai affronté.
- (elfique) Une créature assez petite, environ de la taille d'un Taum-Taum... je me dis qu'elle n'a peut-être aucune idée de quoi peut avoir l'air cette créature à deux pattes que nous utilisons comme montures pour couvrir rapidement les grandes plaines de neiges, néanmoins je continue. Elle était dotée d'ailes membraneuses, des pattes aux griffes non rétractables... une queue épineuse qui avait la capacité de lancer ses petits dards, sans grande acuité par contre.

L'odeur qui se dégage de flacon qu'elle vient d'ouvrir me rappelle le baume qu'avait utilisé Elrael sur les blessures du compagnon d'Anylu. Je lui fait un petit signe de la tête, comme quoi j'ai comprit son explication et qu'elle peut procéder si elle le désire. J'accueille avec joie la légère sensation de froid que procure le baume cicatrisant, enfin quelque chose de frais dans ce monde si chaud!

Son opération terminée, j'ose prendre la parole avant elle tout en inclinant la tête en signe de reconnaissance.
- (elfique) Sayadina Dimple, je ne serai sans doute jamais en mesure de vous rendre la pareille mais sachez que cette attention que vous avez eue envers moi me touche énormément.

De : Galiella
Envoyé : 2003-12-09 22:47
A l'intérieur

Lirendel s'apperçut que son discours et même celui de Jenkins qui trouvait formidable, ne fit changer la situation. L'humaine croyait toujours être prisonnière du temple. Le jeune homme s'attarda sur son visage et ses yeux. Elle était en sueur et ses yeux étaient vritreux et fous. Il ne connaissait pas la médecine, mais il savait différencier un visage en santé et un malade. Cette femme était fiévreuse et débile, se dit Lirendel agaçé.

Jenkins poursuivit d'une voix calme et ferme en lui répétant qu'elle était libre, de laisser l'elfe noir. La blessée resserait son estreinte sur la prêtresse. Du sang coulait doucement dans le cou de l'elfe sombre. L'humaine se dirigeait vers la porte en tenant son otage.

Lirendel soupira et croisa les bras. Le dos appuyé sur le rebor de la porte. Le demi-elfe bloquait de son corps la totalité de la sortie. D'une voix calme et triste, il lui dit :

-(commun)Vous savez Jenkins à raison. Rien ne vous empêche de quitter cet endroit. Vous êtes une femme libre. Néanmoins vous risquez que de m'avoir dans les jambes. Il est hors de question que je vous laisse partir seul dans cet état. Mais, enfin, regardez-vous, est-ce que vous sentez bien? Je doute pas que vous soyez une femme forte et courageuse, mais dans l'état ou vous êtes, sans moi, vous irez pas loin. Il haussa les épaules en disant :

-(commun)si vous tenez vraiment à avoir un otage, prenez-moi, je vais vous suivre de toute façon.


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Message 18 sur 31 dans la discussion


De : Dimple Dure Bouteille
Envoyé : 2003-12-10 04:20
A l’extérieur :
Tandis qu’elle nettoie sa plaie, le sorcier de guerre décrit la bête qui l’a agressé. La hobbite suspend un moment son mouvement ayant du mal à déglutir. Elle se reprend rapidement, et fait comme si elle n’avait pas été troublée. Une manticore ! Ce guerrier était venu à bout d’une manticore ! Une créature terrifiante, carnivore, raffolant de la chair humaine… et gigantesque ! Cet elfe devait être un héros pour avoir réussi à en terrasser une seule ! Cela se recoupe avec le fait qu’il ne la considère pas comme étant une grande créature… mais qu’était donc un Taum-Taum ? Et d’où venait cet elfe si singulier ? Tant de questions tournaient dans la tête de la hobbite.
Astrid lui intime de continuer ses premiers soins et Dimple applique soigneusement le baume mentholé sur la plaie du guerrier. Elle termine en retroussant la manche de la tunique grise et précise :
- Il faudrait la garder à l’air libre au moins cette nuit et demain, lui mettre un pansement propre. Je n’en n’ai pas sur moi, mais mon fiancé, Jenkin pourra vous un faire un si vous voulez…
Lorsque l’elfe la remercie, la hobbite sourit à la fois ravie de la reconnaissance qu’elle a suscité chez l’elfe, trouvant que l’appellation de Sayadina est fort joli, et amusée par la réponse qu’elle va lui faire :
- Oulà ! Messire Astrid, j’espère que vous n’aurez jamais à me rendre la pareille ! Je ne souhaite nullement être blessée ! –elle éclate de rire et poursuit - néanmoins, peut être pourriez-vous me faire une faveur…
Elle se baisse et récupère dans son sac un ouvrage épais, recouvert d’une couverture de cuir travaillé. La moitié des pages seulement ont été utilisées. Elle s’assied sur une roche et l’ouvre, dévoilant ses pages au sorcier de guerre. Le parchemin est recouvert parfois d’annotations manuscrites, de partitions musicales et de croquis, schémas et dessins un peu plus fouillés. Elle ouvre choisi la page où Jenkin et Cromin sont en pleine cérémonie druidique, celle qui a comme voisine la page portant sa dernière composition musicale, et fière d’elle la montre à l’elfe en lui expliquant :
- Je comme qui dirait, une mémoire et une langue ambulante. Je collectionne les images, les scènes hors du commun, les choses notables ainsi que les histoires… Accepteriez-vous que je vous croque pendant que vous me raconteriez un peu l’endroit d’où vous venez, ainsi qu’un peu de votre vie ?
Dans les yeux de la barde hobbite, un vif intérêt brille soudain, un intérêt poussé par la curiosité et suscité par la certitude d’avoir là une chance qu’aucun autre barde n’a encore eu…


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2003-12-10 05:43
A l’intérieur :
Voir le chemin obstrué par ce mâle semble mettre la guerrière dans tous ses états. Elle lui hurle :
- (commun) Bouge toi de là, mâle ! La vie d’une femme a bien plus de prix que celle d’un gueux comme toi !
Ses yeux expriment un dédain pire que celui que l’elfe sans nom avait pu porter sur le métisse.
Pendant ce temps, Jenkin incante son sort de charme et le lance sur la guerrière avant de déclamer qu’il prend la blessée sous sa protection.
L’humaine fronce les sourcils, être prise sous la protection d’un homme cela pourrait blesser la fierté de son peuple, en revanche, le semi-homme reconnaît sa position de guerrière et même si elle ne se l’avoue pas, son ego s’en trouve flatté. Lentement, elle commence à défaire son emprise sur la prêtresse qui n’a toujours pas fait de gestes qui pourraient la mettre en danger.
L’humaine regarde Jenkin droit dans les yeux et lui demande :
- Le promets-tu sur l’honneur petit homme ?
Lentement, elle défera son étreinte, et repoussera Viconia loin d’elle, tout en ne quittant pas des yeux Lirendel et en gardant sa dague dans sa main :
- Ote toi de mon chemin.
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MessageSujet: Re: 2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE   2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE Icon_minitime20/11/08, 09:59 pm

De : Jenkin
Envoyé : 2003-12-10 07:33
Jenkin regarde la guerrière qui se vexe presque de ses dernières paroles et il réalise soudain ce qui se passe (il pense : "Ah oui ... zut ! Je suppose qu'elle vient d'Althud... C'est probablement un matriarcat par là d'où elle vient ! Il va falloir que je me montre un peu plus humble !").
Puis il lui répond : "Il ne vous arrivera rien, je vous le jure sur mon honneur, Madame ! Aussi longtemps que vous ne blesserez personne, ces gens ne lèveront pas la main sur vous" parlant d'un ton imperturbable. Dans le même temps, il se demande si c'est la vérité ou pas, puis il se dit qu'elle ne risque de toutes façons pas grand chose ici, et que le plus important, c'est qu'elle lâche la prêtresse et vite !
Puis il dit encore à la guerrière : "Encore une petite chose madame : si vous nous laissiez soigner vos blessures, ça ne vous prendrait pas longtemps et vous vous sentiriez bien mieux après !"


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De : Jenkin
Envoyé : 2003-12-10 07:33
(Jenkin à tout dit en commun, désolé pour cet oubli)...


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De : Astrid_ice
Envoyé : 2003-12-10 09:54
À l'extérieur:
Je ne souhaite pas que vous soyez blessée non plus, Sayadina... Est-ce possible que malgré la formidable distance qui sépare ce monde d'abondance de celui des glaces, deux êtres totalement différents puissent avoir une personnalité semblable? La présence de la petite femme m'apaise, son rire et sa vivacité d'esprit me rappellent que j'ai vécut bien trop longtemps coupé de tout autre être intelligent et pacifique. Elle me replonge bien malgré moi vers des souvenirs que j'aurais préféré oublier.

J'observe avec attention le livre qu'elle me montre et sur les traits de crayon qui se montrent à moi, je reconnais le petit homme qui l'accompagniat tout à l'heure. Cette petite femme est vraiment une Sayadina pour avoir reçu un tel talent, et mon respect envers elle n'en est qu'augmenté.

Sa demande me laisse un instant silencieux. Elrael m'avait fait la même il n'y a pas si longtemps... bien que je trouve embêtant de parler de mon monde, alors que le leur recèle bien plus d'intérêt à mes yeux, j'arrive à comprendre leurs motivations et leur curiosité dans leurs requêtes.
- (elfique) Je crains d'être un bien piètre conteur Sayadina... et les événements ayant marqués ma vie me semblent bien ternes et sans intérêt pour être dignes d'être évoqués. Je peux bien vous décrire un peu les horizons de mon monde si vous y tenez.

J'essaie de lui décrire les blanches étendues, les hautes monagnes aux pics enneigés, les forêt aux arbres pétrifiés sous des couches épaisses de glaces, notre cité aux tourelles translucides où le pâle soleil s'y mirait de milles feux. Ensuite je lui parle des contrées un peu plus lointaines que j'ai foulées, la mer des glaces en perpétuel mouvement, les immenses ravins glacés où nous avions tendu embuscade aux dernières tribues orques existantes, les hauts pics gelés au sommet desquels jaillissait des jets d'une eau brûlante et enfin, la montagne d'ombre et le calme, le silence oppressant qui s'y trouvait, dénué de toute vie et qui cachait en son centre un labyrinthe de tunnels et de galleries sans fin.


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De : Dimple Dure Bouteille
Envoyé : 2003-12-11 04:09
A l’extérieur :
Dimple reste perplexe un instant devant le silence observé par l’elfe. Elle se mord la lèvre inférieure. Sa requête était peut être déplacée. Finalement le guerrier accepte de lui parler de son monde et c’est avec attention que la hobbite l’écoute tout en traçant quelques lignes sur une nouvelle page blanche.
Elle note les paysages hostiles du monde du sorcier de guerre et ainsi que la comparaison entre leurs lignes sèches et droites et celles du visage de l’elfe. Son fusain trace les courbes gracieuses du visage d’Astrid et bientôt le visage de l’elfe prend forme sur le papier. Elle termine en rajoutant quelques traits grossiers qui pourraient ressembler à un arbre mort, la façon dont elle imagine un arbre pétrifié par le froid.
Elle sourit à l’elfe pour le remercier d’avoir prit le temps de répondre à sa question et lui montre le résultat du croquis qu’elle vient de tracer :
- (elfique) ce qu’une esquisse, je le peaufinerai si vous m’en donnez l’autorisation…
Elle lève les yeux et constate que la nuit est tombée, que peut donc faire Jenkin dans ce temple ? Elle sort de son sac une longue pipe et sa blague à tabac. De l’herbe à pipe, voilà une nouvelle chose qu’elle allait avoir à acheter bientôt. Avec ses petits doigts potelés, elle bourre son instrument et l’allume. Elle en tire une grande bouffée et reporte son regard sur Astrid.
Tout en lui tendant sa pipe et elle lui dit :
- (elfique) votre monde est bien différent du nôtre… Il y a longtemps que vous êtes chez nous ?


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De : Astrid_ice
Envoyé : 2003-12-11 08:31
S'il y a longtemps... combien de temps cela fait au juste que je suis ici? La première nuit dont je me souviens fut celle de mon arrivée ici ainsi que celle de ma rencontre avec Anylu. Ensuite... elle s'était faufilée dehors pour retrouver son compagnon et...
-(elfique) Erwann! Le loup!

La nuit est tombée depuis combien de temps? Alarmé par mon oubli de la réalité, je m'en veux d'avoir laissé Elrael et Anylu... peut-être que la sorcière aura trouvé quelque chose contre le mal d'Erwann mais j'en doute fortement, elle ne m'a pas impressionnée à date. C'était si facile d'oublier tout ce qui se passait autour près de Sayadina Dimple...

Faisant fi de ma blessure, je replace la manche de ma tunique et enfile ma cotte de mailles par-dessus et aussi vite que je le peux je replace les autres protections de mon armure. Mon épaule proteste contre ces mouvements rapides et exigeants et j'essaie de l'ignorer. Je remets ma cape et place mon carquois solidement, mon arc m'attend et je le ramasse promptement.
- J'espère vous recroiser.
Je m'incline une dernière fois face à la petite dame puis je me dirige vers la demeure d'Elrael au pas de course. J'espère qu'il n'est rien arrivé de fâcheux car je m'en voudrais énormément d'avoir manqué à mon devoir envers Anylu, la protéger et l'aider à libérer son compagnon.


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De : Galiella
Envoyé : 2003-12-11 20:51
A L'INTÉRIEUR

Lirendel haussa les sourcils en entendant crier la femme. Elle l'appelait le mâle et le traitait de gueux d'une manière agressive et haineux. Le jeune guerrier insouciant comprit que rester devant la porte avait augmenté l'agressivité de la malade.

Néanmoins il ne bouge pas encore. Jenkins avec sa sagesse coutumière s'adresse à nouveau à elle et peu à peu la femme déserre sa pression sur son hotage. Les paroles du petit homme avait touché l'âme guerrière de la blessée. Elle poussa l'elfe noire loin d'elle et se tourna vers le demi-elfe. Son regard était froid et plein de haine. Elle n'aime pas tellement les hommes, se dit le métisse. La jeune femme lui dit de bouger ses fesses sinon elle lui ferait sentir la lame de son couteau. En fait, ce n'était pas dans ces termes qu'elle l'avait dite, mais l'expression de ses gestes et la façon qu'elle le regardait en disait long sur ses intentions à son égard.

Le métise avait appris à supporter les injures en se créant une barrière autour de lui et mentalement. Pourquoi croyez-vous, qu'il est réussi à survir pendant 10 ans sur un navire remplis de pirates haineux, le harcellant et l'injurant, s'amusant à le torturer. La seule personne qui avait réussi à le toucher, à le blesser c'était l'elfe sans nom. A ce moment, il était insouciant et vulnérable. C'est d'ailleurs pour ça qu'il lui en voulait tellement. Il aurait temps aimé avoir un peu de compassion, de reconnaissance de la part d'un être dont la race était une partie importante de son âme.

Il cessa immédiatement de penser et reporta son attention sur la guerrière et lui dit en adoptant un ton froid également et en levant les mains :

-Du calme, du calme je me pousse. Je vous laisse avec votre protecteur. Je remarque que vous n'avez nullement besoin de moi. Votre force de caractère est assez impressionnant et ma convaincu. Je sais que mon opinion vous intéresse guère, mais bon...Puis il s'inclina et ajoutant avec un ton moqueur :

-D'ailleurs, vous ne serez facile à trouver. Il me suffira de suivre les cadavres, termina-t-il en quittant la pièce. Le jeune homme se mit alors à chercher la grande prêtresse.
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MessageSujet: Re: 2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE   2003- AU TEMPLE DE LA VIERGE NOIRE Icon_minitime20/11/08, 09:59 pm

De : Dimple Dure Bouteille
Envoyé : 2003-12-12 04:31
Dimple sursaute lorsque le sorcier de guerre se dresse en prononçant le nom du rôdeur qu’elle a rencontré un peu plus tôt. Son visage révèle une réelle inquiétude et la hobbite ne met pas longtemps à réaliser de quoi il s’agit.
Elle ferme son ouvrage dans un bruit sec et commence à ranger aussi ses affaires dans son sac. De toutes façons, elle ne va pas rester là seule…
Elle tente d’aider comme elle peut le guerrier à remettre son armure et ses protection. Ainsi, elle admire un instant la prestance de ce fier guerrier. Lorsqu’il s’incline devant elle pour la saluer et lui faire ses au-revoirs, la hobbite répond sans réfléchir :
- (commun) Attendez ! Je connais Anylu et Erwann ! Je viens avec vous !
Elle charge son sac sur son dos et part en courant en suivant l’elfe. Tout en courant, elle se demande quelle folie elle est en train de commettre. Jenkin est à l’intérieur et ne sait pas où elle va… Tant pis, ils se retrouveront à l’auberge un peu plus tard ! Au fond de son coeur, la hobbite espère que son fiancé comprendra.


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2003-12-12 04:35
(hors jeu : waou ! Il est plutôt acide Lirendel)
A l’intérieur :
La guerrière a lâché la prêtresse. Elle répond à Jenkin dans un souffle :
- Les blessures de guerre sont la plus grande fierté qui soit. Non, je ne veux pas de vos soins, je ne me ferait pas soigner par les ennemis !
Lorsque Lirendel sort de la pièce en prononçant des paroles plus qui auraient pu être considérées insultantes, elle s’engouffre à sa suite avec un petit sourire narquois et semble chercher la sortie du regard son poignard toujours à la main. Lorsque ses yeux se posent sur la statue représentant la déesse nue des elfes, un dégoût profond se peint sur son visage, elle crache aux pieds de la statue et porte sa main au pendentif qu’elle a au cou, en murmurant :
- Païens ! …
Puis, sans plus se douter de Jenkin, elle se dirige vers la porte de sortie. Quelques prêtresses présentes dans la grande salle ont entendu ce qu’elle disait et l’une d’entre elles, une grande aux longs cheveux argentés libres sur ses épaules, commence à tracer quelques runes tout en murmurant des paroles elfiques.
L’humaine se fige dans son mouvement de marche, le bras droit en avant et la jambe gauche en arrière. Puis la prêtresse qui a lancé ce sort d’immobilisation scande de façon autoritaire :
- Qui laisse une étrangère souiller notre culte ! ?
Viconia s’approche d’elle et baisse la tête :
- C’est moi, Grande Prêtresse, je suis désolée pour ceci. La blessée a refusé d’obtempérer… heureusement que le druide Jenkin était là.
Vivonie fait un petit signe indiquant à Jenkin et à Lirendel de s’approcher. La grande prêtresse les toise de sa hauteur posant sur eux son regard mauve froid. Ses yeux passent sans s’arrêter sur Lirendel qui n’a pas baissé sa capuche (enfin, je suppose) et s’arrêtent sur le hobbit. Son regard est froid, presque foudroyant alors qu’elle demande à Jenkin :
- Les druides ne trouvent-ils personne à leur service qu’ils demandent aux nains et maintenant aux semi-hommes de faire leur travail ? Qu’on s’occupe de cette intruse, mettez-là aux arrêts et obtenez son identité ! termine-t-elle dans un ordre.
(hors jeu : Astrid, je te propose de rejoindre avec Dimple, la discussion « La course aux ingrédients »)


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De : Jenkin
Envoyé : 2003-12-12 09:40
A l'intérieur :
Lorsque la femme traite tout le monde "d'ennemis", Jenkin est stupéfait, et il pense : "Comment peut-on haïr autant le monde entier ? Elle est complètement folle !". Puis la femme crache aux pieds de la statue, et il reste complètement pétrifié par le sacrilège : insulter la religion des gens qui vous accueillent, c'est proprement inconcevable ! Lirendel préfère s'éloigner de la porte, avec sagesse... Il ne se retient pas une pique bien placée qui devrait montrer à la femme à quel point son comportement est honteux, si seulement elle n'était pas folle de rage et ivre de haine...
Il s'adresse à la femme : "(commun)Doucement, noble guerrière ! Je vous demande un peu de modération, mon amie ! Vous ne m'aidez pas du tout dans ma mission d'ambassadeur en vous montrant hostile envers les gens avec qui je dois parlementer ! De grâce, ne faite rien qui puisse les remonter contre moi, je vous en prie !"
Puis un instant après, la grande prêtresse rentre dans le temple avec éclat, Viconia attribue au hobbit le mérite de sa sauvegarde, malgré le moment de cafouillage dont il n'est pas totalement fier... Mais bon, la prêtresse est saine et sauve et c'est bien l'essentiel à ses yeux...
Sandryma : "- Les druides ne trouvent-ils personne à leur service qu’ils demandent aux nains et maintenant aux semi-hommes de faire leur travail ? Qu’on s’occupe de cette intruse, mettez-là aux arrêts et obtenez son identité !"
Jenkin, prend sur lui pour ne pas mettre en colère. Au contraire, il s'incline devant la grande prêtresse : "(commun)Madame, je suis très honoré de vous rencontrer enfin... Les druides pensent que toutes les créatures de la forêt peuvent participer à sa protection, ils m'ont donc fait la grâce de m'accueillir dans leur cercle... Quoiqu'il en soit, je suis le messager du Haut Druide Treeser, pourriez vous à ce titre m'accorder une entrevue, je vous prie ?"
"(commun)Ah... Au fait : cette femme est à présent sous ma responsabilité Madame, je vous expliquerai pourquoi dés que vous m'accorderez cette entretien, Madame... Je me tiens à votre disposition pour vous dire tout ce que vous désirerez savoir."


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2003-12-14 12:57
Jenkin, dit à la grande prêtresse :
- Je suis le messager du Haut Druide Treeser, pourriez vous à ce titre m'accorder une entrevue, je vous prie ? Au fait : cette femme est à présent sous ma responsabilité Madame, je vous expliquerai pourquoi dés que vous m'accorderez cette entretien, Madame... Je me tiens à votre disposition pour vous dire tout ce que vous désirerez savoir.

Sandryma regarde le druide avec une pointe de dédain dans le regard. Elle soupire un instant visiblement agacée puis se reprend et lui répond :
- Je vous verrai demain matin, je n’ai pas le temps ce soir. Quant à votre responsabilité sur cette… cette... païenne, méfiez-vous cela pourrait se retourner contre vous ! En attendant, elle est mon hôte ! et ce n’est pas négociable !
Le prêtresse fait un signe en direction de ses sous fifres qui portent la guerrière toujours paralysée en direction d’un couloir. Puis, Sandryma laisse Jenkin et Lirendel seul en leur tournant le dos et en entrant dans son bureau, refermant la porte bruyamment.

Viconia semble être affreusement désolée pour tout de ce qui vient de se passer. Elle s’approche des deux hommes et leur dit :
- Je vous présente mes excuses pour notre grande prêtresse. Elle est très préoccupée ces derniers temps… N’ayez crainte, je vais veiller à ce que votre protégée n’est pas sa vie mise en danger…En attendant, je vous propose de vous rendre à l’auberge de ma part, je suis Viconia. Ils vous feront une chambre à bon prix… Je vous remercie également de tout cœur pour ce que vous avez fait messires… sans vous je ne serais peut être plus là…

(hors jeu : Jenkin et Lirendel, je vous propose de rejoindre la discussion « prendre du repos aux trois chutes » une fois que vous aurez terminé ici )



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De : Jenkin
Envoyé : 2003-12-15 04:20
Sandryma est hautaine quand elle répond "- Je vous verrai demain matin, je n’ai pas le temps ce soir. Quant à votre responsabilité sur cette… cette... païenne, méfiez-vous cela pourrait se retourner contre vous ! En attendant, elle est mon hôte ! et ce n’est pas négociable !"
Jenkin s'incline légèrement à nouveau : "Merci madame..." (si ce n'est pas négociable, autant faire contre mauvaise fortune bon coeur), puis, avant qu'il ne puisse rajouter quoique ce soit elle est déjà partie...
Viconia semble désolé de l'attitude de la grande prêtresse et se sent obligée de faire des excuses, mais Jenkin fait de son mieux pour tenter de dissiper son embarras : "Enchanté, Madame, je suis ravi de vous connaître... C'est plutôt moi qui devrait vous présenter toutes mes excuses, puisque je viens de ... de protéger la personne qui vous a agressée, alors que son attitude était totalement inexcusable... C'est que ... vous savez ... euh... on est toujours un peu responsable des gens qui vous font totalement confiance ... et le problème c'est que ...", le hobbit jette un regard de côté pour vérifier que la guerrière n'est pas à portée d'oreilles, puis il ajoute à voix basse : "elle est charmée..."
"Bref... Merci de votre recommandation, pour l'auberge... On s'y rend de ce pas, n'est ce pas, Li ?", le hobbit fait un sourire à Viconia puis lui dit : "A demain, madame..."
Il sort gaiment pour retrouver Dimple et son sang se glace quand il réalise qu'elle n'est plus là... Puis il réfléchit une seconde et constate qu'il s'est passé pas mal de temps depuis qu'ils sont entrés... Il soupire, puis se met en route, supposant qu'il la retrouvera bien au chaud à l'auberge, peut-être même en train de chanter une chanson... Et il se prend à rêver de prendre une bonne bière en sa compagnie et de manger un bon plat pour se remettre de toutes ces émotions...
((HJ: Suite des actions de Jenkin dans "Prendre du repos aux trois chutes"))

De : Galiella
Envoyé : 2003-12-15 20:20
A L'INTÉRIEUR

Dès l'instant que le jeune homme eut quitté la porte d'entrée, la folle sortit en trombe de la pièce. Curieux, il se tourna. Celle-ci folle de rage, cracha sur la statue du temple. Le visage de Li devint blanc. Quel horreur, elle venait de maudir le dieu d'un temple.

Il allait refroidir son ardeur quand Jenkins le devança et s'adressa à la femme avec calme. Lirendel secoua la tête. Il en revenait pas de son calme et de sa persévérance. En ce qui concernait, la patience elle commençait à le quitter.

Soudain la malade s'arrête, immobile comme une statue. Une prêtresse, sûrement celle qui a lançé ce sort d'immobilisation, s'écrie avec force :

- Qui laisse une étrangère souiller notre culte.

Lirendel remarqua dans sa voix une autorité, signe qu'elle devait être haut plaçé. Puis Viconia s'adressa à la dame en l'appelant la Grande prêtresse. Nous y voilà, se dit le jeune homme. Enfin, je vais pouvoir lui parler.

C'est alors que Viconia les invite lui et Jenkins à s'approcher. La grande prêtresse au regard mauve jette un regard rapide au demi-elfe. Un léger frisson parcourt l'épine dorsale du jeune guerrier. Je ne suis pas prêt d'enlever ma capuche, du moins pas toute suite. D'ailleurs, il aimait pas du tout la manière qu'elle avait à le regarder.

La dame au cheveux argenté s'adressa avec rudesse et froideur au hobbit dont Li sentir se raidir. Lirendel se mit à penser à une phrase doucerette, mais encore une fois le petit hobbit le surprit. Il parla à la prêtresse d'une voix calme et posée. En d'autre, circonstance, Lirendel aurait applaudit, mais ce n'était vraiment pas le moment pour l'humour, si dit le demi-elfe en souriant tout de même.

Lirendel toujours silencieux ne manquait rien de la discussion. Celle-ci le regarda avec dédain et lui dit qu'elle le verrait demain. Plusieurs personnes transportèrent la femme toujours figée dans un couloir. La Grande Prêtresse laissa sans un autre mot et leur ferma la porte au nez. Il grimaça de dégoût. Après la réponse, qu'elle avait répondu à Jenkins, Li n'avait pas osé demander un rendez-vous. D'ailleurs, il n'était plus si sûre de vouloir travailler pour elle.

Lirendel secoua la tête afin de se remettre de ses émotions. Viconia s'approcha de lui et Jenkins et s'excusa pour les agissements de sa grande prêtresse.

Jenkins prit aimablement la parole. Puis ce fut autour du guerrier de s'adresser à la dame en s'inclinant :

-(commun) Chère dame, j'apprécie votre gratitude et votre courage. Toutefois, vos excuses ne sont pas acceptées. Elles le seront si votre Grande Prêtresse digne me les dire de vive voix. J'accepte par contre de suivre ce charmant druide à l'auberge Lirendel pose sa main sur l'épaule du hobbit. J'espère que la dame voudra bien nous recevoir demain, car j'ai également une requête à lui faire part.

Finalement il suit Jenkins à l'extérieur en direction de l'auberge. Ne voulant pas déranger les rêveries de son compagnon, le métise reste silencieux.
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